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Le langage : un outil pour former sans informer

Pendant que les "politologues" médiatiques accompagnent les déplacement du sémillant Macron en Europe, s'extasient sur l'allure de son épouse "Bibi", commentent les faits et gestes du "Château" (aka l'Elysée), dont les frasques du chien Nemo, la "France d'en bas", les "sans-dents" les quasi analphabètes qui "foutent le bordel au lieu de chercher du travail" finissent  par comprendre qu'au delà des promesses de campagne, ils n'existaient pas dans l'Olympe de Jupiter et de son entourage énarchique et grand bourgeois.


Ainsi, certains préfèrent en finir.

Mais le monde des media n'est obligé de mentionner leurs suicides que quand il crée des désordres que la SNCF appelle pudiquement "incident passager".https://www.24matins.fr/sarthe-tgv-fauche-mortellement-femme-fille-626669
Evidemment, il faut édulcorer : donc on titre : Dimanche matin dans la Sarthe, une femme d'une trentaine d'années et sa fille de 3 ans ont été mortellement percutées par un TGV. Cette mère aurait délibérément voulu se donner la mort. Le conditionnel utilisé laisse entendre qu'un doute existe, bien que l'article stipule plus loin : "Les premiers éléments communiqués, et rapportés entre autres par LCI, font état d’une mère qui se tenait assise sur la voie ferrée, son enfant dans les bras. Le conducteur du train a déclaré ne pas avoir vu la femme et sa fille observer le moindre “geste d’évitement” à l’arrivée du TGV. "
Donc, se tenir assise sur la voie ferrée du TGV avec son enfant dans les bras et ne pas bouger à son arrivée, ne caractérise pas une volonté de suicide pour l'auteur de l'article. Ou plutôt, cette présentation des faits marque bien la volonté d'édulcoration de la réalité de la part du monde macronien et son refus de toute considération pour "la France qui trinque" (dont les retraités, "aisés" à partir de 1200€/mois)

Commentaire de François Marie Arouet sur la novlangue :

Dans la volonté d'édulcorer le fait divers mentionné ci-dessus je suggère au journaliste de remplacer "Cette mère aurait délibérément voulu se donner la mort." par "Il est éventuellement envisageable que cette mère espérait trouver la plénitude dans l'au-delà."

Avant de vous donner de nombreux exemples du langage utilisé par les journalistes et les hommes politiques, non pour vous informer, mais pour vous éduquer et vous transmettre subrepticement leurs idéologies, vous trouverez ci-dessous un modèle très représentatif des dérives actuelles, il est présenté par Claire Polin. Par la suite nous vous dévoilerons d'autres sujets où par une reconstruction sémantique systématique, insidieusement, les militants cachent les réalités dérangeantes qui remettraient en cause leurs belles certitudes.

Claire Polin Présidente de SOS Éducation

"Je sais, il paraît que je ne devrais plus écrire comme ça. L’orthographe qui s’impose, ou plutôt qu’on veut nous imposer, c’est : cher.e.s ami.e.s ! Il se trouve que j’ai du mal à le faire car je suis allée à l’école à une époque où on y apprenait encore le français... 

Au départ de cette imbécile invention grammaticale, il y a des féministes quelque peu égarées... 
Pour elles, l’orthographe actuelle incarne une abominable oppression de l’homme sur la femme, une préférence inacceptable accordée au masculin sur le féminin. Il est vrai qu’au pluriel, c’est le masculin qui l’emporte sur le féminin. À coup sûr, des millions de femmes en souffrent, et humiliées, n’en dorment pas la nuit... 

Petit à petit, à force de vocifération et de pétitions, elles ont gagné du terrain. Et l’ère actuelle est propice à assurer leur triomphe. Même le parti qui nous gouverne a ainsi changé son logo. Désormais c’est LaREM et on peut lire en dessous : « vos député.e.s en marche ». Eh oui, elles sont au pouvoir. Retenez bien ces points qui dénaturent notre langue. Certain.e.s (c’est promis, après j’arrête !) d’entre vous connaissent les points tricots. Ces points-là s’appellent des points médians. 

