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                           Petite évaluation sur votre perception du fonctionnement de la Justice

Le général Bertrand Soubelet, numéro 3 de la gendarmerie ; Michèle Bernard-Requin, magistrate honoraire qui a présidé les Cours d'assises de Paris et de Bobigny ; Maître Eric Dupont-Moretti, avocat ; Caroline Brun et Marie-Christine Tabet, journalistes ; Christophe Barbier, éditorialiste et Jean-Louis Bruguière, ancien juge anti-terroriste, ont inspiré les termes du questionnaire qui évaluera en 23 questions votre opinion sur notre Institution Judiciaire.

Pour accéder à votre évaluation : opinion             

(Ne pas oublier de se munir d'un papier et d'un crayon parce que cette évaluation est personnelle et confidentielle)

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En finir avec d'une idéologie mortifère  -  par Reforme_dela_justice

En finir avec une idéologie mortifère

Depuis des décennies une idéologie qui se croyait généreuse est devenue gravement mortifère avec une explosion de la délinquance multirécidiviste. L'ensauvagement de la France est le fruit de la perte de l'autorité de l'Etat dont le bras armé, la Justice, ne joue plus du tout son rôle. 

Force est aussi de constater, qu'à de trop rares exceptions près, quand un juge commet une erreur grossière, par corporatisme ses collègues le soutiennent sans discernement en refusant obstinément de corriger son jugement quand ils sont appelés à le faire. Les erreurs judiciaires s'accumulent ainsi sans jamais être l'objet d'une juste réparation. Là aussi tout est à revoir.

C'est une magistrate, Béatrice Brugère, secrétaire générale d’Unité-Magistrats-FO, qui donne enfin l’alerte : 
[…] Le désir de justice est grand, mais il n'est pas satisfait. La colère gronde, il faut l'entendre. […]

[…] Depuis Michel Foucault, l'idéologie dominante combat la prison, qui est devenue l'ultime recours. Le législateur a tout mis en place pour repousser au maximum l'entrée en détention et pour en accélérer la sortie: 41% des condamnés à une peine ferme ne mettent jamais les pieds en prison. Or aucune étude n'a jamais montré les bénéfices de la probation. On condamne, mais trop tard, trop lentement, à contretemps et à contresens. Résultat: la criminalité et la récidive augmentent. Il faut en revenir à Beccaria [1738-1794], criminaliste des Lumières: proportionnalité, rapidité et certitude de la peine. […]

« Les pays du Nord ont expérimenté les ultracourtes peines et ont vidé leurs prisons. »

Cette magistrate clairvoyante sera-t-elle entendue ? A quand une réforme de la Justice ?

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Publié le 01/03/2024 15:13  - aucun commentaire - aucun commentaire - Voir? Ajouter le vôtre ?   Haut
L'Europe abandonnée  -  par GillesBressiere

L’Europe abandonnée

   Si Trump arrive au pouvoir, l’Europe risque de ne plus être protégée par les USA.
  L’OTAN n’aura plus de raison d’être, coincée entre une Turquie d’Erdogan ambiguë et une Amérique de Trump hostile (n’a-t-il pas dit qu’en cas d’agression d’un pays européen par la Russie, il ne lui apporterait aucune aide et qu’au contraire il soutiendrait l’agresseur !).
  L’Europe a en son sein des pays comme la Hongrie de Victor Orban pour lesquels la solidarité est improbable en cas d’agression d’un membre de l’UE ; mais qui serait même capable de s’associer militairement avec l’ennemi.

  L’Europe a les moyens technologiques et financiers de se défendre seule si elle le veut.
  Autant il fallait se doter de matériels américains en remerciement pour leur protection militaire, autant il serait plus sûr maintenant d’unifier l’armement avec des avions, des drones, des chars, des canons communs et uniquement européens (en cas de guerre Trump, imprévisible, pourrait éventuellement faire l’embargo sur les pièces détachées des armes américaines pour favoriser son ‘ami’ Poutine).  
  Plus de naïveté : il ne fallait pas croire que d’acheter beaucoup de matières premières à la Russie, gaz, pétrole, minerais, achèterait aussi la paix. Il ne faut plus croire que de se fournir en matériels américains nous fournira aussi leur protection militaire. 

