Petite évaluation sur votre perception du fonctionnement de la Justice
Le général Bertrand Soubelet, numéro 3 de la gendarmerie ; Michèle Bernard-Requin, magistrate honoraire qui a présidé les Cours d'assises de Paris et de Bobigny ; Maître Eric Dupont-Moretti, avocat ; Caroline Brun et Marie-Christine Tabet, journalistes ; Christophe Barbier, éditorialiste et Jean-Louis Bruguière, ancien juge anti-terroriste, ont inspiré les termes du questionnaire qui évaluera en 23 questions votre opinion sur notre Institution Judiciaire.
Pour accéder à votre évaluation : opinion
(Ne pas oublier de se munir d'un papier et d'un crayon parce que cette évaluation est personnelle et confidentielle)
Monsieur le Président osez la démocratie éclairée
Combien de Premiers Ministres censurés ou démissionnaires faudra-t-il compter avant de changer la forme de gouvernance de la France ? Une gauche radicalisée dont les exigences sont de plus en plus éloignées des remèdes nécessaires pour redresser le pays. Une droite rétive à tout compromis, la France est devenue totalement ingouvernable.
La dissolution ne mènera à rien en laminant les partis de gouvernement pris en tenailles entre un parti insurrectionnel et un parti d’opposition systématique qui se voudrait de gouvernement avec un projet économique désastreux.
Monsieur Macron, il faut changer de logiciel pour une nouvelle forme de gouvernance plus démocratique. Le referendum c’est le vote de la populace sur des questions directes. Par exemple les vociférateurs voteront toujours à 80 % pour le lynchage des riches sans tenir compte des dégâts que provoqueraient leur exil. La populace n’a aucune formation économique. Elle votera à 70 % pour l’abdication du Président de la République actuel sans penser au chaos probable qui s’en suivrait. La foule a un cerveau reptilien qui ne lui permet pas de comprendre et de résoudre des problèmes complexes.
En revanche faire décortiquer les différents projets politiques par des Commissions Citoyennes avec des membres tirés au sort, instruites par les experts de chaque parti qui exposeraient leurs solutions dans un débat contradictoire, interrogeant éventuellement l’IA pour connaître ses suggestions, l’émergence du groupe opérerait pour élaborer les meilleures propositions de bon sens.
Ensuite un referendum pour approuver ces propositions, rédigées par des rédacteurs compétents, pourrait permettre de légiférer utilement. Les problèmes complexes ayant été traités préalablement avec pertinence en petit comité, les questions qui seront mises au vote seront exposées clairement et simplement avec pédagogie pour que la masse des électeurs les comprennent et y répondent sans passion vengeresse.
Monsieur Macron, sauvez votre mandat : osez l’innovation car seul un referendum proposé aux Français sur cette nouvelle gouvernance totalement démocratique pourra sortir le pays de l’impasse où l'a conduit votre dissolution calamiteuse.
Inutile de faire appel à un homme d'Etat providentiel comme l'a été le Général Charles de Gaulle mais bien de profiter du bon sens populaire en réunions restreintes pour remettre la France sur la bonne voie.
Monsieur le Président osez la démocratie éclairée
Combien de Premiers Ministres censurés ou démissionnaires faudra-t-il compter avant de changer la forme de gouvernance de la France ? Une gauche radicalisée dont les exigences sont de plus en plus éloignées des remèdes nécessaires pour redresser le pays. Une droite rétive à tout compromis, la France est devenue totalement ingouvernable.
La dissolution ne mènera à rien en laminant les partis de gouvernement pris en tenailles entre un parti insurrectionnel et un parti d’opposition systématique qui se voudrait de gouvernement avec un projet économique désastreux.
Monsieur Macron, il faut changer de logiciel pour une nouvelle forme de gouvernance plus démocratique. Le referendum c’est le vote de la populace sur des questions directes. Par exemple les vociférateurs voteront toujours à 80 % pour le lynchage des riches sans tenir compte des dégâts que provoqueraient leur exil. La populace n’a aucune formation économique. Elle votera à 70 % pour l’abdication du Président de la République actuel sans penser au chaos probable qui s’en suivrait. La foule a un cerveau reptilien qui ne lui permet pas de comprendre et de résoudre des problèmes complexes.
En revanche faire décortiquer les différents projets politiques par des Commissions Citoyennes avec des membres tirés au sort, instruites par les experts de chaque parti qui exposeraient leurs solutions dans un débat contradictoire, interrogeant éventuellement l’IA pour connaître ses suggestions, l’émergence du groupe opérerait pour élaborer les meilleures propositions de bon sens.
Ensuite un referendum pour approuver ces propositions, rédigées par des rédacteurs compétents, pourrait permettre de légiférer utilement. Les problèmes complexes ayant été traités préalablement avec pertinence en petit comité, les questions qui seront mises au vote seront exposées clairement et simplement avec pédagogie pour que la masse des électeurs les comprennent et y répondent sans passion vengeresse.
Monsieur Macron, sauvez votre mandat : osez l’innovation car seul un referendum proposé aux Français sur cette nouvelle gouvernance totalement démocratique pourra sortir le pays de l’impasse où l'a conduit votre dissolution calamiteuse.
Inutile de faire appel à un homme d'Etat providentiel comme l'a été le Général Charles de Gaulle mais bien de profiter du bon sens populaire en réunions restreintes pour remettre la France sur la bonne voie.
Association de malfaiteurs
Nicolas Sarkozy a écopé de cinq ans de prison dont trois fermes et deux avec sursis, l’appel n’étant pas suspensif, pour association de malfaiteurs, au motif d’avoir laissé deux de ses collaborateurs prendre contact avec un dictateur terroriste par l’intermédiaire d’un terroriste pour éventuellement l’aider à financer sa campagne électorale. Il n'y avait pas d'enrichissement personnel.
Trois juges et un procureur en ont décidé ainsi c’est à dire quatre magistrats unanimes.
Qu’auraient choisi des jurés tirés au sort ?
Denis Dejustys a été condamné au motif qu’il a financé un petit agrandissement au profit de tiers dans une zone UD du POS en vigueur où sont cependant clairement autorisées toutes sortes de constructions inscrites sur une liste. Mais l’intime conviction d’une vingtaine* de magistrats unanimes a traduit obstinément ce règlement d’urbanisme par : cette zone est « incontestablement inconstructible ».
Quelle aurait été la traduction de la zone UD du POS en vigueur par des jurés tirés au sort ?
