Blog
Archives 08/2018

UN ETRANGE AJOUT – Pourquoi ne pas l’avoir dit tout de suite ?

Le 30 septembre 2018 : Réponse du Comité de lecture à une nouvelle et importante question (à la fin de ce billet).

Antoine (28 août 2018) : J’ai comparé le billet « La banalité du mal » que j’ai imprimé en septembre 2017 avec celui qui apparaît aujourd’hui je me suis aperçu qu’avait été ajouté : « Surtout faire croire au juge que la déclaration de travaux était bien incomplète car le descriptif que Denis Dejustys avait transmis à la justice ne pouvait pas avoir été reçu par l’administration puisqu’il n’y avait aucun tampon sur ses pièces ! (…) » et qu’ensuite le billet « Citoyens ou administrés (suite) » y faisait référence.

Réponse du Comité de lecture : En effet, tant que nous n’avions pas la preuve irréfutable que l’administration avait délibérément trompé la justice, nous ne pouvions faire figurer cet item. Grâce à l’avocate du premier prévenu (l’oncle de la femme de Denis Dejustys) nous avons cette preuve. Elle a envoyé un courrier à Denis Dejustys pour le remercier de son aide puis lui a confirmé que l’administration avait déclaré à l’instruction que l’absence de tampon dateur était synonyme de pièces non reçues (ce qui a bien été démenti par la suite par un constat d’huissier). Cette déclaration mensongère délibérée pour faire condamner quelqu’un constitue effectivement un délit d’escroquerie au jugement. De fait, en première instance le juge a ignoré, dans ses attendus, les pièces non tamponnées qui innocentaient le prévenu.  

En appel, quand le constat d’huissier a été présenté aux juges, soit un dossier complet sans cachet dateur (évidemment), ils avaient bien la preuve du grave délit d’escroquerie au jugement. Mais en ne sanctionnant pas les escrocs, la justice française s’en est fait de facto la complice. Ce n’est plus un simple déni de justice, c’est un monstrueux scandale !

Commentaire d'Antoine (9 septembre 2018) : Quand les représentants de l'Etat commettent des escroqueries en bandes organisées pour qu'une caste de privilégiés puisse en tirer profit, le terme le plus adéquat pour qualifier cet Etat est-ce cleptocratie ou bien escrocratie ?

Commentaire de ‘Réforme de la Justice’ (30 août 2018) :  
Le laxisme envers les délinquants, voire pire, la complicité avec eux, fait que la Justice française est une horreur. Cette effrayante politique pénale peut être comparée à un désastre industriel comme le fait Pierre Moscovici en parlant du quinquennat de François Hollande. Ci-dessus, quel triste exemple !
  « La France orange mécanique » édité par La Mécanique Générale (plus de 300 000 lecteurs) de Laurent Obertone, enquête sur un sujet tabou : l’ensauvagement de notre nation. Chaque jour en France : 640 violences sexuelles hors ménage, 1 670 violences physiques hors ménage, 2 000 domiciles cambriolés ou visités et 4 000 véhicules volés ou vandalisés. 
  Laurent Obertone conclut son livre par : « Nous n’avons pas besoin de loi d’exception. Simplement que la loi cesse d’être une exception.  Nous n’avons pas besoin d’incantations. Simplement que le réel soit pris en considération. »

Extrait du livre « La France orange mécanique » de Laurent Obertone 

Crimes.JPG

Commentaire d’Aurélie (30 août 2018) :  Est-ce que les bien-pensants qui ont imposé leur idéologie peuvent avoir une idée de la quantité de sang qu’ils ont sur les mains (femmes violées et assassinées par des multirécidivistes trop vite libérés) ? Et tant de victimes et de souffrances qui auraient pu être évitées si…

Angélisme , politique de l’excuse, ne pas stigmatiser, priorité à la réinsertion et non à la protection : l’enfer est pavé de bonnes intentions.

Commentaire de Roger (31 août 2018)CACAROCO

Au Brésil, dans les années 50, une rhinocéros femelle, nommée Cacaroco, a été élue au conseil municipal de Sao Paulo avec 100 000 voix.
En 1988, c’est un singe qui a fini troisième aux élections législatives avec 400 000 voix.

Arte - 28 minutes - du 30 août 2018.

Si Cacaroco limitait ma vitesse sur les routes à 100 km/h, comme en Allemagne (qui a 25 % d’accidents en moins qu’en France), pour me permettre de ne plus glander derrière des camions, limités à 80 km/h (qui se traînent dans les côtes), mais de pouvoir les dépasser en toute sécurité sans commettre d’infraction, je voterais Cacaroco.  
Si Cacaroco faisait appliquer toutes les lois qui protègent les citoyens, et qui sanctionnerait réellement les délinquants pour éviter bien des délits et des crimes commis par des multirécidivistes, je voterais Cacaroco.
Si Cacaroco faisait un choc de simplification comme Donald Trump, qui entre janvier et décembre 2017, a supprimé 45 000 pages du Code des réglementations, soit la moitié, je voterais Cacaroco.
Si Caracoro réduisait très substantiellement le train de vie de l’Etat pour alléger mes impôts et me redonner du pouvoir d’achat, je voterais Cacaroco.
Si Cacaroco arrêtait l’envahissement de notre pays par des migrants qui ne travaillent pas, qui ne cotisent pas pour ma retraite et qui coûtent au contribuable d’important frais d’hébergement et d’entretien dont l’AME (Un milliard d’euros, pour l’Aide Médicale d’Etat, afin de soigner les clandestins mieux que ne le permettent les mutuelles), comme je ne suis plus bien-pensant, je voterais Cacaroco. 