  L’europe ne peut plus compter que sur elle-même et en a les moyens.
 Une économie de guerre dope l’économie tout en renforçant la dissuasion : la Russie avec cent quarante millions d’habitants aurait à faire face à quatre cent millions d’Européens mieux armés et disposant également de l’arme nucléaire (grâce à la France et au Royaume Uni).
  « Si vis pacem para bellum » : si tu veux la paix prépare la guerre.
Trump et Poutine sont des accélérateurs qui peuvent aider à l’achèvement de l’Union Européenne, c’est un bien pour un mal surtout si l’Europe Technocratique de Bruxelles devait en final évoluer vers une Grande Démocratie Eclairée, fondée sur des commissions citoyennes composées de jurés tirés au sort.

Franz-Olivier Giesbert (Le Point 2691 du 29 février 2024) :
[…] Si la catastrophe Trump se confirme avec son élection à la présidentielle du 5 novembre, il laissera sans doute tomber l'Ukraine. Non parce qu'il est à la botte de Poutine, comme le croient les godichons, mais parce que son isolationnisme l'amène à mettre une croix sur l'Europe, qui ne vaut rien à ses yeux, ni une guerre, ni même une messe.

«Aide-toi, le Ciel t'aidera!» C'est la devise des âmes fortes, mais apparemment pas celle de l'Europe, qui a remis depuis longtemps, hélas, son destin entre les mains des États-Unis et qui, face à la Russie, semble de plus en plus sensible aux sirènes du «Courage, fuyons! ». En témoigne un sondage Ifop pour la Fondation Jean Jaurès qui montre que le soutien des Français à l'Ukraine s'érode sérieusement et qu'ils sont désormais contre l'adhésion de l'Ukraine à l'UE: 51 contre 49%. [...]

[…] Si le constat d'Emmanuel Todd est juste, ce n'est pas chez lui qu'il faut chercher la sortie de crise mais plutôt chez un grand auteur du VIe siècle avant notre ère, le général chinois Sun Tzu: on ne recommandera jamais assez la lecture de son Art de la guerre. Il nous démontre que la meilleure façon de gagner la guerre c'est de ne pas la faire, mais après l'avoir bien préparée. Pour« vaincre sans combattre ». Une méthode que l'an­cien président américain Ronald Reagan résumait d'une formule: «La paix par la force » («Peace throughstrength»). [...] Editorial cliquer Ici

  Si la formulation en parlant de « troupes au sol » d’Emmanuel Macron est maladroite, avec « En dynamique rien ne peut être exclu » il n’a pas tort de vouloir enfin obliger l’UE à s'armer de façon à dissuader la Russie de commettre de nouvelles agressions.

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Publié le 27/02/2024 13:10  - aucun commentaire - aucun commentaire - Voir? Ajouter le vôtre ?   Haut

Les grèves rituelles à la SNCF

Question : selon le chapitre « La nature humaine » de l’essai de Gilles Bressière « L’horreur judiciaire – Au nom du peuple français » page 69, dans quel cadran proposé par Carlo M. Cipolla se situent les grévistes de la SNCF qui choisissent toujours les grands départs des vacances scolaires pour plonger le maximum de voyageurs dans le désarroi ?

Quand il n’y a aucune sanction à prévoir, les statistiques montrent que 30 % des gens n’ont aucuns scrupules à abuser de leurs pouvoirs pour persécuter leurs victimes. Au cours de l'émission 28' d'Arte du 19 février 2024, concernant le trépas d'Alexeï Navalny (le principal opposant à Poutine qui est mort en prison à 47 ans après avoir déjà subi une tentative d'empoisonnement), il est révélé que les "donos" (délateurs durant le règne de Staline en URSS) représentaient un tiers des Russes. Statistiques à l'échelle d'un grand pays sur une très longue période, qui corroborent celles du livre de Gilles Bressière.
Dans les grèves rituelles de la SNCF au moment des vacances, seul les contribuables passent à la caisse, les grévistes s’arrangent pour que l’immunité soit incluse dans leurs négociations. 

