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Un système démocratique à bout de souffle  -  par Voltaire-Francois

Démocraties (suites...)

Démocratie représentative, démocratie directe ou démocratie semi-directe ?

Marc FESNAUD, Ministre de l'Agriculture, commentant le résultat de l'élection législative du 19 juin 2022, interrogé par la chaîne France Info :

"On paie un système démocratique qui est à bout de souffle"

Alors...

Faire appel à des jurés tirés au sort pour composer des commissions citoyennes, voilà l'avenir.

Ghislaine Ottenheimer (Challenges n° 746 du 9 juin 2022) : "Etrange. A quelques jours du premier tour des législatives, alors que le parti présidentiel perd du terrain, le chef de l'Etat, loin de mobiliser son camp, enjambe les élections et propose un nouvel organe de délibération. Un Conseil national de la refondation (CNR), constitué des «forces politiques, économiques, sociales, associatives ainsi que des citoyens tirés au sort ». Délibérer? C'est justement le rôle du Parlement. L'eurodéputé LR François-Xavier Bellamy a d'ailleurs ironisé: « Emmanuel Macron est à deux doigts d'avoir inventé l'Assemblée nationale. » Cette initiative, qui a été plutôt bien reçue dans les milieux associatifs, a provoqué un tollé dans les partis politiques d'opposition."

"Macron invente la démocratie apolitique" Cliquer Ici

Démocratie participative ou apolitique ou semi-directe... c'est bien l'avenir pour ne plus avoir à choisir parmi des programmes électoraux irréalistes, dispendieux, démagogiques et parfois incroyablement stupides.

Conseil :

Si le blocage de l'opposition devait être systématique pour empêcher le gouvernement de légiférer, Emmanuel Macron devrait nommer une personnalité qui soit consensuelle pour la majorité des Français (évidemment un choix difficile) afin de proposer un referendum sur la mise en place de Commissions Citoyennes, avec des jurés tirés au sort, pour répondre avec bon sens aux défis de notre pays et des Commissions Ethiques Citoyennes pour contrôler notre justice. Seule une personne ayant une bonne image auprès de nos compatriotes pourrait proposer cette participation citoyenne en évitant un vote sanction (un poste de Premier Ministre pourquoi pas ?).

Publié le 20/06/2022 17:19  - aucun commentaire - aucun commentaire - Voir? Ajouter le vôtre ?   Haut

L'inhumanité de l'État et de la techno-bureaucratie. 
Comment la machine nous dépossède.

Au journal télévisé du 9 juin 2022 sur l’A2, la rubrique « L’œil du 20 h » présente le cas d’un citadin qui a acquis en 2017 un terrain au bord de mer, constructible selon le cadastre, pour 100 000 € en 2017 à Audenge en Gironde pour y construire un pavillon. Mais sa demande de permis de construire a été refusée en 2022 au motif que son terrain n’était plus constructible, la mairie expliquant que cette décision a été prise par la préfecture et qu’elle concerne tout le bassin d’Arcachon. Cet acquéreur verse donc 700 € par mois pour payer un crédit pour un terrain ne valant plus que 5 000 €. Avec cette même décision préfectorale, un autre propriétaire de trois parcelles précédemment constructibles a perdu environ 750 000 € : insomnies, problèmes de santé pour cette décision administrative spoliatrice vécue évidemment comme une grave injustice. 

Remède :

Quand l’administration décide de rendre inconstructibles des terrains précédemment constructibles, il suffirait qu’elle dédommage les propriétaires lésés. 
L’injustice administrative perpétrée par des fonctionnaires non élus, peut rendre malade et même conduire ses victimes au suicide. Il faut absolument éviter cela.

Un litige avec l’administration devrait toujours avoir comme recours de pouvoir faire appel à une Commission Ethique Souveraine composée de jurés tirés au sort. Il faudrait que le gouvernement crée d’urgence ce nouvel auxiliaire de justice pour que la France, pays de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, devienne enfin une démocratie exemplaire. 

.

Pétition qui circule sur le Net ayant pour titre : 

L'inhumanité de l'État et de la techno-bureaucratie. 
Comment la machine nous dépossède.

« Noémie et Raphaël sont les jeunes parents d’une petite fille de 2 ans et ils viennent d’accueillir une deuxième enfant, née le 3 juin. La naissance s’est déroulée dans la quiétude de leur domicile, sans aucune assistance médicale. 

 Il ne s’agissait pas d’un “accident”, Noémie et Raphaël ont mûrement réfléchi leur projet d’ANA (accouchement non assisté). Ils se sont beaucoup documentés sur la physiologie de l’accouchement, ont échangé avec beaucoup de personnes ressources, ils étaient soutenus par leur entourage. La naissance s’est très bien passée, la maman et le bébé vont merveilleusement bien. 

Mais le mardi suivant, quand Raphaël se rend à la mairie de Vitré (Ille-et-Vilaine), tout bascule. L’officier de l’état civil refuse d’enregistrer la déclaration de naissance du papa, au prétexte que le certificat médical attestant la naissance fait défaut et qu'une attestation sur l'honneur du père ne suffit pas. 

Le lendemain, les deux parents et leurs deux enfants se présentent en mairie pour faire valoir leurs droits. La déclaration de naissance est enregistrée mais on informe les parents qu’ils ont été “signalés” à la PMI [Protection maternelle et infantile]. 

Un membre du personnel de la PMI contacte les parents par téléphone et les interroge. Rendez-vous est pris à la maternité pour pratiquer l’examen médical des 8 jours ; les parents s’y rendent confiants le vendredi 10 juin.

L’examen ne montre aucune pathologie. Pour le pédiatre, tout va bien. Toutefois, il informe Noémie et Raphaël qu’une personne de la PMI passera les voir dans l’après-midi, répondant à l’étonnement des parents quant à cette nouvelle initiative prise sans leur consentement par un laconique “C’est la loi.”