* Une vingtaine de magistrats : ce sont les juges et procureurs appartenant à la Cour pénale et à la Cour d’Appel, puis à la Cour de Cassation, à la Cour Européenne des Droits de l’Homme, à la Cour d’Appel pour trois requêtes, au Tribunal Administratif qui n’a pas voulu statuer et a transféré cette affaire au Tribunal des Conflits (Conseil d’État plus Cour de Cassation) qui la renvoyée finalement à la Cour d’Appel initiale.
Cour d'Appel dont le procureur a réclamé une astreinte de mille euros par jour, et obtenu trois cents euros par jour tant le préjudice pour la société était important pour son intime conviction. Rendez-vous compte : Denis Dejustys a financé deux chambres de 8,50 m² dont l’une a été adaptée pour une octogénaire hémiplégique, grand-tante des deux petits orphelins dont la mère avait engagé les travaux (sur la foi d’une déclaration en mairie n’ayant reçu aucun refus dans le délai légal), avant de décéder quatre mois plus tard. En désespoir de cause Denis Dejustys a immédiatement commencé à démolir (plus de toiture) pour remettre en état les lieux et faire cesser l’astreinte. Il n'y avait pas d'enrichissement personnel.
Quelle aurait été la condamnation prononcée par des jurés tirés au sort ?
Qui a dit : association de malfaiteurs en bande organisée ?
Commentaire d'Aurélie (29 septembre 2025) : Ce qui trouble l'ordre public c'est que ceux qui ont tabassé un policier sont toujours en liberté ainsi qu'un violeur multirécidiviste alors qu'ils devraient tous être en prison. Pourquoi Nicolas Sarkozy, sans enrichissement personnel, aucune atteinte aux personnes, écope de cinq ans d'incarcération à partir d'un article de Médiapart qui s'est révélé être un faux et qu'on ne retrouve aucune trace de l'argent soi-disant versé par le président de la Lybie Mouammar Kadhafi ?
Commentaire de Franz-Olivier Giesbert (Le point N°2775 du 2 octobre 2025) : "L'Etat de droit est le socle de notre démocratie", a déclaré Macron. Saperlotte, l'injustice aussi ? Cliquer Ici
Commentaire de Réforme de la Justice (27 septembre 2025) : Même le Conseil Constitutionnel devrait pouvoir être contrôlé par des jurys citoyens dont les membres seraient tirés au sort ; surtout quand cette institution suprême, composée de membres non élus, sort de son domaine initial pour censurer des lois selon sa propre opinion politique. Exemples de ces abus : la censure des lois proposées par le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau sur l’immigration ou celles de Gabriel Attal sur la délinquance des mineurs. Abus qui mériteraient d’être censurés par des représentants du peuple tirés au sort. La sécurité des Français devrait enfin être sérieusement prise en compte par cette réforme du fonctionnement de l’État devenue absolument nécessaire pour arrêter l’actuelle explosion des crimes et délits constatée.
Association de malfaiteurs
Nicolas Sarkozy a écopé de cinq ans de prison dont trois fermes et deux avec sursis, l’appel n’étant pas suspensif, pour association de malfaiteurs, au motif d’avoir laissé deux de ses collaborateurs prendre contact avec un dictateur terroriste par l’intermédiaire d’un terroriste pour éventuellement l’aider à financer sa campagne électorale. Il n'y avait pas d'enrichissement personnel.
Trois juges et un procureur en ont décidé ainsi c’est à dire quatre magistrats unanimes.
Qu’auraient choisi des jurés tirés au sort ?
Denis Dejustys a été condamné au motif qu’il a financé un petit agrandissement au profit de tiers dans une zone UD du POS en vigueur où sont cependant clairement autorisées toutes sortes de constructions inscrites sur une liste. Mais l’intime conviction d’une vingtaine* de magistrats unanimes a traduit obstinément ce règlement d’urbanisme par : cette zone est « incontestablement inconstructible ».
Quelle aurait été la traduction de la zone UD du POS en vigueur par des jurés tirés au sort ?
* Une vingtaine de magistrats : ce sont les juges et procureurs appartenant à la Cour pénale et à la Cour d’Appel, puis à la Cour de Cassation, à la Cour Européenne des Droits de l’Homme, à la Cour d’Appel pour trois requêtes, au Tribunal Administratif qui n’a pas voulu statuer et a transféré cette affaire au Tribunal des Conflits (Conseil d’État plus Cour de Cassation) qui la renvoyée finalement à la Cour d’Appel initiale.
Cour d'Appel dont le procureur a réclamé une astreinte de mille euros par jour, et obtenu trois cents euros par jour tant le préjudice pour la société était important pour son intime conviction. Rendez-vous compte : Denis Dejustys a financé deux chambres de 8,50 m² dont l’une a été adaptée pour une octogénaire hémiplégique, grand-tante des deux petits orphelins dont la mère avait engagé les travaux (sur la foi d’une déclaration en mairie n’ayant reçu aucun refus dans le délai légal), avant de décéder quatre mois plus tard. En désespoir de cause Denis Dejustys a immédiatement commencé à démolir (plus de toiture) pour remettre en état les lieux et faire cesser l’astreinte. Il n'y avait pas d'enrichissement personnel.
Quelle aurait été la condamnation prononcée par des jurés tirés au sort ?
Qui a dit : association de malfaiteurs en bande organisée ?
Commentaire d'Aurélie (29 septembre 2025) : Ce qui trouble l'ordre public c'est que ceux qui ont tabassé un policier sont toujours en liberté ainsi qu'un violeur multirécidiviste alors qu'ils devraient tous être en prison. Pourquoi Nicolas Sarkozy, sans enrichissement personnel, aucune atteinte aux personnes, écope de cinq ans d'incarcération à partir d'un article de Médiapart qui s'est révélé être un faux et qu'on ne retrouve aucune trace de l'argent soi-disant versé par le président de la Lybie Mouammar Kadhafi ?
Commentaire de Franz-Olivier Giesbert (Le point N°2775 du 2 octobre 2025) : "L'Etat de droit est le socle de notre démocratie", a déclaré Macron. Saperlotte, l'injustice aussi ? Cliquer Ici
Commentaire de Réforme de la Justice (27 septembre 2025) : Même le Conseil Constitutionnel devrait pouvoir être contrôlé par des jurys citoyens dont les membres seraient tirés au sort ; surtout quand cette institution suprême, composée de membres non élus, sort de son domaine initial pour censurer des lois selon sa propre opinion politique. Exemples de ces abus : la censure des lois proposées par le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau sur l’immigration ou celles de Gabriel Attal sur la délinquance des mineurs. Abus qui mériteraient d’être censurés par des représentants du peuple tirés au sort. La sécurité des Français devrait enfin être sérieusement prise en compte par cette réforme du fonctionnement de l’État devenue absolument nécessaire pour arrêter l’actuelle explosion des crimes et délits constatée.