Imaginons que des Comités Citoyens puissent évaluer quelle est la balance équitable entre les motifs de grèves et leurs conséquences pour les citoyens ou pour l’économie du pays…
En cas d’abus reconnus par des jurés tirés au sort, ceux-ci pourraient s’appuyer sur un barème pour équilibrer le rapport de force.
Les revendications leur semblent légitimes, seule une ponction sur le salaire des grévistes sera appliquée sans dérogation possible. Ils trouvent que les conséquences de la grève sont disproportionnées par rapport aux revendications : ils pourraient alors proposer, par exemple, que l’âge de départ à la retraite du gréviste soit prolongé d’un trimestre par jour de grève (les cheminots sont déjà tellement privilégiés par rapport aux autres salariés du transport comme les chauffeurs routiers), ça en ferait réfléchir plus d’un… Ce serait au préavis légal de grève qu’un barème serait proposé par le Comité Citoyen en fonction du calendrier, inutile de déposer un préavis par jour comme maintenant pour piéger les voyageurs, celui qui sera choisi devra être unique et connaître toutes les modalités présentées par les jurés. Les habituels récalcitrants systématiques auront le mérite de rejoindre plus rapidement l’âge légal du départ à la retraite des autres salariés, cela de façon totalement irrévocable et même risquer des sanctions beaucoup plus lourdes si nécessaire.
La délinquance est le fruit du laxisme, l’autorité doit s’appuyer sur la sanction.
Puissions-nous inaugurer enfin l’arrivée du peuple comme force de loi dans une démocratie éclairée abandonnant le laxisme actuel. 
Le droit de grève : oui, les abus : non.

Commentaire d’Elodie (19 février 2024) : Quand au dix neuvième siècle, la CGT a sorti les ouvriers de la misère et des cadences infernales, c’était un engagement héroïque et historique qui était justice.
Les chauffeurs de locomotives à vapeur, qui entretenaient leur machine, sont partis à la retraite plus tôt, usés par un dur labeur, ce n’était encore que justice.
Quant à la CGT d’aujourd’hui, dont les salariés syndiqués représentent une petite minorité, obtient des avantages exorbitants par la force brutale de conducteurs de trains qui peuvent bloquer le pays, mais dont les conditions de travail sont confortables avec des machines électriques modernes assistées par ordinateur, ce n’est plus qu’une injustice criante envers les travailleurs de la route notamment. On est passé d’un héroïsme initial admirable à une forme de délinquance rituelle détestable. La CGT du Livre a favorisé l’impression des ouvrages à l’étranger, la CGT des dockers a fait le bonheur des ports d’Anvers ou de Rotterdam. La compagnie maritime SNCM a été coulée par un syndicat aussi excessif, avec des grèves répétitives, au profit d’une compagnie italienne concurrente, la Corsica Ferries. 
Je comprends Voltaire de vouloir équilibrer la force syndicale et la force démocratique pour éviter un blocage économique du pays, tellement désastreux, cela en moralisant un droit de grève légitime par des pénalités dissuasives pour en réduire les abus.

Le syndicalisme en France est gangrené par des idéologues qui ne connaissent que la violence. 

SOS Education victime du fascisme d'un groupe de syndicalistes extrémistes qui se croient des héros en insultant une conférencière pacifique susceptible de déranger leurs opinions simplistes.

Des manifestants syndicaux ont empêché la tenue de notre conférence ! 