Mais cette personne de la PMI n’est pas venue seule cet après-midi là : à 18h30, ce sont trois véhicules de la gendarmerie qui se sont garés devant la maison de Noémie et Raphaël et qui sont entrés avec fracas dans leur domicile. La “sanction” pour avoir exercé leur droit et leur liberté de choisir le mode d’accouchement qui leur convenait : placement provisoire des deux enfants en pouponnière... sans droit de visite, d'après les propos que rapportent aujourd'hui les parents dans une vidéo dont le lien est mis en commentaire.

Le cas de Noémie et de Raphaël et de leurs enfants n’est malheureusement pas unique : depuis quelques années, les parents qui font des choix de mode d’accouchement hétérodoxes sont harcelés par les services sociaux, leurs bébés leur sont arrachés pour être placés provisoirement le temps de l’enquête, qui peut durer quelques jours ou plusieurs interminables semaines… Quelle que soit la durée, c’est un traumatisme pour la famille, une mutilation des liens.

Ces placements se font sans considération pour le lien d’attachement mère-enfant qui est dans sa phase cruciale et critique de mise en place, et donc en contradiction totale avec la volonté affichée par le gouvernement, à travers sa commission des mille jours, de favoriser ce lien. 

Ils se font sans considération de l’intérêt supérieur de l’enfant qui est que la meilleure alimentation, à savoir le lait de sa mère, lui soit offerte puisque les mères sont empêchées d’allaiter par la séparation forcée.

Ces placements sont souvent assortis d’irrégularités juridiques graves : absence de notification des parents, non-recueil de leur consentement, refus de fournir des informations, diffamation, etc.
Ces placements ont lieu dans le contexte global d’une chasse aux sorcières menée contre les femmes qui adoptent des pratiques non conventionnelles : celles, sages-femmes, qui accompagnent les accouchements à domicile et qui sont harcelées par leur ordre ; celles qui choisissent l’ANA ou même l’AAD (accouchement à domicile accompagné par une sage-femme diplômée) et qui sont harcelées par les services sociaux, celles qui choisissent un mode de maternage et d’éducation respectueux des besoins et des rythmes biologiques de leur enfant et qui sont harcelées par les PMI, les insituteurices, les pédiatres…

Parmi les femmes, ce sont surtout celles qui sont en contexte de maternité qui sont violentées, dénigrées, “incompétentisées”, infantilisées, “délégitimées” en tant que mère ou parent par les institutions et le “pouvoir” médical. La violence obstétricale se diffuse en dehors des salles de naissance.

Dans le cas de Noémie et Raphaël, un autre élément vient sans doute s’ajouter au reste : ils sont jeunes et on les croit irresponsables et idiots, ce qui est une attitude typique d’une société adultiste et violente envers ses enfants.

Depuis plus d’un an, le collectif La révolte des mères s’est formé face au constat d’une augmentation des agressions des institutions envers les parents qui choisissent d’assumer pleinement la responsabilité des soins et de l’éducation de leurs enfants, et dénonce les abus, les violences, les injustices qui leur sont faites.

Rejoignez-nous, aidez-nous à faire en sorte que plus jamais de telles violences ne soient commises envers les enfants et leurs parents. »

Remède :

Quand l’administration veut commettre le crime de séparer à la naissance l’enfant de sa mère (qui l’allaite), un seul remède : faire appel à une Commission Ethique Souveraine composée de jurés tirés au sort. Ce nouvel auxiliaire de justice, à créer d’urgence par le gouvernement, pourrait alors statuer, avec bon sens et humanité, sur cette décision administrative ignoble et indigne d’une démocratie éclairée afin de l’annuler immédiatement.

Publié le 14/06/2022 18:32  - aucun commentaire - aucun commentaire - Voir? Ajouter le vôtre ?   Haut
Démocraties  -  par GillesBressiere

Démocraties

  Si l’on exclut les ‘démocratures’ dirigées par des autocrates, il y a trois sortes de démocraties possibles : la démocratie représentative, la démocratie directe et la démocratie semi-directe.

  La démocratie représentative élit ses représentants : Président de la République et députés. Malheureusement s’ils sont censés représenter le peuple ils le déçoivent souvent.
  Pour être élu il faut être un Père Noël et promettre le paradis sur terre en présentant des programmes électoraux totalement irréalistes. La déception est inévitable et l’insatisfaction parfois explosive.

  La démocratie directe, celle de la populace, lyncheuse, qui ne répondra pas toujours pertinemment à une question soumise par referendum pour au contraire faire le choix d’une réponse qui permet uniquement de régler ses comptes avec ceux qui l’ont posée, ces élus qui l’ont déçue.
  Surtout la méconnaissance des réalités, notamment du fonctionnement de l’économie, à laquelle s’ajoute la désinformation structurelle des réseaux sociaux, conduisent bien des électeurs à des choix non pertinents.

Desinforme.jpg

Article d'Arnaud Devillard paru dans le mensuel Sciences et Avenir - La Recherche n°904 - juin 2022 : Cliquer Ici

  La démocratie semi-directe, qui serait la plus représentative du peuple, celle que nous préconisons, mais qui n’est actuellement qu’une espérance à venir (peut-être), qui reposerait sur des commissions composées de jurés tirés au sort. Car quand les membres d’un jury d’origines et d’opinions diverses se penchent sur un problème, si la question est bien posée *, il prendront leur tâche au sérieux et à cœur ; leurs conclusions seront la plupart du temps empruntes de bon sens, favorisées par le phénomène de l’émergence qui émane du groupe (Cf. l'essai "L'horreur judiciaire - Au nom du peuple français" page 79).
  Pour améliorer la Justice, des Commissions Ethiques souveraines permettraient de corriger les jugements ineptes et même de sanctionner les magistrats qui les ont rendus ; cela devrait compléter leur formation en servant d’exemples avec l’analyse des cas de ce qu’il ne faut plus faire. Respecter la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen redeviendrait un impératif.
  Pour améliorer la vie en société, des Commissions Citoyennes permettraient de soumettre aux votes des députés (et des sénateurs) des solutions pour simplifier ou bien de perfectionner les lois ; mais surtout, après un classement des règles administratives par ordre d’importance, de réduire au strict nécessaire les 77 codes qui régissent notre République.