Des jurés, vite !
L’affaire « Denis Dejustys » relatée dans mon essai « L’horreur judiciaire – Au nom du peuple français » montre à quel point l’introduction de jurys populaires est une nécessité pour éviter tant de jugements surprenants.
Exemple :
Voici les caractéristiques de la zone UD du POS (Plan d’occupation des sols) dans laquelle se trouve le bungalow dont la femme de Denis Dejustys souhaitait en démolir partiellement un des deux bâtiments : le garage (d’une surface de moins de 40 m²) pour l’agrandir d’environ 20m². C’est à dire pour créer deux chambres de 8,50 m² soit 17m² de surface habitable supplémentaire.
Cf. ci-dessous le document original justifiant la validité de sa déclaration de travaux (qui de plus n'a reçu aucun refus des autorités dans le délai légal) :
Et voici la traduction de ce document par la Cour Correctionnelle de Bastia, reprise par la Cour d’Appel de Bastia :
Jugement du 15 juin 2012
« attendu en revanche qu’il n’est pas contestable que les travaux ont été effectués dans une zone non constructible et que les modifications et agrandissements réalisés l’ont été en violation du plan local d’urbanisme de la commune et que par conséquent Denis Dejustys sera déclaré coupable de ce chef »
C'est édifiant, et c'est un exemple parmi tant d'autres !
Denis Dejustys a été très lourdement condamné sur cette surprenante erreur, fondement de tous les jugements qui l’ont crucifié.
Tous les juristes et toutes les personnes interrogées avaient compris le sens exact de cette zone UD du POS en vigueur, évidemment constructible. En revanche tous les hauts fonctionnaires et tous les magistrats qui ont suivi cette affaire déclaraient le contraire en en inversant le sens ! De plus, la cour d'appel, tout en reprenant cette inversion de sens, y a ajouté une énorme bourde sur la taille des bâtiments (ces juges ne savent même pas lire correctement les plans qui figurent sur la déclaration de travaux). Piégés par les incohérences de leurs attendus, les magistrats éludent les questions posées et cognent encore plus fort pour faire taire toutes critiques. Au diable l'éthique et l'équité prônées par la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen ! Cogner, cogner encore, cogner toujours plus fort pour masquer l'injustice causée par leur manque de sérieux.
Vite des jurés pour pallier une telle incompétence arrogante !
Par ailleurs, lors d’une manifestation accompagnée de vandalisme, la police interpelle environ cinq cents manifestants en flagrant délit, résultat : une seule condamnation ! C'est encore édifiant !
Vites des jurés pour pallier l’idéologie judiciaire dominante qui a fait exploser la délinquance !
Le gouvernement de Nicolas Sarkozy avait mis en test l’introduction de jurés dans deux cours pénales. C’était un bon début,
Malheureusement, au lieu de tirer profit de cette expérience, la Garde des Sceaux Christiane Taubira et le Président de la République François Hollande, ont immédiatement mis fin à ce test dès leur arrivée au pouvoir. Ils ont façonné une justice laxiste envers les délinquants et partiale quand il s’agit de juger les politiciens, plutôt bienveillante avec ceux de gauche et impitoyable envers ceux de droite.
Comment faire une République exemplaire si la justice et l’administration ne sont pas exemplaires ?
Un remède simple, remettre des jurés pour contrôler les magistrats et pourquoi pas aussi les hauts fonctionnaires.
Sarkozy a commencé à le faire expérimentalement sans tralala dans deux cours correctionnelles, c’est donc facile à mettre en place, il n'est pas nécessaire de modifier la constitution. On peut cependant en faire un referendum pour afficher son goût pour la démocratie.
Des jurés tirés au sort, anonymes pour ne pas être inquiétés, réunis en visioconférence ou en présentiel, consciencieux, bien informés et décideurs en dernier recours : voilà une réforme salutaire pour faire fonctionner une justice de qualité vraiment indépendante. Les juges animent les débats sans avoir à étudier les dossiers, tâche qui incomberait uniquement aux avocats (ce qu’ils font déjà). Travail plus facile donc plus rapide (moins d’attente avant chaque audience).
Alors vite, il faut introduire des jurés pour une justice exemplaire dans une démocratie exemplaire !
Commentaire d'Aurélie (27 juin 2025) :
J’ai lu le chapitre « La piraterie de l’administration française en Corse » du livre bien nommé « L’horreur judiciaire – Au nom du peuple français », page 288, c’est terrifiant !
Un procureur veut condamner Denis Dejustys à une astreinte de 1000 € par jour (365 000 € par an) pour exiger une petite démolition partielle d’un bâtiment agrandi sur la foi d’une déclaration de travaux pourtant valide dans une zone UD constructible, parce ses prédécesseurs ont fait un contresens stupéfiant en interprétant de façon inepte le POS en vigueur et en ne voulant pas en démordre.
Qu’est-ce que c’est que ces gens là ?
Cela fait penser au Jugement à Nuremberg concernant la mise en accusations des juges du troisième Reich allemand.
Du film « Judgment at Nuremberg » de Stanley Kramer, j’en ai extrait le discours d’introduction de l’avocat général incarné par Richard Widmark :
« Un juge sait mieux que quiconque qu’un tribunal n’est pas qu’une salle, c’est un processus et un esprit. C’est la maison de la loi. Les accusés déformaient et pervertissaient la justice et le droit en Allemagne... Ils déformaient, pervertissaient et détruisaient la justice et la loi en Allemagne. En soi c’est déjà un grand crime […] mais le réquisitoire du ministère public les accuse de tortures... [etc.]»
La justice peut se comporter aujourd’hui comme ça en France, en n’appliquant pas les lois et en pervertissant les pièces de la défense, pour persécuter un innocent parce qu’il porte un nom juif, c’est vraiment terrifiant !
La solution d’introduire des jurés ayant tout pouvoir de décision dans les tribunaux, c’est une excellente solution. Elle est facile à mettre en œuvre et vraisemblablement financièrement bien plus économique que le fonctionnement judiciaire actuel.
Un gouvernement qui souhaiterait réduire le déficit de l’État joindrait l’utile à l’agréable en appliquant cette réforme.
Des jurés, vite !