Peut-on encore débattre sur les sujets importants pour l’École en France ?
Le 1er février dernier, je me suis déplacée à Pacé, près de Rennes, pour intervenir lors d’une réunion-débat sur l'éducation à la sexualité à l’École…
… Et avant que je ne puisse prendre la parole, des manifestants ont infiltré cette réunion et semé le chaos dans la salle de conférence ! 
Debout, mégaphone à la main et drapeaux syndicaux levés, ils ont empêché la conférence de se tenir.
Représentant plusieurs syndicats, ces militants ont refusé tout dialogue et ont continué à siffler, à proférer des insultes et à hurler dans leur mégaphone.
(D’après Ouest France, qui a publié un article sur le sujet, étaient présents : FSU, CGT Éducation privée et publique, SUD éducation et le Planning Familial)
Je leur ai proposé plusieurs fois de rester et de participer au débat en fin de réunion, mais en vain.
Impossible de connaître leurs arguments : ces gens refusent le débat, car l’intérêt supérieur des enfants n’est pas leur priorité. Sinon l’École n’en serait pas là où elle en est !
Malgré la bonne volonté des organisateurs et le soutien des spectateurs venus assister à ce qui aurait dû être une conférence sur notre rapport rigoureux et documenté, réalisé avec des spécialistes de grande renommée, nous avons dû annuler l’événement. 
Je ne vous cache pas que le ton est monté d’un cran, les manifestants étant particulièrement agressifs sur le fond et dans la forme de leurs interpellations. 
Haine, excitation, atmosphère tendue - ces personnes étaient manifestement incapables d’accepter le débat constructif que nous leur proposions. 
Les gendarmes ayant rapidement tourné les talons, il n’y avait aucun dispositif pour sécuriser l'événement, ce qui aurait pu être préjudiciable si nous n’avions pas (tout au moins de notre côté) contribué à l’apaisement.
Mais surtout, le porte-parole de ce mouvement, bien connu localement pour son militantisme politique, a tenu à l’encontre de SOS Éducation des propos à caractère explicitement diffamatoires et absolument inacceptables. 
Ce qui nous a conduit à déposer plainte en diffamation contre ce manifestant très virulent, pour ses propos mensongers et ses insinuations ignobles. 

Au dix-neuvième siècle, la violence se justifiait pour sortir les ouvriers des cadences infernales et de la misère. Au vingt et unième siècle, il aurait fallu pouvoir évoluer avec l'amélioration du niveau de vie. Il ne faut donc pas s'étonner si les travailleurs ont abandonné en majorité cette idéologie gauchiste désuète et mortifère pour le pays. Le bon sens populaire est un antidote efficace contre les délires idéologiques des 'bien pensants' autoproclamés.

Commentaire de François-Marie (25 février 2024) : Que des gens négatifs comme ça continuent d'être subventionnés avec de l'argent public en dit long sur notre société bien malade. Pourquoi récompenser ceux qui ont fait plonger l'Education Nationale en bas des classements internationaux comme Pisa ? Pourquoi de pas soutenir les bonnes volontés qui essaient d'en relever le niveau ? 

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Publié le 18/02/2024 21:19  - aucun commentaire - aucun commentaire - Voir? Ajouter le vôtre ?   Haut
La tragédie française  -  par GillesBressiere

La tragédie française

Etienne Gernelle et Gaspard Koenig enfoncent le clou (Le Point 2688 du 8 février 2024)

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Publié le 08/02/2024 10:07  - aucun commentaire - aucun commentaire - Voir? Ajouter le vôtre ?   Haut
La démocratie se meurt  -  par GillesBressiere

La démocratie se meurt

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  Le peuple est massacré par des élites « bien-pensantes » qui occultent et font taire les vraies élites.
 Un referendum s’impose donc pour modifier la constitution en limitant les pouvoirs du Conseil Constitutionnel pour lui redonner l’esprit de son fondateur Charles de Gaulle. C’est à dire uniquement vérifier la constitutionnalité des lois et non abroger ce qui déplaît aux membres de ce conseil (nommés et non élus). 
  A ce referendum il serait bon d’y ajouter le contrôle de l’administration par des Commissions Citoyennes pour en corriger les abus. Il faut savoir qu’aujourd’hui, qu'en plus de tracasseries tatillonnes, des fonctionnaires indélicats se permettent de faire condamner des innocents en falsifiant les faits, en mentant sciemment pour fomenter de véritables escroqueries aux jugements qu'ils adressent à des juges naïfs ou bien complices, afin de mater d’éventuels récalcitrants ou pour satisfaire des intérêts occultes inavouables. Assermentés mais dont le parjure n'est jamais sanctionné !