*  Evidemment si la question est mal posée ou viciée par un parti pris initial…
  Exemple de question mal posée, car étant le fruit d’une conclusion idéologique préalable : comment réduire de 40 % les émissions de gaz à effet de serre en France ? Notre pays émet 0,9 % du total mondial, une réduction de 40 % est donc insignifiante pour la planète.
  La bonne question : comment obtenir que la Chine, l’Inde et les Etats-Unis qui émettent ensemble 64 % des gaz à effet de serre, réduisent leurs émissions de 40 % ? Ce serait un résultat qui aurait un effet immédiat sur le climat… Mais quand l’idéologie prime sur la réalité, les efforts demandés seront toujours décevants…

Les fausses solutions françaises
Quand on fait croire aux électeurs que de réduire uniquement en France de 40 % les émissions de gaz à effet de serre ça va sauver la planète…
Quand on leur fait croire que d’augmenter les nombre de policiers sans réformer la justice ni le système pénitentiaire ça va régler le problème de la délinquance…
Etc.
Quand l’ancien ministre de la justice Albin Chalandon (sous la présidence de Jacques Chirac) souhaitait faire appel au secteur privé pour construire et gérer de nouvelles prisons, on lui a dit que c’était impossible parce qu’il ne faut pas toucher au pouvoir régalien (c’est donc impossible en France alors que c’est possible dans d’autres démocraties)…
Quand on propose de faire appel à des pays voisins mieux pourvus pour placer le surcroît de détenus et désengorger les prisons, cela n’est pas fait dans notre pays pour des raisons tout aussi vaseuses (c’est encore impossible en France alors que c’est possible dans d’autres démocraties comme la Belgique avec les Pays-Bas)… 
Le manque de créativité de nos hauts fonctionnaires contribue à scléroser l’administration et à ne pas répondre aux besoins de notre Etat.
Quand le gouvernement utilisent des sociétés de services pour pallier à la carence intellectuelle des hauts fonctionnaires, il ferait mieux de mettre en place des Commissions Citoyennes avec des jurés tirés au sort à partir des listes électorales, cela coûterait beaucoup moins cher et offrirait sûrement une meilleure efficacité !
A chaque élections les politiciens proposent de favoriser la participation citoyenne, mais une fois élus, ils oublient toujours cette promesse.

Publié le 01/06/2022 12:04  - aucun commentaire - aucun commentaire - Voir? Ajouter le vôtre ?   Haut
Police harcelée - Justice déconnectée !  -  par ReformedelaJustice

Police harcelée - Justice déconnectée !

Il faut que ça cesse !

Franz-Olivier Giesbert (Le Point N° 2595 du 5 mai 2022) : (+ Le Point n°2598 du 26 mai 2022)

Les forces de l'ordre sont sans cesse harcelées par les antifas et les black blocs, dont la débilité destructrice, encore à l'œuvre le 1er mai, bénéficie, à l'extrême gauche et au-delà, d'une complaisance insane. Et voici la police encore mise à l'épreuve après la décision de la justice traitant comme un grand criminel l'agent qui, à Paris, le soir du second tour, a tué deux des passagers d'un véhicule refusant d'obtempérer et fonçant sur ses collègues. Ce qui laisserait à penser que nos magistrats n'acceptent la légitime défense pour les policiers qu'une fois qu'ils sont... morts.

Il faut réformer la justice avant que de lui donner des moyens supplémentaires fort coûteux. Il faut préalablement obtenir de la contrôler pour qu'elle ne soit plus déconnectée des réalités réelles, qu'elle applique les lois votées par les parlementaires, qu'elle respecte scrupuleusement les faits et les termes de la Déclaration de l'Homme et du Citoyen. Les policiers qui risquent leur vie dans l'exercice de leur fonction méritent d'être soutenus par l'institution judiciaire et non être immédiatement cloués au pilori à la moindre suspicion de bavure. En revanche il faudrait surtout pouvoir sanctionner avec fermeté les bavures judiciaires élaborées, elles, dans la quiétude. Les juges aujourd'hui peuvent se permettre de commettre impunément et sans honte toutes sortes d'irrégularités.

Quand une institution régalienne comme la police, l'armée ou la santé, est appréciée par une majorité de citoyens parce qu'elle fait de son mieux dans des conditions difficiles, elle doit être soutenue. Quand une autre institution régalienne, la justice, décriée par une majorité de Français, affiche des résultats plus que médiocres en termes de sécurité et dont l'éthique laisse à désirer, elle mérite d'être retaillée à la hache pour laisser une grande place à des jurés tirés au sort plus économiques et plus sérieux.

Pétition de Corinne COTTY (18 mai 2022) :

Affaire Philippe Monguillot : NON à la requalification des faits !

Rappel des faits :
Le 5 juillet 2020 Philippe MONGUILLOT, chauffeur de bus à Bayonne, est tabassé par 4 individus dans l'exercice de ses fonctions et est laissé en état de mort cérébrale sur le trottoir. Après 5 jours à l'hôpital, le 10 juillet, il décédera des suites de ses blessures.
Les faits retenus au départ sont : homicides volontaires puis ils ont été requalifiés plusieurs fois... Un vrai "foutoir" 
Après plus d'un an et demi d'instruction, au mois d'avril, le PARQUET qualifie les faits en : meurtre aggravé. 
Cette décision bien sûr donne un peu de "soulagement" à cette famille déchirée, son épouse et ses 3 filles.
Aujourd'hui quand est-il ??? 
 La juge d'instruction chargée du dossier, ne suit pas la décision du PARQUET et décide (tenez-vous bien.) de ne pas envoyer les principaux SUSPECTS aux Assises malgré toutes les preuves accablantes, reconnues et écrites par le principal suspect !
Entre autres "je vais te finir" au moment du dernier coup fatal ! 
Que se passe t’il pour que Madame la Juge ne suive pas le PARQUET ?  Un assassinat ne doit-il pas être jugé aux Assises ? 
Manque t'il des preuves accablantes encore contre les accusés ?
Subit-elle des pressions ?  
C'EST QUOI CETTE JUSTICE ????
Après avoir redonné un peu d'espoir à cette famille grâce au Parquet, cette décision les anéantit à nouveau. 
Son épouse et ses filles doivent désormais se "battre" contre les "assassins" et maintenant contre une décision d'une représentante de la justice. 