Commentaire de Réforme de la Justice (28 juin 2025) : Dans le cas d'une erreur judiciaire manifeste comme cette condamnation fondée sur une inversion du sens d'un document officiel comme un POS, la victime devrait pouvoir avoir recours à une Commission Ethique Citoyenne composée de jurés tirés au sort. Car force est de constater que par corporatisme les magistrats répugnent à corriger les erreurs de leurs confrères. Que de drames seraient évités si des jurys populaires pouvaient prendre simplement le relais en cas de décisions judiciaires surprenantes fondées sur des erreurs grossières.
Des jurés, vite !
Gilles Bressière (29 juin 2025) :
UN VACCIN CONTRE TOUTE FORME DE DICTATURE
Les régimes fascistes s'appuient tous sur une administration pléthorique abusivement tracassière et une justice idéologique aux ordres. Faire entrer dans la Constitution la primauté de Commissions Citoyennes sur l'administration ou celle de jurés dans les prétoires, c'est l'assurance de vivre longtemps dans une vraie démocratie plus intelligente.
Limiter les abus administratifs c'est environ cent milliards d'économie annuel en France selon de nombreux experts. Il faudrait moins de normes, moins de règlements et moins de tracasseries. Alors : des jurés, vite !
Des jurés, vite !
L’affaire « Denis Dejustys » relatée dans mon essai « L’horreur judiciaire – Au nom du peuple français » montre à quel point l’introduction de jurys populaires est une nécessité pour éviter tant de jugements surprenants.
Exemple :
Voici les caractéristiques de la zone UD du POS (Plan d’occupation des sols) dans laquelle se trouve le bungalow dont la femme de Denis Dejustys souhaitait en démolir partiellement un des deux bâtiments : le garage (d’une surface de moins de 40 m²) pour l’agrandir d’environ 20m². C’est à dire pour créer deux chambres de 8,50 m² soit 17m² de surface habitable supplémentaire.
Cf. ci-dessous le document original justifiant la validité de sa déclaration de travaux (qui de plus n'a reçu aucun refus des autorités dans le délai légal) :
Et voici la traduction de ce document par la Cour Correctionnelle de Bastia, reprise par la Cour d’Appel de Bastia :
Jugement du 15 juin 2012
« attendu en revanche qu’il n’est pas contestable que les travaux ont été effectués dans une zone non constructible et que les modifications et agrandissements réalisés l’ont été en violation du plan local d’urbanisme de la commune et que par conséquent Denis Dejustys sera déclaré coupable de ce chef »
C'est édifiant, et c'est un exemple parmi tant d'autres !
Denis Dejustys a été très lourdement condamné sur cette surprenante erreur, fondement de tous les jugements qui l’ont crucifié.
Tous les juristes et toutes les personnes interrogées avaient compris le sens exact de cette zone UD du POS en vigueur, évidemment constructible. En revanche tous les hauts fonctionnaires et tous les magistrats qui ont suivi cette affaire déclaraient le contraire en en inversant le sens ! De plus, la cour d'appel, tout en reprenant cette inversion de sens, y a ajouté une énorme bourde sur la taille des bâtiments (ces juges ne savent même pas lire correctement les plans qui figurent sur la déclaration de travaux). Piégés par les incohérences de leurs attendus, les magistrats éludent les questions posées et cognent encore plus fort pour faire taire toutes critiques. Au diable l'éthique et l'équité prônées par la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen ! Cogner, cogner encore, cogner toujours plus fort pour masquer l'injustice causée par leur manque de sérieux.
Vite des jurés pour pallier une telle incompétence arrogante !
Par ailleurs, lors d’une manifestation accompagnée de vandalisme, la police interpelle environ cinq cents manifestants en flagrant délit, résultat : une seule condamnation ! C'est encore édifiant !
Vites des jurés pour pallier l’idéologie judiciaire dominante qui a fait exploser la délinquance !
Le gouvernement de Nicolas Sarkozy avait mis en test l’introduction de jurés dans deux cours pénales. C’était un bon début,
Malheureusement, au lieu de tirer profit de cette expérience, la Garde des Sceaux Christiane Taubira et le Président de la République François Hollande, ont immédiatement mis fin à ce test dès leur arrivée au pouvoir. Ils ont façonné une justice laxiste envers les délinquants et partiale quand il s’agit de juger les politiciens, plutôt bienveillante avec ceux de gauche et impitoyable envers ceux de droite.
Comment faire une République exemplaire si la justice et l’administration ne sont pas exemplaires ?
Un remède simple, remettre des jurés pour contrôler les magistrats et pourquoi pas aussi les hauts fonctionnaires.
Sarkozy a commencé à le faire expérimentalement sans tralala dans deux cours correctionnelles, c’est donc facile à mettre en place, il n'est pas nécessaire de modifier la constitution. On peut cependant en faire un referendum pour afficher son goût pour la démocratie.
Des jurés tirés au sort, anonymes pour ne pas être inquiétés, réunis en visioconférence ou en présentiel, consciencieux, bien informés et décideurs en dernier recours : voilà une réforme salutaire pour faire fonctionner une justice de qualité vraiment indépendante. Les juges animent les débats sans avoir à étudier les dossiers, tâche qui incomberait uniquement aux avocats (ce qu’ils font déjà). Travail plus facile donc plus rapide (moins d’attente avant chaque audience).
Alors vite, il faut introduire des jurés pour une justice exemplaire dans une démocratie exemplaire !
Commentaire d'Aurélie (27 juin 2025) :
J’ai lu le chapitre « La piraterie de l’administration française en Corse » du livre bien nommé « L’horreur judiciaire – Au nom du peuple français », page 288, c’est terrifiant !
Un procureur veut condamner Denis Dejustys à une astreinte de 1000 € par jour (365 000 € par an) pour exiger une petite démolition partielle d’un bâtiment agrandi sur la foi d’une déclaration de travaux pourtant valide dans une zone UD constructible, parce ses prédécesseurs ont fait un contresens stupéfiant en interprétant de façon inepte le POS en vigueur et en ne voulant pas en démordre.
Qu’est-ce que c’est que ces gens là ?
Cela fait penser au Jugement à Nuremberg concernant la mise en accusations des juges du troisième Reich allemand.
Du film « Judgment at Nuremberg » de Stanley Kramer, j’en ai extrait le discours d’introduction de l’avocat général incarné par Richard Widmark :
« Un juge sait mieux que quiconque qu’un tribunal n’est pas qu’une salle, c’est un processus et un esprit. C’est la maison de la loi. Les accusés déformaient et pervertissaient la justice et le droit en Allemagne... Ils déformaient, pervertissaient et détruisaient la justice et la loi en Allemagne. En soi c’est déjà un grand crime […] mais le réquisitoire du ministère public les accuse de tortures... [etc.]»
