Idiocratie judiciaire : ça suffit !
Urgent : neutralisons les juges idéologues par des jurés responsables sinon la France ne s'en relèvera pas. Accompagnons cette réforme indispensable d'un choc de simplification administratif. Nous sommes si nombreux à le répéter !
"Certes, jouant toujours le pire, la confrérie des pyromanes associés rêve que le pays reste encore longtemps à l'arrêt, en attendant le Grand Soir. Mais cette secte apocalyptique n'est-elle pas à la ramasse? La crise à venir n'est-elle pas, au contraire, l'occasion de remettre à l'ordre du jour la valeur travail, massacrée par la gauche, puis par la droite, avec les 35 heures? De ce point de vue, très encourageant est le tour pris par l'affaire de la mise à l'arrêt de l'usine Renault de Sandouville.
Évidemment dénué de tout parti pris politique, un juge des référés avait donné raison à la CGT, qui réclamait la fermeture du site. Ce que n'avait pas prévu le magistrat, c'était la grosse colère de tous les autres syndicats, qui venaient de signer le protocole sanitaire avec la direction: la CFDT, FO la CFE-CGC. N'étaient reprochées à Renault que des fautes de formes. Il fallait que « justice» passe au risque de faire crever l'usine?
Jamais responsables, même quand ils sont coupables, toujours dispensés de comptes à rendre, les juges politisés ont les moyens, à l'image de celui-là, d'arrêter les usines s'ils le veulent. Nos délires paperassiers et la complexité du volumineux Code du travail sont leurs meilleurs alliés quand ils sont mal lunés ou militent à l'ultragauche. Tels sont les effets de notre hypercentralisation, fruit des noces de l'Ancien Régime et de la Révolution française: si tout est «pensé» en haut, il ne faut pas s'étonner que les dysfonctionnements s'accumulent dans notre pays, mère patrie de la bureaucratie, avec l'ex-URSS."
Extrait de l'éditorial de Franz-Olivier Giesbert Le Point du 14 mai 2020
Réforme de la Justice (15 mai 2020) : Quand Nicolas Sarkozy et François Fillon ont expérimenté l'introduction de jurés dans deux cours correctionnelles, il est affligeant que François Hollande et Christiane Taubira aient flingué cette expérience trois mois après avoir pris le pouvoir sans avoir cherché à l'améliorer. C'était pourtant très prometteur. Aujourd'hui la France est sous le joug d'une institution judiciaire dont l'idéologie dominante est inspirée par le philosophe Guy Debord "Le bon sens est une valeur bourgeoise". Une délinquance qui explose en agressant impunément des policiers découragés, des entreprises condamnées à tort qui sont obligées de licencier, des innocents crucifiés, voilà où conduit l'inversion des valeurs pratiquée par des magistrats formatés gauchistes. Tragédie d'un pays sur-administré en proie à l'arbitraire.
Aurélie (15 mai 2020) : La défiance des Français contre les autorités se nourrit de tous les travers d'une administration pléthorique s'appuyant sur des textes toujours plus nombreux, plus contraignants et pourtant appliqués arbitrairement. Pourquoi nos gouvernants dorlotent une justice irresponsable, noyautée par des idéologies destructrices qui contribue à infantiliser et à martyriser un peuple exaspéré ? La sortie de la crise provoquée par le Covid-19 aura-t-elle un effet salutaire en permettant enfin de jeter les bases d'une société harmonieuse fondée sur le vrai bon sens ?
Le gouvernement a trouvé la solution pour neutraliser les juges (21 mai 2020) : cliquer Ici
Ca va le CSA ? Avia très bien, merci.
Comment survivre dans un environnement hostile
Actualités judiciaires