STOP !!!!!! 


Ces deux affaires montrent une fois de plus que la justice est complice des délinquants, indifférente aux victimes et féroce avec les innocents.

Il est temps que le peuple français, au nom duquel la justice est rendue, reprenne les choses en main avec des jurés populaires tirés au sort pour composer des Commissions Ethiques souveraines qui corrigent les aberrations des magistrats idéologues déconnectés des réalités humaines.

Pour conclure :

Comment ne pas songer qu'il y a quelque chose de pourri dans notre justice.

Pour sauver la démocratie française, il faut remettre le pouvoir judiciaire à sa place et restaurer l'autorité de l'Etat. Puisse Macron répondre à ce défi...

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Publié le 07/05/2022 17:13  - aucun commentaire - aucun commentaire - Voir? Ajouter le vôtre ?   Haut
L'énorme tue les normes !  -  par GillesBressiere

Les normes et les règles :
l'énorme problème non réglé

  Une énorme profusion de règles et de normes asphyxie la France. Les entreprises et les administrés y sont écrasés sous un joug souvent ubuesque qui étouffe toute créativité.
  Comment en finir ?

  Pour un grand nettoyage il suffit de laisser un délai à l’administration française pour valider les règles et les normes qui devraient pouvoir subsister ; passé ce délai toutes les autres règles et normes deviendraient facultatives.
   Suggestion : laisser un an pour ne conserver que l’essentiel : les règles et normes qui concernent la sécurité (normes électriques notamment) et celles qui protègent de nuisances excessives (distance minimum entre une éolienne et une habitation, par exemple).
  Le mieux serait d’instaurer une collaboration de l’administration avec des commissions citoyennes tirées au sort et réunies en visioconférences pour enfin bénéficier de cette démocratie participative que les Français réclament en vain depuis des années et qui devrait pouvoir fonctionner harmonieusement avec la démocratie représentative actuelle.

  Méthodologie : il y a 77 codes en vigueur, tous devraient êtres compilés par leurs 77 administrations afférentes. Les règles et les normes y seraient alors classées par ordre d’importance décroissante. Celles retenues en tête pourraient en finale être proposées à l’approbation de 77 commissions citoyennes pour y être éventuellement améliorées ou même rejetées pour ne conserver que les plus pertinentes. 

  Ci-dessous un article de l’hebdomadaire Le Point qui présente un état des lieux alarmant. 
  Immobilisme atavique ? Vite ! Il faut en finir !

(Image PDF pour smartphone : cliquer Ici)

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Normes2.jpg

Publié le 08/04/2022 09:36  - aucun commentaire - aucun commentaire - Voir? Ajouter le vôtre ?   Haut
Plus d'autonomie corse, pourquoi faire ?  -  par GillesBressiere

Plus d’autonomie corse, pourquoi faire?

  Comment transformer une zone de non-droit notoire en démocratie exemplaire ?
  D’abord recenser les causes de cet état de choses puis en proposer des remèdes. 
 Pour ne plus subir le joug, souvent ubuesque, de hauts fonctionnaires qui sont nommés et non élus, qui sont employés à vie, qui s’occupent uniquement à faire en sorte de réussir leur carrière en appliquant scrupuleusement un corporatisme intransigeant : c’est à dire de ne jamais faire de vagues, donc surtout de ne pas proposer de bonnes idées de réformes qui pourraient contrarier l’immobilisme de ceux qui sont en place. Inamovibles, ils constituent l’Etat profond qui n’a cure des décisions du gouvernement (dont les membres sont toujours éphémères). Ils peuvent freiner ou enterrer de bonnes réformes nécessaires, au grand dam des administrés.
  Remède : s’ils étaient élus avec des mandats limités dans le temps ils seraient plus audacieux et libres d’améliorer le fonctionnement de la République et en final, en présentant un bon bilan, espérer être réélus.
  L’administration actuelle n’est pas au service des citoyens mais au service d’elle-même. Que de compromissions plus ou moins visibles avec des intérêts occultes au détriment des petites gens.
  Remède : pouvoir tirer au sort des jurés pour former des Commissions Ethiques Citoyennes chargées de contrôler les services publics. Pour éviter les pressions, les jurys devraient être les fruits d’un tirage au sort à partir de listes électorales provenant de régions différentes pour délibérer en visioconférences à partir d’un PC mis à leur disposition par la mairie de leur lieu de résidence. Les jurés devraient évidemment recevoir au préalable les conclusions des avocats de toutes les parties pour y réfléchir avant leur débat.
  Commissions Ethiques Citoyennes que pourrait saisir tout administré victime d’une décision injuste : quand on lui refuse à lui ce qui est normalement accordé par la loi ; et parfois même, simultanément, en autorisant indûment la même chose à des privilégiés de façon dérogatoire (comme dans l’affaire « Denis Dejustys » exposée dans l’essai «L’horreur judiciaire – Au nom du peuple français» où une famille modeste de Corses qui résident majoritairement en Corse est spoliée et le Continental qui l’a aidée financièrement est lourdement condamné, tous victimes d’une escroquerie au jugement perpétrée par des agents assermentés. Préfecture qui, en même temps, accorde d'incroyables dérogations à des promoteurs voisins, pour construire de nouveaux bâtiments importants dans la même zone !)
  Ces pratiques contraires à l’esprit des lois sont malheureusement légions dans l’Ile de Beauté. Quand on interroge les Corses, tous connaissent des histoires d’injustices administratives similaires concernant des proches (quand ils n’en ont pas été eux-mêmes les victimes). Cela suscite un fort ressentiment. L’hommage rendu à Yvan Colonna peut surprendre (un assassin élevé au pinacle !) mais cela traduit un rejet de ce qui est ressenti comme l’oppression d’une injustice quasi systématique venue d’un pays extérieur.
   Pascal Paoli a instauré en Corse une République (de 1755 à 1769) dont les fondements ont été rédigés en partie par Jean-Jacques Rousseau. Cette constitution est la première constitution au monde à accorder le droit de vote aux femmes. Ce furent les prémisses d’une démocratie exemplaire dont se sont inspirés les Américains pour établir la Constitution Américaine après leur victoire sur la couronne d’Angleterre. 
  C’est sous le règne de Napoléon 1er, encore un Corse, que cinq Codes ont été rédigés : le Code civil en 1804, le Code de procédure civile en 1806, le Code de commerce en 1807, le Code d’instruction criminelle en 1808 et le Code pénal en 1810.