La justice peut se comporter aujourd’hui comme ça en France, en n’appliquant pas les lois et en pervertissant les pièces de la défense, pour persécuter un innocent parce qu’il porte un nom juif, c’est vraiment terrifiant !
La solution d’introduire des jurés ayant tout pouvoir de décision dans les tribunaux, c’est une excellente solution. Elle est facile à mettre en œuvre et vraisemblablement financièrement bien plus économique que le fonctionnement judiciaire actuel.
Un gouvernement qui souhaiterait réduire le déficit de l’État joindrait l’utile à l’agréable en appliquant cette réforme.
Des jurés, vite !
Commentaire de Réforme de la Justice (28 juin 2025) : Dans le cas d'une erreur judiciaire manifeste comme cette condamnation fondée sur une inversion du sens d'un document officiel comme un POS, la victime devrait pouvoir avoir recours à une Commission Ethique Citoyenne composée de jurés tirés au sort. Car force est de constater que par corporatisme les magistrats répugnent à corriger les erreurs de leurs confrères. Que de drames seraient évités si des jurys populaires pouvaient prendre simplement le relais en cas de décisions judiciaires surprenantes fondées sur des erreurs grossières.
Des jurés, vite !
Gilles Bressière (29 juin 2025) :
UN VACCIN CONTRE TOUTE FORME DE DICTATURE
Les régimes fascistes s'appuient tous sur une administration pléthorique abusivement tracassière et une justice idéologique aux ordres. Faire entrer dans la Constitution la primauté de Commissions Citoyennes sur l'administration ou celle de jurés dans les prétoires, c'est l'assurance de vivre longtemps dans une vraie démocratie plus intelligente.
Limiter les abus administratifs c'est environ cent milliards d'économie annuel en France selon de nombreux experts. Il faudrait moins de normes, moins de règlements et moins de tracasseries. Alors : des jurés, vite !
Quand la France a mal à sa justice
Quand le Président Macron propose aux citoyens de légiférer par referendum, qu'il n'oublie pas de faire modifier l'article 11 de la Constitution pour permettre notamment une indispensable réforme de la justice (élargir le champ d'applications de cet article 11 par congrès ou par referendum ?).
Tout referendum, en cas de blocage des parlementaires, devrait être préparé par des commissions citoyennes (*). Celles-ci seraient formées de jurés tirés au sort qui devraient préalablement à leurs débats avoir accès aux experts de toutes les formations politiques et pouvoir de surcroît consulter les préconisations de l'Intelligence Artificielle. La rédaction des textes de lois serait confiée à des professionnels, elle serait contrôlée en finale par les membres de la commission citoyenne pour en approuver la conformité. C'est donc sur de bons textes de lois, exposés avec pédagogie, que les Français auraient à se prononcer par oui ou par non. Cela pour une vraie démocratie, intelligente et responsable. Gilles Bressière (15 mai 2025)
Quand un jeune chauffard, sans permis de conduire, au volant d'une voiture volée, percute un policier et le traîne sur une vingtaine mètres : il écope de trente cinq heures de travaux d'intérêt général, cela sur la base de preuves accablantes.
Un ancien président de la République a été condamné à de la prison ferme sur la foi d'une écoute téléphonique douteuse et quand, en plus, un procureur réclame sept ans de réclusion, sans aucunes preuves vraiment démontrées, mais uniquement sur celles élaborées par son intime conviction emprunte d'idéologie, la France a mal à sa justice.
"Le doute profite à l'accusé" ce fondement essentiel de la justice est malheureusement tombé en désuétude.
Il n'est pas admissible que l'intime conviction des juges prime sur la réalité des faits, sur l'absence de preuves et sur l'application des lois. L'intime conviction est un insidieux poison qui a été introduit imprudemment dans les usages judiciaires et qui est contraire à l'Etat de droit. Un poison qui peut devenir mortel pour la démocratie.
L'absence de jurys populaires se fait cruellement sentir dans ces décisions de justice rendues au nom du peuple français.
Il faut donc absolument confier les décisions judiciaires à des jurés tirés au sort pour squeezer ainsi la "République des juges (non élus)" qui a pris subrepticement et indument l'ascendant sur le pouvoir politique en imposant son idéologie. Il est urgent de pouvoir redonner du bon sens et de l'éthique à la justice.
Quand le cordon ombilical a été coupé entre le parquet et le ministère de la justice pour donner plus d'indépendance au pouvoir judiciaire on a oublié d'instaurer un contre-pouvoir. Le pouvoir sans limites aboutit toujours à des abus comme ceux constatés aujourd'hui.
L'indépendance de la justice : oui, mais contrôlée (par des jurys populaires par exemple) sinon on déplorera indéfiniment les dérives inadmissibles actuelles de magistrats aux idéologies mortifères comprenant notamment l'inversion des valeurs (les délinquants sont considérés comme des victimes et leurs victimes sont traitées comme des coupables). Le nombre de crimes et délits explose et la police est injustement maltraitée : quel beau résultat !
S'il est évidemment inenvisageable de se débarrasser des 30 % d'idéologues affiliés au Syndicat de la Magistrature, il est parfaitement possible de les contrôler en votant une loi pour introduire des jurés dans les prétoires qui seraient investis du pouvoir de décision en dernier ressort. Les élus de la République reprendraient ainsi pleinement leur rôle législatif et exécutif pour lequel ils ont été nommés.
Commentaire d'Aurélie (29 mars 2025) : Les vrais délinquants ce sont les juges et les procureurs qui condamnent sciemment des innocents. C'est eux qu'il faudrait pouvoir sanctionner.
Marine Le Pen Condamnée à cinq ans d'inéligibilité. (31 mars 2025)
Je ne suis pas un électeur du RN, leur programme économique me faisant très peur avec des projets de dépenses susceptibles de faire exploser la dette de la France. En revanche une loi qui permet à des juges de prononcer une peine d'inéligibilité est une loi antidémocratique. Que Marine Le Pen soit condamnée à une lourde amende et aussi à porter un bracelet électronique deux ans (en guise de prison ferme) pourquoi pas ? Si c'est pour sanctionner le délit d'un important détournement de fonds. En revanche cela devrait être au peuple français de choisir de ne pas l'élire.
Cette loi antidémocratique, qui peut rendre quiconque d'inéligible, devrait être abrogée d'urgence par les parlementaires... ou mieux : par referendum.