Pétition de Pierre Gouverneur (15 septembre 2018) : Cliquer

Aurélie (30 septembre 2008) : Par curiosité, quelles sont les termes de la preuve irréfutable apportée par l’avocate de l’oncle de la femme de Denis Dejustys ?

Le Comité de lecture : Extraits de la lettre de l’avocate du 10 février 2012 :

« Cher Monsieur,
Dans le dossier visé en marge, j'ai sollicité à plusieurs reprises la copie du dossier pénal.
Ne l'ayant toujours pas, j'ai consulté le dossier déposé auprès de la juridiction.

(…)
Sur le fond, une déclaration de travaux avait été déposée en 2007. Il ressort du dossier que des pièces complémentaires avaient été demandées et n'ont pas été fournies, et la demande a donc été rejetée.
Cependant, ces courriers, à ma connaissance, n'ont pas été adressés en RAR, dés lors nous serions en présence d'une non opposition tacite à une déclaration de travaux.
C'est sur ce fondement que semble s'être basé le Tribunal administratif dans son jugement d'octobre 2009 pour affirmer qu’il y avait une déclaration de travaux.

Seraient dés lors couverts par une autorisation:

. La correction des pentes du toit; . L'exécution d'un vide sanitaire; . La réfection des menuiseries ;. Les enduits extérieurs.

Les faits pour lesquels vous êtes poursuivis sont les suivants :

1. démolition d'une partie du bâtiment;
2. reconstruction sur une surface de 60 m2 ;
3. édifications de piliers de soutènement pour un auvent; 4. toiture;
5. auvent sur la terrasse;
6. fermetures des accès.

(…) » 

Or tous ces six points apparaissent clairement dans le descriptif de la déclaration de travaux déposée le 11 mai 2007 par la femme de Denis Dejustys et le constat d’huissier effectué à la mairie confirme que ces pièces (non tamponnées) ont bien été reçues.  Donc, avoir déposé devant la juridiction un dossier, en niant avoir reçu les pièces essentielles qui  pouvaient disculper le prévenu, constitue bien une escroquerie au jugement.

Publié le 30/08/2018 00:13  - aucun commentaire - aucun commentaire - Voir? Ajouter le vôtre ?   Haut
Coup de gueule  -  par gilles-bressiere

COUP DE GUEULE  

  Jean-Guy Talamoni, Président de l’Assemblée Corse :  « (…) des faits inacceptables qui relèvent non pas de simples dérapages mais de pratiques indignes de l’administration d’un pays démocratique (…) Les institutions de la Corse n’accepteront pas que l’arbitraire de certains hauts fonctionnaires continue à s’exercer de façon débridée sur notre île. » Corse-Matin 8-8-2018  

  Un agent de l’inspection du travail s’est ému auprès de sa direction (la Direccte) de la mention « Mouvance nationaliste » associée à un établissement du Sud (de la Corse) à contrôler (sur un tableau relatif à la campagne de contrôle des paillotes). Corse-Matin 7-8-2018  

  Roger Antech : « On se souvient des déclarations d’un directeur régional des finances publiques qui, devant son ministre de tutelle, affirmait alors que le contrôle fiscal dans l’île ciblait principalement les Corses, pas les étrangers, ni les continentaux. Il faut y rajouter maintenant la référence à l’opinion politique, ici la mention de « mouvance nationaliste », portée au tableau des contrôles de la Direccte à opérer par les inspecteurs du travail notamment, auprès des paillotiers dans l’Extrême-Sud.

  Au-delà de la vague d’indignation politique que ces dérapages soulèvent toujours – en fait, ce sont d’abord les fonctionnaires, les inspecteurs qui sont placés en situation délicate par leur hiérarchie -, il faut se demander pourquoi l’administration tolère encore de tels comportements. » Corse-Matin 12-8-2018

.  

  Pour installer un établissement ou une activité de plage situé sur le domaine maritime il faut une autorisation d’occupation temporaire (AOT) qui se présente sous la forme d’un arrêté préfectoral délivré après instruction par la Direction Départementale des Territoires de la Mer (DDTM). Cet organisme, une fois de plus, a donné sa réponse bien trop tardivement (en juillet 2018) et de nombreux professionnels de la mer se sont installés sans AOT, qui pour beaucoup ont été refusées cette année. « C’est un système vicieux, on apprend qu’on nous refuse l’AOT en juillet et ensuite on vient nous contrôler, il faut bien que l’on vive. Derrière il y a des centaines d’emplois. » Corse-Matin 14-8-2018  

  Combien de temps l’Etat français imposera aux citoyens des cogneurs arbitraires, au-dessus des lois, comme Alexandre Benalla ou le préfet Bonnet ou la DDTM ?

Publié le 14/08/2018 19:22  - aucun commentaire - aucun commentaire - Voir? Ajouter le vôtre ?   Haut
Rubriques

Comment survivre dans un environnement hostile

Actualités judiciaires

Derniers billets
Derniers commentaires
Archives
07-2018 Août 2018 09-2018
L M M J V S D
    01 02 03 04 05
06 07 08 09 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
Vous êtes ici :   Accueil » Blog