  Peut-on aujourd’hui compter sur le respect de l’engagement du Ministre de l’Intérieur Darmanin d’accorder à la Corse plus d’autonomie et aussi sur les Corses pour leur permette de fonder à nouveau une démocratie exemplaire incluant l’indispensable contrôle de l’administration et des magistrats ? Seront-ils, comme Pascal Paoli et Napoléon Bonaparte, des pionniers pour exporter ensuite sur le Continent une nouvelle forme de gouvernance enfin réellement éthique. Une République qui remettrait à l’honneur la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen en respectant enfin ses vrais principes de justice aujourd’hui si cruellement bafoués ?

  Si d’un mal, l’assassinat d’un préfet, pouvait naître un bien : une autonomie constructive avec une France incluant une Corse plus heureuse qui puisse servir de modèle de démocratie.

Autonomie ? Pour un monde meilleur ? Corses étonnez-nous !

Commentaire d’Ange (31 mars 2022)
   Les indépendantistes représentent 17% de la population corse et les autonomistes 67%.
  Les indépendantistes craignent  d’être envahis par des gens venus d’ailleurs, continentaux pour la plupart et que les Corses finissent dilués. C’est le discours que tenait Yvan Colonna deux mois avant sa mort sur une vidéo diffusée par BFM TV le 31 mars 2022.
  Les autonomistes souhaitent être administrés de manière très différente de celle de l’administration française.
  Si l’administration française était réellement au service des administrés et qu’elle soit reconnue comme compétente, honnête, bienveillante et respectant l’égalité des droits pour tous, le pourcentage d’autonomistes serait probablement bien inférieur à 67%.

Commentaire d’Aurélie (1er avril 2022) : Sujet de réflexion pour l’autonomie administrative de la Corse
En 2021, le gouvernement a dépensé la somme de 893,9 millions d'euros versés à des sociétés de conseil comme McKinsey… cela laisse implicitement filtrer ce que le gouvernement Castex pense de la compétence de nos hauts fonctionnaires
(qui officient dans des services pléthoriques et redondants)

Publié le 27/03/2022 09:29  - aucun commentaire - aucun commentaire - Voir? Ajouter le vôtre ?   Haut
Le ministère de l'Injustice  -  par ReformedelaJustice

Le ministère de l'Injustice

La Corse s’embrase suite à l’attentat perpétré par un djihadiste contre Yvan Colonna.
Pourquoi l’assassin du préfet Erignac soulève-t-il de tels débordements ? 
C’est dû à l’injustice atavique de l’administration française et de son bras armé : la Justice française.
Relisez le billet (sur ce blog) « Coup de gueule » de l’indépendantiste Jean-Guy Talamoni concernant la discrimination administrative des insulaires : ça révèle une évidente injustice !
Relisez le billet « La spoliation, le sport national de l’administration » avec le refus fait à un particulier d’un permis de construire en zone constructible (à 400 mètres de la plus haute vague) au motif qu’il n’y a pas d’intérêt économique alors qu’un promoteur peut construire, lui, en bord de plage : c’est une injustice !
Relisez le billet « Le mal français : immobilisme, arbitraire et corruption » : évidemment il fustige l’Etat français et son immense chapelet d’injustices !
Relisez « Rumeur » avec les preuves que les fonctionnaires assermentés pratiquent illégalement le deux poids deux mesures, en cliquant sur ‘
Vu du ciel‘ : toujours cette injustice administrative contraire à la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen !
Etc.

Les Corses sont à juste titre très susceptibles devant les brimades dont ils sont victimes avec ce cynique foutage de gueule administratif. Tous n’ont pas lu « L’Etat voyou » de Caroline Brun et Marie-Christine Tabet,  « Razzia sur la Corse » d’Hélène Constanty, « Juges en Corse » ouvrage collectif sous la direction de Jean-Michel Verne ou « L’horreur judiciaire – Au nom du peuple français » de Gilles Bressière… mais ils en parlent ! Ils sont beaucoup à pourfendre ces scandaleuses injustices perpétrées par de trop nombreux fonctionnaires, ceux qui sont systématiquement iniques et féroces.

(Image pour smartphone : cliquer Ici)

Ministeere-Injustice.jpg

Dans un monde juste chacun a à cœur de participer à l’effort commun, dans un monde injuste chacun tente de tirer la couverture à soi.