Rappelons cependant que Marine Le Pen s'est toujours montée favorable à appliquer l'inéligibilité aux élus ayant commis des délits financiers (mauvaise idée, celle de l'arroseur arrosé). Mais malgré tout améliorons notre démocratie :
Ne laissons pas un gouvernement de juges non élus confisquer la République.
(*) L'avantage de commissions citoyennes sur les autres formes de gouvernances c'est qu'elles bénéficient de l'émergence du groupe. Un groupe formé de juré d'origines politiques différentes qui se rassemble pour tenter de trouver ensemble les meilleures solutions possibles aux questions posées (cf. "L'horreur judiciaire - Au nom du peuple français" page 79 et suivantes). Faut-il qu'une commission citoyenne comprenne 150 membres ou bien que plusieurs sous-commissions disposant d'environ une vingtaine de jurés planchent sur le même sujet ? Il est plus facile de communiquer dans une petite assemblée que dans une grande. Si toutes les sous-commissions citoyenne ont les mêmes conclusions, le texte de loi commun à soumettre à referendum, rédigé par un professionnel, sera très facile à élaborer. Ce sera évidemment plus difficile si il y a une pluralité de solutions proposées sauf si une majorité significative se dégage des ces consultations.
Quand la France a mal à sa justice
Quand le Président Macron propose aux citoyens de légiférer par referendum, qu'il n'oublie pas de faire modifier l'article 11 de la Constitution pour permettre notamment une indispensable réforme de la justice (élargir le champ d'applications de cet article 11 par congrès ou par referendum ?).
Tout referendum, en cas de blocage des parlementaires, devrait être préparé par des commissions citoyennes (*). Celles-ci seraient formées de jurés tirés au sort qui devraient préalablement à leurs débats avoir accès aux experts de toutes les formations politiques et pouvoir de surcroît consulter les préconisations de l'Intelligence Artificielle. La rédaction des textes de lois serait confiée à des professionnels, elle serait contrôlée en finale par les membres de la commission citoyenne pour en approuver la conformité. C'est donc sur de bons textes de lois, exposés avec pédagogie, que les Français auraient à se prononcer par oui ou par non. Cela pour une vraie démocratie, intelligente et responsable. Gilles Bressière (15 mai 2025)
Quand un jeune chauffard, sans permis de conduire, au volant d'une voiture volée, percute un policier et le traîne sur une vingtaine mètres : il écope de trente cinq heures de travaux d'intérêt général, cela sur la base de preuves accablantes.
Un ancien président de la République a été condamné à de la prison ferme sur la foi d'une écoute téléphonique douteuse et quand, en plus, un procureur réclame sept ans de réclusion, sans aucunes preuves vraiment démontrées, mais uniquement sur celles élaborées par son intime conviction emprunte d'idéologie, la France a mal à sa justice.
"Le doute profite à l'accusé" ce fondement essentiel de la justice est malheureusement tombé en désuétude.
Il n'est pas admissible que l'intime conviction des juges prime sur la réalité des faits, sur l'absence de preuves et sur l'application des lois. L'intime conviction est un insidieux poison qui a été introduit imprudemment dans les usages judiciaires et qui est contraire à l'Etat de droit. Un poison qui peut devenir mortel pour la démocratie.
L'absence de jurys populaires se fait cruellement sentir dans ces décisions de justice rendues au nom du peuple français.
Il faut donc absolument confier les décisions judiciaires à des jurés tirés au sort pour squeezer ainsi la "République des juges (non élus)" qui a pris subrepticement et indument l'ascendant sur le pouvoir politique en imposant son idéologie. Il est urgent de pouvoir redonner du bon sens et de l'éthique à la justice.
Quand le cordon ombilical a été coupé entre le parquet et le ministère de la justice pour donner plus d'indépendance au pouvoir judiciaire on a oublié d'instaurer un contre-pouvoir. Le pouvoir sans limites aboutit toujours à des abus comme ceux constatés aujourd'hui.
L'indépendance de la justice : oui, mais contrôlée (par des jurys populaires par exemple) sinon on déplorera indéfiniment les dérives inadmissibles actuelles de magistrats aux idéologies mortifères comprenant notamment l'inversion des valeurs (les délinquants sont considérés comme des victimes et leurs victimes sont traitées comme des coupables). Le nombre de crimes et délits explose et la police est injustement maltraitée : quel beau résultat !
S'il est évidemment inenvisageable de se débarrasser des 30 % d'idéologues affiliés au Syndicat de la Magistrature, il est parfaitement possible de les contrôler en votant une loi pour introduire des jurés dans les prétoires qui seraient investis du pouvoir de décision en dernier ressort. Les élus de la République reprendraient ainsi pleinement leur rôle législatif et exécutif pour lequel ils ont été nommés.
Commentaire d'Aurélie (29 mars 2025) : Les vrais délinquants ce sont les juges et les procureurs qui condamnent sciemment des innocents. C'est eux qu'il faudrait pouvoir sanctionner.
Marine Le Pen Condamnée à cinq ans d'inéligibilité. (31 mars 2025)
Je ne suis pas un électeur du RN, leur programme économique me faisant très peur avec des projets de dépenses susceptibles de faire exploser la dette de la France. En revanche une loi qui permet à des juges de prononcer une peine d'inéligibilité est une loi antidémocratique. Que Marine Le Pen soit condamnée à une lourde amende et aussi à porter un bracelet électronique deux ans (en guise de prison ferme) pourquoi pas ? Si c'est pour sanctionner le délit d'un important détournement de fonds. En revanche cela devrait être au peuple français de choisir de ne pas l'élire.
Cette loi antidémocratique, qui peut rendre quiconque d'inéligible, devrait être abrogée d'urgence par les parlementaires... ou mieux : par referendum.
Rappelons cependant que Marine Le Pen s'est toujours montée favorable à appliquer l'inéligibilité aux élus ayant commis des délits financiers (mauvaise idée, celle de l'arroseur arrosé). Mais malgré tout améliorons notre démocratie :
Ne laissons pas un gouvernement de juges non élus confisquer la République.