Bientôt, ils seront intégrés automatiquement sur les ordinateurs. Déjà des éditeurs, pensant comme il faut, éditent des livres « inclusifs ». Et on trouve des auteurs, (je n’arrive pas à écrire « auteures ») pour les écrire. Tout cela est grotesque, ridicule. 

Trêve de plaisanterie. Les choses deviennent graves car les éditions Hatier ont jugé nécessaire de sortir un manuel pour élèves de CM2 intégrant l’orthographe inclusive. Cela n’a pas pu se faire sans l’appui bienveillant des pédagogues qui prétendent régenter les âmes de nos enfants. Ces pédagogues, tels des coucous, ont déposé leurs œufs dans un nid appelé ministère de l’Éducation Nationale. 

Pour eux, l’école n’est pas un endroit fait pour apprendre. C’est un lieu où l’on doit « pédagogiser », c’est à dire faire des expérimentations tordues et ubuesques. Désapprendre le français pour installer à sa place une novlangue, sans racines et sans âme. C’est comme ça qu’ils font mumuse. Mais faire mumuse en s’en prenant à des enfants innocents et sans défense, est au mieux un forfait, au pire un crime. 

Il s’agit, in fine, de déposséder les habitants de notre pays de leur identité. Ce qui fonde l’appartenance à un peuple, à une nation, c’est bien sûr une mémoire historique commune, mais aussi, et peut être avant tout, une langue. Faire disparaître le français est le but non avoué, car non avouable des tricoteuses et tricoteurs du point médian. 

Qu’on les laisse faire et elles, ils, iront plus loin dans leur fureur destructrice. Pour les élèves des collèges et des lycées, on réimprimera les poèmes de Baudelaire, de Verlaine et de Rimbaud en version inclusive. Emma Bovary, Bel-Ami, À la recherche du temps perdu seront, comme il se doit, parsemés de points médians. 

Et quand ça ne suffira pas, on amputera les textes inconvenants. Dans une édition future, certains passages de nos plus grands auteurs seront évidemment supprimés pour atteinte à la dignité féminine. 

Non, non, et non. Nous ne nous laisserons pas faire. 

Aujourd’hui, plus que jamais, il nous faut concentrer nos efforts sur la mise en place de mesures éducatives éprouvées. 

Nous devons faire corps, tous ensemble, et continuer à nous battre contre tous ces projets de réformes ineptes et farfelus."

"Ruissellement"

C’est le terme utilisé pour faire croire que quand les riches s’enrichissent, leur argent ruisselle et enrichissent les autres.
La réalité c’est l’appauvrissement des classes moyennes au profit et des riches et des pauvres. Dans les années 1970, le PDG d’un grand groupe était payé environ 7 fois le salaire du moins bien rémunéré de sa société, aujourd’hui c’est plus de 300 fois.

Les cadres moyens, dont les cotisations sociales ont été multipliées par 3 (en 1970 le salaire brut était amputé d'environ 10 % de charges pour le salarié et aujourd'hui d'environ 30 %) et dont les impôts se sont considérablement alourdis, financent cette goinfrerie. 
  Pour s’enrichir les riches puisent surtout dans les ressources des classes moyennes. Et pour aider les pauvres, le gouvernement fait de la redistribution en taxant toujours plus les classes moyennes (là où il y a encore de l’argent disponible... sans réduire le train de vie de l’Etat).

(A suivre...)

Publié le 23/10/2017 13:12  - aucun commentaire - aucun commentaire - Voir? Ajouter le vôtre ?   Haut

 Réforme de la Justice

L'éditorial de l'hebdomadaire 'Le Point' du 19 octobre 2017 fustige les comportements irresponsables des juges, des policiers et des journalistes qui chassent en meute, sans vergogne. 