Commentaire d’Ange (18 mars 2022) : Les Corses dans leur grande majorité déplorent l’assassinat du Préfet Erignac ce qui ne les empêchent pas d’avoir une très mauvaise opinion des préfets qui administrent l’Ile de Beauté.
Le préfet Bonnet qui fait incendier une paillote par des gendarmes… Mépris des lois !
Hélène Constanty a révélé à la télévision qu’un préfet avait régularisé a posteriori des constructions effectuées en bord de plage par un promoteur en bafouant la loi Littoral, au grand dam des associations de défense de l’environnement… Mépris des lois !
Dans le livre de Gilles Bressière (page 238) on peut lire dans un document officiel pour influencer les juges : « …Vu l’avis de monsieur le préfet de Haute-Corse… » bonjour l’indépendance de la Justice !… Ce même préfet qui n’a rien trouvé rien à redire quand les voisins de Denis Dejustys, promoteurs, ont bâti d’importantes constructions dans la même zone que lui. Alors que lui, qui n’a financé (au profit d’autrui) qu’un modeste agrandissement sur la foi d’une déclaration de travaux déposée par sa femme et reconnue valide par le Tribunal Administratif se voit subir les foudres d’une administration déchaînée… Mépris des lois et monstrueuse injustice ! 
Ces préfets qui méprisent les lois au profit de promoteurs plus ou moins inféodés à la mafia suscitent une immense réprobation générale… réprobation souterraine qu’aucun organisme de sondages ne va penser à mesurer puisque ces fonctionnaires assermentés et ces magistrats sont censés être irréprochables.

Les jeunes qui manifestent violemment après l’attentat perpétré par un détenu islamiste contre Yvan Colonna ne sont pas les enfants des mafieux bénéficiaires des dérogations de cet Etat gangrené mais bien les enfants de parents révoltés par la corruption apparente de l’administration française dont ils veulent se débarrasser… en réclamant une plus grande autonomie…
Le préfet Erignac a eu le malheur de représenter aux yeux de ses assassins le symbole de cette injustice oppressive d’une administration française apparemment trop souvent complice du grand banditisme.

Commentaire de Gilles Bressière (18 mars 2022) : Dans notre pays où l'injustice est sacralisée, ne nous étonnons pas d'un important taux d'abstention ou de violentes poussées de fièvre. 

Publié le 17/03/2022 13:08  - aucun commentaire - aucun commentaire - Voir? Ajouter le vôtre ?   Haut

Déni du réel et vérités cachées
Vladimir Poutine en est huitième dan

   Comment dénazifier un état démocratique qui n’est pas nazi ?
   Comment dépoutiner un état totalitaire qui s’appuie sur une armée, une police et une justice aux ordres ? 
  Vladimir Poutine, Recep Erdogan, Xi Jingping sont des chefs de gangs qui ont à leur disposition des moyens orwelliens considérables : militaires, policiers, judiciaires dont, pour certains, des systèmes puissants de reconnaissance faciale et d’écoute pour surveiller leur population. La désinformation est le moteur de leur oppression. Silence on incarcère ! Silence on tue !…
  Un dicton dit que le pouvoir rend fou (le pouvoir absolu doit rendre absolument fou). Un examen psychiatrique du comportement de Vladimir Poutine semble donner raison à ce dicton. Il ne se situe plus dans le réel, il projette son fonctionnement de chef d’Etat nazi (incarcération et assassinat des opposants) sur le président démocratiquement élu de l’Ukraine. Il affirme, contre toute réalité, épargner les villes et la population. Le choix des mots pour masquer la réalité : ce n’est pas une guerre c’est une opération spéciale, etc.
  C’est la conséquence prévisible que de nommer des présidents à vie favorise la corruption (c’est le cas avéré en Russie avec les copains coquins du Président devenus milliardaires). Même chose pour la Chine : le livre « La roulette chinoise – Révélations d’un milliardaire rouge » de Desmond Shum aux éditions Saint Simon – le révèle depuis l’intérieur de l’oligarchie chinoise. 

  Beaucoup de similitudes, à petite échelle, avec l’affaire Denis Dejustys : des réélus systématiques soutenus par la mafia qui peuvent compter sur l’administration et la justice pour spolier les petits propriétaires au bénéfice de promoteurs douteux qui ne respectent plus les lois. Même déni de la réalité en s’appuyant sur des termes mensongers ; même férocité spoliatrice en méprisant les lois de la République censées protéger les administrés.

  C’est le problème induit par l’absence de contrôle démocratique.
  Il est donc bon de limiter la durée des fonctions des hauts responsables politiques à deux mandats maximum pour pallier à cette corruption générée par la stabilité dirigiste de mafieux prévaricateurs. 
  Pour les élus qui sont réélus systématiquement, les maires notamment, d’une part, et les responsables administratifs et judiciaires nommés par le pouvoir, d’autre part, pourquoi ne pas instaurer des commissions éthiques pour lutter contre la corruption ? Le contrôle citoyen de l’appareil d’Etat est devenu indispensable… mais aucun candidat à la présidence de la République n’a mis cette légitime exigence à son programme !…

  Il sera peut-être possible de dépoutiner la Russie. Le salut et la paix en Ukraine devrait venir de la nomenklatura russe qui devant un désastre prévisible, c'est à dire une victoire à la Pyrrhus*  ou un enlisement, permettrait peut-être de déposer le maître du Kremlin et de le mettre à la retraite. On peut vaincre une armée, pas un peuple rebelle. Napoléon en a subi l'amère expérience en Espagne, Leonid Brejnev aussi en Afghanistan, là où, même la puissante Amérique de Joe Biden a du plier bagages récemment de façon humiliante. (* Une victoire ? La pire... russe : avec sa mise au ban des nations accompagnée de lourdes sanctions).

  En France, l'absence de volonté politique apparente des candidats à l'élection présidentielle avec leur démagogie outrancière et irréaliste ne laisse rien présager de bon en termes de réformes nécessaires et urgentes. 

Publié le 09/03/2022 10:02  - aucun commentaire - aucun commentaire - Voir? Ajouter le vôtre ?   Haut
Déni du réel et vérité cachée  -  par GillesBressiere

Déni du réel et vérité cachée

Qui sont les hauts fonctionnaires qui nous cachent la vérité ?

"(...) l'administration a mis un mouchoir sur cette absurdité comme sur tant d'autres."

(Image PDF pour smartphone : cliquer Ici)

Deeni_du_reeel.jpg

Qui sont les hauts fonctionnaires qui mentent effrontément pour satisfaire de sombres intérêts occultes? : Lire l'essai  "L'horreur judiciaire - Au nom du peuple français"

La version 39 est disponible en PDF (toujours gratuitement). L'ajout par rapport à la version 37 (une cinquantaine de pages) débute par un questionnaire qui sera adressé aux candidats à la présidence de la République (page 243).