(*) L'avantage de commissions citoyennes sur les autres formes de gouvernances c'est qu'elles bénéficient de l'émergence du groupe. Un groupe formé de juré d'origines politiques différentes qui se rassemble pour tenter de trouver ensemble les meilleures solutions possibles aux questions posées (cf. "L'horreur judiciaire - Au nom du peuple français" page 79 et suivantes). Faut-il qu'une commission citoyenne comprenne 150 membres ou bien que plusieurs sous-commissions disposant d'environ une vingtaine de jurés planchent sur le même sujet ? Il est plus facile de communiquer dans une petite assemblée que dans une grande. Si toutes les sous-commissions citoyenne ont les mêmes conclusions, le texte de loi commun à soumettre à referendum, rédigé par un professionnel, sera très facile à élaborer. Ce sera évidemment plus difficile si il y a une pluralité de solutions proposées sauf si une majorité significative se dégage des ces consultations.
Seulement 28% des Français croient que la politique peut améliorer les choses
selon une dernière enquête d'opinion, c'est qu'ils sont nombreux à penser que la démocratie fonctionne mal. Cette enquête révèle que 73% des Français souhaitent voir un homme fort diriger le pays.
En réalité les Français souhaitent surtout restaurer l'autorité de l'État et en réduire le train de vie pour payer moins d'impôts.
Que fait le gouvernement ? Il ajoute encore de nouvelles taxes, ce qui obère la compétitivité de ce qui reste de notre industrie et il freine l'économie en réduisant le pouvoir d'achat des Français. Il ne faut pas s'étonner d'une telle perte de confiance.
Toujours les mêmes recettes éculées aux effets pervers... aucune imagination ni créativité.
Et si l'on donnait le pouvoir à des Commissions Citoyennes pour tailler dans les dépenses et restaurer l'autorité de État ? Pas besoin d'homme fort ; mais d'une démocratie éclairée avec des jurés tirés au sort, instruits préalablement sur toutes les options possibles, celles présentées par les différents partis politiques.
Franz-Olivier Giesbert (Le Point n° 2742 du 13 février 2025) :
Jusqu'à quand tout cela va-t-il durer ?
Le Ministre de la Justice, Gérald Darmanin, envisagerait d'adjoindre un jury populaire au Tribunal Pénal selon un récent journal télévisé concernant l'assassinat de Louise (11 ans) par Owen (23 ans).
Si cette information est vraie, qu'il se dépêche, il sera alors un Garde des Sceaux remarquable qui entrera dans l'histoire par la grande porte en bridant les juges idéologues pour donner enfin du bon sens à la Justice. Rappelons qu'Éric Dupont-Moretti, ancien Ministre de la Justice, s'est dégonflé, lui qui souhaitait aussi introduire des jurés dans les Cours Pénales au début de son mandat. Il a même dû accepter par la suite d'instaurer des Cours d'Assises sans jury populaire, abandonnant ainsi le peu de démocratie judiciaire pour de la technocratie régressive.
Seulement 28% des Français croient que la politique peut améliorer les choses
selon une dernière enquête d'opinion, c'est qu'ils sont nombreux à penser que la démocratie fonctionne mal. Cette enquête révèle que 73% des Français souhaitent voir un homme fort diriger le pays.
En réalité les Français souhaitent surtout restaurer l'autorité de l'État et en réduire le train de vie pour payer moins d'impôts.
Que fait le gouvernement ? Il ajoute encore de nouvelles taxes, ce qui obère la compétitivité de ce qui reste de notre industrie et il freine l'économie en réduisant le pouvoir d'achat des Français. Il ne faut pas s'étonner d'une telle perte de confiance.
Toujours les mêmes recettes éculées aux effets pervers... aucune imagination ni créativité.
Et si l'on donnait le pouvoir à des Commissions Citoyennes pour tailler dans les dépenses et restaurer l'autorité de État ? Pas besoin d'homme fort ; mais d'une démocratie éclairée avec des jurés tirés au sort, instruits préalablement sur toutes les options possibles, celles présentées par les différents partis politiques.
Franz-Olivier Giesbert (Le Point n° 2742 du 13 février 2025) :
Jusqu'à quand tout cela va-t-il durer ?
Le Ministre de la Justice, Gérald Darmanin, envisagerait d'adjoindre un jury populaire au Tribunal Pénal selon un récent journal télévisé concernant l'assassinat de Louise (11 ans) par Owen (23 ans).
Si cette information est vraie, qu'il se dépêche, il sera alors un Garde des Sceaux remarquable qui entrera dans l'histoire par la grande porte en bridant les juges idéologues pour donner enfin du bon sens à la Justice. Rappelons qu'Éric Dupont-Moretti, ancien Ministre de la Justice, s'est dégonflé, lui qui souhaitait aussi introduire des jurés dans les Cours Pénales au début de son mandat. Il a même dû accepter par la suite d'instaurer des Cours d'Assises sans jury populaire, abandonnant ainsi le peu de démocratie judiciaire pour de la technocratie régressive.
Quand la vérité enfin avouée fait rêver
Ca fait rêver à une République toujours gouvernable et à une Justice exemplaire, en abandonnant le déni du réel et en envisageant de profondes réformes dont celle de rendre facultatives de très nombreuses lois et normes qui ruinent la France.
Franz Olivier Giesbert (Le Point n° 2741 du 6 février 2025) :
"[...] Ce n'est certes pas gagné dans un pays où, en plus, l'éducation est en capilotade, la France périphérique abandonnée et l'autorité de l'Etat dévoyée par une fraction de la justice de plus en plus militante."
Quand le politique cesse le déni du réel, ose la pédagogie, tous les espoirs sont permis.
Si un jour la justice appliquait les lois de la République sans les substituer par celles créées par des juges idéologues et respectait des faits dûment vérifiés plutôt que des faits dénaturés ou falsifiés pour satisfaire de sombres intérêts occultes, notre démocratie deviendrait exemplaire au grand bonheur de tous les citoyens.
Les gouvernements sont contrôlés par des parlementaires, élus, qui peuvent amender leurs textes de lois et même les censurer, c'est la démocratie représentative actuelle.
En revanche les juges, non élus, ne sont pas du tout contrôlés quelques soient leurs errements, c'est une forme de dictature. Quand des magistrats appliquent une politique extrémiste ou bien condamnent un innocent sur la foi de mensonges grossiers, de dénaturations ou de falsifications des faits, il serait alors simple et salutaire de faire appel à des Commissions Citoyennes Ethiques, composées de jurés tirés au sort. Pour contourner l'obstruction corporatiste de certains juges à ne pas corriger leurs excès ou leurs erreurs, c'est bien une participation citoyenne qui est le seul remède.