L'éditorial de Franz-Olivier Giesbert  

Plaidoyer pour M. Sarkozy-Bismuth,

« délinquant chevronné »

  La présomption d'innocence est une perte de temps. A l'ère de l'immédiateté, alors que notre monde va de plus en plus vite, pourquoi la respecter? Souvent fidèles aux trois L (lécher, lâcher, lyncher), les médias ont la condamnation facile, qui émettent volon­tiers des verdicts définitifs, sans autre forme de procès. Ob­servez comme beaucoup de nos chers confrères répugnent à écouter la défense, de peur d'avoir à changer d'avis!

  Longtemps, malgré bien des ratés, la justice tenta, du haut de son Aventin, d'empêcher les esprits de s'échauffer comme dans les tri­bunaux populaires. Aujourd'hui, le secret de l'ins­truction n'est plus qu'un vieux souvenir et les magistrats participent, aux premières loges, à la société médiatique en distillant, en insinuant, en divulguant, par journaliste interposé, le procès se déroulant ainsi... avant le procès.

  Désormais, les juges, les policiers et les jour­nalistes chassent en meute, sans vergogne. A la fin, tout le monde est broyé parce système dévoyé, les faibles, les petits, les puissants et tous les autres. Dernière victime: Nicolas Sarkozy, qui n'est certes pas un enfant de chœur et que ce journal n'a jamais épargné. Le voilà litté­ralement insulté, si les mots ont un sens, par ses juges. Dans son réquisitoire sur l'affaire des écoutes télépho­niques de M. Sarkozy (alias M. Bismuth), le Parquet na­tional financier (PNF) assimile l'ancien président à un «délinquant chevronné» avant de réclamer son renvoi et celui de son avocat en correctionnelle. C'est Le Monde, journal officiel du PNF, qui annonce la nouvelle, après avoir «pris connaissance »du texte qu'il n'a sans doute pas eu beaucoup de mal à se procurer. «Délinquant chevronné» est un jugement de valeur, une formule qui aurait pu figurer dans un discours politique, un éditorial du Monde ou du Point, mais qui, de toute évi­dence, n'a pas sa place dans un réquisitoire de magistrats prétendus neutres. Pour n'être pas suspect de sarkozysme, on n'en est pas moins attaché à quelques règles élémen­taires qui, ici, sont bafouées.

  Bouffre! Est-ce cela, la justice de notre pays, une justice expéditive qui prononce sa sentence sans at­tendre que le tribunal s'empare de l'affaire? Le PNF n'en est pas à son premier exploit. Après avoir massacré Fran­çois Fillon pendant la campagne présidentielle, il est allé chercher des poux dans la tête de Martine Vassal, prési­dente du conseil départemental des Bouches-du-Rhône, considérée comme une prétendante plus que sérieuse au trône de Jean-Claude Gaudin, lequel a été interrogé pen­dant des heures, pour qu'il la balance, sur un dossier qu'il ne connaissait pas!

  Loin de nous l'idée de nous prononcer sur le fond de l'affaire dite des écoutes télépho­niques de l'ex-chef de l'Etat, une sombre histoire de cornecul : en janvier 2014, alors qu'ils travaillaient sur un possible financement par le régime libyen de la cam­pagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007, les juges ont découvert que l'ancien président et son avocat, Me Thierry Herzog, se téléphonaient sur des numéros et des portables secrets. Des méthodes de «délinquant che­vronné», selon le PNF. Les deux hommes se servaient de téléphones achetés sous une fausse identité, comme celle d'un certain Bismuth pour M. Sarkozy, afin d'obtenir des informations sur une procédure en cours, celle de la validité de la saisie des agendas de l'ex-chef de l'Etat dans le cadre de l'enquête sur l'affaire Bettencourt. Leur informateur: un avocat gé­néral à la Cour de cassation à qui aurait été promis un poste à la principauté de Monaco. C'est pourquoi le PNF accuse aujourd'hui l'ancien président et son avocat de «faits de corruption» et de «trafic d'influence.»