L’affaire Denis Dejustys, qui a inspiré cet ouvrage, peut se résumer dans la lettre que le malheureux condamné a envoyé à un de ses fils :

« Mon cher [prénom du fils]

Tu m’as sollicité pour que je puisse t’aider à financer la rénovation de ta toiture comme j’ai déjà aidé ton frère [prénom du frère] à rénover sa maison et [prénoms de ses deux demi-frères] pour financer les travaux commandités par [prénom de feue la femme de Denis Dejustys]. Ton frère aîné me demande aussi de l’aider à payer des implants dentaires fort coûteux.

Malheureusement entre temps ma situation a bien changé depuis que j’ai été victime d’une condamnation à payer une astreinte de 18 300 euros par an (tous les ans depuis mars 2014) pour effectuer une peine inapplicable.

Je suis condamné à remettre en état les lieux : c’est à dire à démolir un agrandissement introuvable de 87,95 m² (qui n’a jamais eu d’existence) et  à remettre en état un bâtiment initial de 60,30 m² qui n’a jamais fait une telle surface ! (l’agrandissement réel est de 17 m² habitable : 2 pièces de 8,50 m²).

- Les hauts-fonctionnaires et les magistrats ne savent donc pas lire ou ne veulent pas lire les termes de la déclaration de travaux exempte de permis de construire de [prénom de sa femme] de mai 2007, et modifient sans vergogne la surface initiale du bâtiment et celle qui a été construite.

- Les hauts-fonctionnaires et les magistrats ne savent pas lire ou ne veulent pas lire la loi qui précise que sans refus, exprimé dans un délai légal d’un mois, par lettre recommandée avec AR, et ignorent que l’administration est censée avoir donné son accord tacite pour réaliser les travaux.

- Les hauts-fonctionnaires et les magistrats ne savent pas lire ou ne veulent pas lire le constat d’huissier effectué en octobre 2012 qui montre que la déclaration de travaux était bien complète avec un descriptif très détaillé qui tient sur six pages. Ce constat contredit clairement l’affirmation devant les juges de la DDE de Bastia qu’il y manquait le descriptif des travaux (des magistrats avisés y aurait vu une tentative d’escroquerie au jugement.)

- Les hauts-fonctionnaires et les magistrats ne savent pas lire ou ne veulent pas lire le POS en vigueur en juin 2007 concernant la zone UD (constructible) dans laquelle se situait le bungalow au début des travaux.

- Les hauts-fonctionnaires et les magistrats ne savent pas lire ou ne veulent pas lire l’extrait du cadastre de 2005 (tamponné par la DDE) ni le document de bornage d’août 2013, effectué par un géomètre-expert, qui montrent que d’importantes constructions nouvelles, illicites, ont été bâties dans la zone des 100 mètres, par des voisins promoteurs de villages de vacances (dont la « résidence les pieds dans l’eau » si bien nommée), après que le PLU du 3 septembre 2008 l’eût totalement interdit sans que la mairie ni la DDE y trouvent à redire. Evidente discrimination !

- Les hauts-fonctionnaires et les magistrats ne savent pas lire ou ne veulent pas lire la loi Littoral et ses possibilités d’extensions en zone UD.

- Les hauts-fonctionnaires et les magistrats ne savent pas lire ou ne veulent pas lire les procès verbaux qui expriment que j’ai déclaré avoir financé des travaux licites validés par la déclaration de [prénom de sa femme] et ne voient pas que c’est elle et [prénom de l’oncle de sa femme] qui sont les commanditaires des travaux (les juges parlent ‘de mes écritures’ alors qu’elles sont signées par [prénom et nom de sa femme] et non par moi). Je n’ai donc jamais reconnu avoir commis une infraction à l’urbanisme comme l’affirment les magistrats de la Cour d’appel de Bastia (cela pour dédouaner les erreurs de dates commises par l’administration !)

- Les hauts-fonctionnaires et les magistrats ne savent pas lire ou ne veulent pas lire le jugement du Tribunal Administratif de Bastia qui reconnaît que [prénom de sa femme] était bien bénéficiaire d’une autorisation tacite de travaux mais qui ajoute que je n’avais pas qualité à agir.

- Les hauts-fonctionnaires et les magistrats ne savent pas lire ou ne veulent pas lire l’acte de succession de [prénom de sa femme] qui montre que nous étions sous le régime de la séparation de bien et que ma femme pouvait donc faire les travaux qu’elle voulait sans que je sois concerné.

- Les hauts-fonctionnaires et les magistrats ne savent pas lire ou ne veulent pas lire l’acte de succession de [prénom de sa femme] où il apparaît que j’ai été privé du quart réservataire. Ils ignorent, de surcroît, que je n’ai l’usufruit que sur les propriétés qui y figurent nommément ; et pas du tout sur celles qui sont sur la succession, toujours en cours, de son grand-père en Corse.

- Les hauts-fonctionnaires et les magistrats ne savent pas lire ou ne veulent pas lire l’acte de succession de [prénom de sa femme] où n’apparaît évidemment aucune propriété en Corse (je ne possède absolument rien dans l’Ile de Beauté).

- Les hauts-fonctionnaires et les magistrats ne savent pas lire ou ne veulent pas lire les dernières volontés de [prénom de la femme de Denis Dejustys] qui confirment que la succession de son grand-père reste toujours en cours depuis 1986 parce qu’aucun des trois notaires sollicités ne veut entériner, par acte notarié, un partage dont les parts sont très inégales.

- Les hauts-fonctionnaires et les magistrats ne sauront pas lire ou ne voudront pas lire le contrat d’installation d’une antenne relais sur un terrain en bord de mer moyennant une redevance annuelle à partager entre les copropriétaires de l’indivision dont je ne fais évidemment pas partie (et donc pas concerné par cet argent) ; puisqu’ils ont décrété arbitrairement et contre toute réalité que c’est comme bénéficiaire que j’ai été condamné à effectuer, sous astreinte, des travaux (inapplicables) de remise en état des lieux, (infirmant de surcroît le jugement du Tribunal Administratif de Bastia qui ne me donne pas qualité à agir !) 