  Une partie du parc locatif est rendu technocratiquement inhabitable pour répondre aux critères imposés aux petits propriétaires par les « escrologistes » alors que la pénurie de logements atteint un niveau insupportable avec environ 300 000 personnes à la rue, est-ce raisonnable ? Rappelons que la France émet 0,9 % des gaz à effet de serre du total mondial et que ramener ce taux à zéro ne sauvera pas la planète. Alors pourquoi faire subir tant de contraintes aux Français ? Bien des petits propriétaires n’ont pas les moyens de payer les travaux préconisés administrativement, malgré d'éventuelles aides de l'Etat, et renoncent définitivement à mettre leurs biens en location. Il vaut mieux vivre dans une passoire thermique que de survivre dans la rue. Alors il faudrait vite rendre facultatives ces nouvelles règlementations ; car comme disent les proverbes : "Le mieux est l'ennemi du bien" et "L'enfer est pavé de bonnes intentions". Nos élites « bien-pensantes », logées confortablement, doivent sûrement penser le contraire...

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Publié le 01/02/2024 11:39  - aucun commentaire - aucun commentaire - Voir? Ajouter le vôtre ?   Haut

Agriculteurs en colère : on vous avait prévenus !


Prévenir un mouvement social par des mesures de bon sens est facile (c'est rarement anticipé), alors qu'arrêter un mouvement social qui a pris de l'ampleur est très ardu et surtout très couteux (dommage de s'en soucier trop tard).

Quand chaque année l'administration, toujours plus punitive, ajoute des règlements plus contraignants, de nouvelles normes environnementales idéologiques, des paperasses plus pléthoriques et inutilement intrusives, etc. un seul remède : que ce soit facultatif !

Les normes peuvent être conseillées mais jamais imposées surtout par des fonctionnaires méchamment  tatillons. Laissons aux paysans leur savoir-faire. 

Gilles Bressière a proposé de classer les règles et les normes par ordre d'importance décroissante et de ne retenir que celles qui sont réellement approuvées par tous les intéressés et de rendre les autres facultatives. 

Monsieur Gabriel Attal si vous innoviez en bousculant enfin une technocratie étouffante, la paix serait le résultat prévisible rendu par une future bienveillance administrative si souhaitée par tant de Français.

Quand, par exemple, les cerises ou les épinards ne sont plus cultivés en France parce des normes contraignantes ne les rendent plus compétitifs et qu'ils sont importés venant de pays plus tolérants, les normes qui provoquent cet abandon doivent devenir facultatives ou être compensées financièrement (ce qui coûterait à l'Etat, alors que les normes facultatives ce serait évidemment beaucoup moins cher).

Commentaire oral de Chloé (mis par écrit par Gilles Bressière le 24 janvier 2024) : Il faut arrêter cette hécatombe d'exploitants ruraux poussés au désespoir, qui se suicident en grand nombre, victimes de l'intrusion ubuesque des incompétents qui veulent leur apprendre leur métier. Alléger enfin leurs contraintes administratives, pourquoi ne pas en faire une cause nationale ? On a bêtement désindustrialisé la France par une politique déconnectée des réalités mondiales ; alors surtout ne sacrifions pas ensuite son agriculture par une administration tracassière tellement hors sol. 

Pour la France le coût estimé en perte de productivité, causé par la sursaturation de normes et de règles administratives, est compris entre 60 et 80 milliards d'euros annuellement (3 % du PIB). 

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Publié le 24/01/2024 12:55  - aucun commentaire - aucun commentaire - Voir? Ajouter le vôtre ?   Haut
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