  Que la justice passe, tout le monde est d'accord là-dessus. Mais qu'elle se permette d'invec­tiver les justiciables, ce n'est pas convenable. On peut tourner la chose dans tous les sens, il y a du robes­pierrisme dans cette attitude à l'égard de M. Sarkozy. Issu de la petite noblesse de robe, Maximilien de Robespierre (1) en avait conçu une haine torride contre l'aristocratie et le reste de l'humanité. Avec son expression de «chat qui a bu du vinaigre», selon la formule de Mirabeau, il œuvra, en pleine Terreur, pour une justice plus expédi­tive à travers la loi du 22 prairial an II (10 juin 1794) qui précipita sa chute. Georges Couthon, l'un de ses sbires, avait fait voter un texte qui supprimait les derniers droits des accusés. Plus d'interrogatoire, ni d'avocat, ni de preuves matérielles, ni d'audition obligatoire des témoins. C'était la guillotine assurée et elle ne chôma pas dans les semaines qui suivirent. N'y aurait-il pas toujours, dans notre pays, la nostalgie d'une justice« révolutionnaire» qui n'a de justice que le nom? 

1. A propos de Robespierre, sur lequel on dit tout et n'importe quoi, on ne recommandera jamais assez la lecture de l'excellente biographie de Laurent Dingli, un travail remarquable écrit d'une plume épatante, aux éditions Flammarion.

Jusqu'à quand accepterons-nous ce fonctionnement dévoyé de la République ?​

.

Commentaire de Lucas "La justice En Marche"

Ferrand.jpg. 

L’inénarrable Richard Ferrand a donc été absous d'office de toute malversation par le procureur de la république de Brest, et il faut remarquer que le petit microcosme médiatique évite soigneusement le sujet. Pourtant, le sujet en question est édifiant sur les mœurs françaises :


- d'une part, il se murmure que le procureur en question aurait été nommé l'été dernier à Brest; si c'est le cas, aurait-ce été dans le but d'exécuter une manœuvre tactique ? On ne le saura jamais.


- ensuite, son traitement "express" du cas Ferrand est qualifié de "tour de passe-passe" par le Canard enchainé d'hier 18/10.


- mais seul atlantico l'a cité, les autres politilogues et commentateurs médiatiques de plateaux restant prudemment dans l'expectative.


"Le "tour de passe-passe" du procureur de Brest : Dans son communiqué, le procureur affirme en effet que l'épouse de Richard Ferrand, Sandrine Doucen, "avait acquis dans le centre de Brest un immeuble qui a été loué ultérieurement aux Mutuelles". "En clair : le bien n’a pas été acheté en vue de le louer auxdites Mutuelles", explique l'hebdomadaire satirique. "Or les documents publiés par le ‘Canard’ attestent du contraire : c’est Ferrand qui a signé, à titre personnel, le compromis de vente sous la condition suspensive que les Mutuelles soient d’accord pour louer ces bureaux ! Et ce n’est qu’une fois cette question réglée que le directeur général a cédé l’affaire à sa compagne, qui se sera constitué, en dix ans, un patrimoine de 600 000 euros sans bourse délier", enfonce le palmipède. Il explique ensuite qu'à "l'époque cette manœuvre a permis à Ferrand de camoufler son rôle dans l’opération. Les comptes rendus des conseils d’administration des Mutuelles de Bretagne de janvier 2011, consacrés à cet achat immobilier, ont passé sous silence le rôle joué dans l'affaire par le duo Ferrand-Doucen".Pour autant, le procureur a conclu que "les investigations menées n’ont pas mis au jour d’éléments de dissimulation avérée", s’étonne le Canard Enchaîné, précisant que "la reconnaissance de cette dissimulation aurait eu pour effet d’allonger les délais de prescription". "Grâce à son tour de passe-passe, le procureur peut proclamer qu’un éventuel délit de prise illégale d’intérêt est prescrit depuis 2015", conclut Le Canard enchaîné, ajoutant que l’association anticorruption Anticor envisage de déposer plainte. http://www.atlantico.fr/pepites/tour-passe-passe-canard-enchaine-charge-procureur-qui-blanchi-ferran d-3197729.html

Commentaire d'Antoine "Censure !" :

  Ces évènements récents permettent de tester les censeurs (appelés pudiquement modérateurs) des différents sites qui traitent de l’actualité. Il est facile de faire l’évaluation des sites qui offrent aux internautes la possibilité de faire des commentaires.