Exemple d'aberration : comment et par quels moyens réaliser les enquêtes de police ? Cela ne devrait surtout pas être statué par la Cour de Cassation, mais par des textes de lois votés par les parlementaires. Combien d'enquêtes n'ont pas pu aboutir car paralysées par les contraintes abusives de cette juridiction ? Laissons la police faire efficacement son travail si c'est la volonté populaire. L'inflation des crimes et délits devrait ainsi engager l'Etat à refonder complètement la justice sur les bases du bon sens et non d'une idéologie largement minoritaire.
Vœux du Procureur Jacques Dallest coauteur du livre « Juges en Corse » :
« La confiance, la loyauté sont des éléments essentiels de mon mode de fonctionnement. Agir avec franchise, ne pas porter de coups tordus dans le dos des gens, telle est ma conviction profonde. Je pense sincèrement qu'un magistrat peut se conformer à cette règle salutaire. Et ce quels que soient les événements ou le contexte du moment. En Corse, plus qu'ailleurs, nourrir les querelles entre services, valider des montages juridiques douteux, attiser les tensions pour s'imposer sont à proscrire absolument. La justice doit être exempte de toute critique à cet égard. »
Pour répondre aux vœux de ce procureur exemplaire, qui s'indigne d'un fonctionnement scandaleux et endémique de la justice, il n'y a pas de moyens plus sûrs que des jurés tirés aux sort et réunis en visioconférence pour former une Commission Citoyenne Ethique. Il faut sortir de l'ornière cette institution judiciaire obsolète par une restructuration fondée sur une démocratie éclairée. Toute tentative de rafistolage de l'intérieur du système actuel est voué à l'échec parce qu'il est gangréné par un corporatisme atavique qui s'ingénie à glisser ses scories sous le tapis.
Quand trois procureurs, Eric de Mongolfier, Nicolas Bessone et Jacques Dallest, entre autres, s'insurgent dans la presse contre un fonctionnement dévoyé de la justice, c'est qu'ils en ont gros sur le cœur parce que le mal est très profond, répétitif et totalement inacceptable !
Rendre la France gouvernable sans avoir à mettre en péril son économie par des programmes politiques ubuesques, rendre à la justice son honneur, sa probité et son efficacité, ça mérite de proposer un referendum pour une nouvelle gouvernance comprenant une vraie participation citoyenne pour remplacer les idéologies sectaires par du bon sens.
Pourquoi faut-il aller vite plutôt que de procéder graduellement
François Facchini, professeur d'économie (Le Point n° 2741 du 6 février 2025) :
Quand la vérité enfin avouée fait rêver
Ca fait rêver à une République toujours gouvernable et à une Justice exemplaire, en abandonnant le déni du réel et en envisageant de profondes réformes dont celle de rendre facultatives de très nombreuses lois et normes qui ruinent la France.
Franz Olivier Giesbert (Le Point n° 2741 du 6 février 2025) :
"[...] Ce n'est certes pas gagné dans un pays où, en plus, l'éducation est en capilotade, la France périphérique abandonnée et l'autorité de l'Etat dévoyée par une fraction de la justice de plus en plus militante."
Quand le politique cesse le déni du réel, ose la pédagogie, tous les espoirs sont permis.
Si un jour la justice appliquait les lois de la République sans les substituer par celles créées par des juges idéologues et respectait des faits dûment vérifiés plutôt que des faits dénaturés ou falsifiés pour satisfaire de sombres intérêts occultes, notre démocratie deviendrait exemplaire au grand bonheur de tous les citoyens.
Les gouvernements sont contrôlés par des parlementaires, élus, qui peuvent amender leurs textes de lois et même les censurer, c'est la démocratie représentative actuelle.
En revanche les juges, non élus, ne sont pas du tout contrôlés quelques soient leurs errements, c'est une forme de dictature. Quand des magistrats appliquent une politique extrémiste ou bien condamnent un innocent sur la foi de mensonges grossiers, de dénaturations ou de falsifications des faits, il serait alors simple et salutaire de faire appel à des Commissions Citoyennes Ethiques, composées de jurés tirés au sort. Pour contourner l'obstruction corporatiste de certains juges à ne pas corriger leurs excès ou leurs erreurs, c'est bien une participation citoyenne qui est le seul remède.
Exemple d'aberration : comment et par quels moyens réaliser les enquêtes de police ? Cela ne devrait surtout pas être statué par la Cour de Cassation, mais par des textes de lois votés par les parlementaires. Combien d'enquêtes n'ont pas pu aboutir car paralysées par les contraintes abusives de cette juridiction ? Laissons la police faire efficacement son travail si c'est la volonté populaire. L'inflation des crimes et délits devrait ainsi engager l'Etat à refonder complètement la justice sur les bases du bon sens et non d'une idéologie largement minoritaire.
Vœux du Procureur Jacques Dallest coauteur du livre « Juges en Corse » :
« La confiance, la loyauté sont des éléments essentiels de mon mode de fonctionnement. Agir avec franchise, ne pas porter de coups tordus dans le dos des gens, telle est ma conviction profonde. Je pense sincèrement qu'un magistrat peut se conformer à cette règle salutaire. Et ce quels que soient les événements ou le contexte du moment. En Corse, plus qu'ailleurs, nourrir les querelles entre services, valider des montages juridiques douteux, attiser les tensions pour s'imposer sont à proscrire absolument. La justice doit être exempte de toute critique à cet égard. »
Pour répondre aux vœux de ce procureur exemplaire, qui s'indigne d'un fonctionnement scandaleux et endémique de la justice, il n'y a pas de moyens plus sûrs que des jurés tirés aux sort et réunis en visioconférence pour former une Commission Citoyenne Ethique. Il faut sortir de l'ornière cette institution judiciaire obsolète par une restructuration fondée sur une démocratie éclairée. Toute tentative de rafistolage de l'intérieur du système actuel est voué à l'échec parce qu'il est gangréné par un corporatisme atavique qui s'ingénie à glisser ses scories sous le tapis.
Quand trois procureurs, Eric de Mongolfier, Nicolas Bessone et Jacques Dallest, entre autres, s'insurgent dans la presse contre un fonctionnement dévoyé de la justice, c'est qu'ils en ont gros sur le cœur parce que le mal est très profond, répétitif et totalement inacceptable !
Rendre la France gouvernable sans avoir à mettre en péril son économie par des programmes politiques ubuesques, rendre à la justice son honneur, sa probité et son efficacité, ça mérite de proposer un referendum pour une nouvelle gouvernance comprenant une vraie participation citoyenne pour remplacer les idéologies sectaires par du bon sens.
Pourquoi faut-il aller vite plutôt que de procéder graduellement
François Facchini, professeur d'économie (Le Point n° 2741 du 6 février 2025) :
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