  Si vous vous étonnez de la différence de traitement judiciaire entre Monsieur Ferrand et Messieurs Fillon ou Sarkozy, ce qui laisse planer un doute sur l’instrumentalisation de la justice par le pouvoir en place. Faites un commentaire sur le classement sans suite du tribunal de Brest concernant Monsieur Ferrand. Et regarder quels sont les sites qui suppriment votre remarque.
  Ou bien si vous marquez votre réprobation, sur Internet, en parlant des écoutes téléphoniques d’un client (Nicolas Sarkozy) avec son avocat  sur une conversation qui ne pouvait matériellement amener aucun avantage au juge Gilbert Azibert (de surcroît cet entretien téléphonique s’épanchait sur une affaire soldée par un non-lieu, celle où les magistrats ont confondu, sur l’agenda de l’ancien Président de la République, Liliane Bettencourt, la milliardaire, avec Ingrid Bettencourt, l’ancienne prisonnière des FARC) constatez la réaction des censeurs de certains sites.

  Si vous vous indignez des mauvais traitements subis par les animaux qui en sont les victimes dans certains abattoirs, testez, sur différents sites, par un commentaire qui compare la justice allemande à la notre. Récemment, des lanceurs d’alerte se sont introduits dans un abattoir en Allemagne pour rapporter des preuves d’une maltraitance : ils ont été relaxés et félicités par le juge. En France, ceux qui ont fait pareil on été condamnés, laissant accroire que la justice est indifférente aux victimes.

  Si vous trouvez anormal que dans les nombreuses affaires récentes on s’aperçoive que des délinquants n’ont subis aucune sanction (comme celui qui, en situation irrégulière, maintes fois arrêté et maintes fois relâché, a assassiné deux jeunes femmes à la gare St Charles à Marseille), essayez des commentaires réprobateurs sur différents sites. Si en plus vous rappelez que 100 000 peines par an ne sont jamais appliquées, en laissant entendre que la justice est laxiste, regardez l’effet produit sur les « modérateurs ».

  Si la censure s’applique, sur certains sites, à des commentaires qui ne comprennent ni insultes, ni diffamations, ni incitations à la haine… mais seulement le souhait de voir s’améliorer notre démocratie… Ca en dit long sur une «police de la pensée», très discrète, qui veille à nous maintenir dans l’ignorance…

  Exemple : essayez de conclure votre contribution par cette phrase : "Le célèbre criminologue Alain Bauer préconise l'introduction de jurés populaires dans les cours correctionnelles pour redonner du bon sens à la justice." Et regardez au bout de combien de temps votre commentaire, terminé avec cette assertion hétérodoxe, est effacé. (Interdiction de signaler que certains magistrats enivrés par leur pouvoir sans contrôle sont devenus incompétents).

 PS : Si vous recensez les sites qui traitent l’actualité et qui censurent les critiques du fonctionnement de notre justice : vous vous ferez une idée du mal français avec ses tabous. Regardez ceux qui retirent immédiatement des commentaires faisant références aux livres "L’Etat-voyou" ou "L'horreur judiciaire" … Eloquent.

Commentaire de François-Marie Arouet "Lueur d'espoir" :

La commission européenne qui a enquêté dix huit mois sur le scandale des « Panama papers » (puissante industrie de l’évasion fiscale) a rendu son rapport. Il est accablant pour beaucoup de haut-dirigeants (voire de Chefs d'Etats) accusés de corruption ou de complicité. Le rapport utilise même le terme d’Etats-voyous pour qualifier ces pays de l’Union Européenne !

Si les membres de cette commission le révèlent publiquement... Il y a de l'espoir...

Publié le 19/10/2017 09:35  - aucun commentaire - aucun commentaire - Voir? Ajouter le vôtre ?   Haut
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