La plupart des insulaires n’ignorent rien de l’existence de ces pratiques qui bafouent les termes de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen :

« Art. 7. Nul homme ne peut être accusé, arrêté ni détenu que dans les cas déterminés par la Loi, et selon les formes qu'elle a prescrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires, doivent être punis ; (…) » mais l’Etat français ne sanctionne plus ses fonctionnaires indélicats depuis longtemps…

Au contraire : tous ces gens se distribuent la Légion d’Honneur pour se donner l’apparence de la respectabilité… Ton grand-père, que tu n’as pas connu, qui en était décoré, lui, pour des raisons vraiment valables, en aurait été fort déçu. 

Je vais essayer de t’aider quand même, dans la mesure de mes moyens actuels, qui sont malheureusement bien réduits par cette scandaleuse injustice. 

Je t’embrasse bien affectueusement.   Papa  

PS : je te joins la « lettre de cachet » qui a déclenché cette monstrueuse injustice, courrier qui n’a jamais été envoyé à l’intéressée (ce que l’administration a bien été forcée de reconnaître mais sans que les juges en tiennent compte), et en annexes ses conséquences judiciaires kafkaïennes : jugements fondés sur des mensonges, des  inexactitudes, des rétroactivités, de la non-application des lois et d’interprétations ubuesques. »

Pour lire les conséquences judiciaires jointes à la lettre de Denis Dejustys à son fils cliquer Ici

  Les futurs historiens auront à leur disposition tous les documents qui confirment  tous les termes de cette lettre en consultant le dossier de cette affaire aux archives du tribunal de Bastia. Ils pourront alors se faire une idée de notre République qui était tout sauf exemplaire.

  Rappelons qu’en Corse l’Etat, sous le gouvernement Jospin, en cohabitation avec le Président Jacques Chirac, a joué la pègre contre les indépendantistes… et ils ont eu la pègre et les indépendantistes comme l’avait prédit le maire de Bastia, Emile Zuccarelli. 

 Tout se passe comme si les directives données à l’époque restent encore appliquées. Car aujourd’hui, apparemment, cette politique stupide se perpétue avec une administration et une justice complices des exactions mafieuses. Spoliations et discriminations se font au profit de promoteurs plus ou moins inféodés à la mafia, avec l’aval de la préfecture. Mais dans l’affaire qui crucifie injustement Denis Dejustys, la condamnation (inapplicable) ne bénéficiera pas aux escrocs puisqu’il n’est ni propriétaire des lieux ni héritier d’une succession conflictuelle. Il ne peut donc pas céder un bien qui ne lui appartient pas… 

  Cette absence d’exemplarité de nombreux dirigeants et d’élus explique l’inflammabilité de nos concitoyens vis à vis des pouvoirs publics et des politiciens aux promesses non tenues. Une administration décrédibilisée et une justice désacralisée sont à mettre sur le compte de leurs nombreuses bavures rarement sanctionnées. L’absence de volonté politique à faire respecter la Déclaration des Droit de l’Homme et du Citoyen achève ce sinistre tableau...

Nicolas Baverez termine son article « La France schizophrène » (Le Point 2581 du 27 janvier 2022) par :
« (…) Le redressement de la France passe certes par la continuité des efforts engagés en faveur de la compétitivité des entreprises. Mais il ne peut réussir sans une modernisation radicale de l’État qui devrait être le cœur du débat présidentiel .» et Franz-Olivier Giesbert d’ajouter « (…) Dopés à la dépense publique, gavés de pensée magique économique dès les bancs des lycées, les Français ne sont pas prêts à entendre la vérité. Mais est-ce une raison pour ne pas la leur dire ? » 

La réforme de l’Administration et de l’Éducation Nationale devraient être au cœur du débat électoral…  

 Bernard Accoyer, ancien président de l’Assemblée nationale, dans son livre « Une affaire d’État » (Hugo Doc), dévoile les dessous ahurissants de cette patiente tentative de sabordage du parc nucléaire, cette filière d’excellence.
 Un article de l’hebdomadaire Le Point 2581
(du 27 janvier 2022) intitulé « Ce que nous coûtent les antinucléaires… » commence par : « Les prix de l'électricité flambent, mais 11 réacteurs nucléaires sont mis à l'arrêt pour maintenance, et le vent ne souffle pas, rendant les éoliennes inutiles. Pour éviter des black-out, la France est contrainte d'importer massivement de l'électricité et de booster ses centrales à charbon. Le gouvernement, au pied du mur, fait mine de découvrir un fiasco dont nos autorités ont pourtant écrit le scénario, du premier accord politique signé entre Lionel Jospin et les Verts en 1997 à la fermeture de la centrale de Fessenheim par Emmanuel Macron. » et cet article se termine par :  « La stratégie mise en œuvre est «habile»: des rapports biaisés donnent de fausses évaluations des coûts de développement des renouvelables, justifiant la mobilisation de sommes colossales. D'autres «sous-estiment les besoins futurs en électricité», imposant «la baisse du nucléaire dans le mix électrique ». « Depuis 20I2, la politique énergétique conduite par les gouvernements successifs relève du mensonge et de la manipulation», accuse Bernard Accoyer ».
   
 Une amélioration est vraiment souhaitable des rapports entre les élus et le peuple, fondée sur le respect de la vérité et des réalités réelles, cela devrait conduire la France vers une société plus harmonieuse et plus riche.

Lucas (1er février 2022) : Nous avons perdu la moitié de la production française en 20 ans, passant de 22% à 11%, cause de nos malheurs actuels. Et quand on entend le Ministre de l’Industrie actuel se targuer de ré-industrialiser la France sans rien changer, on ne peut plus croire en de telles balivernes.
Rappel de cette promesse de l’État qui n’a pas été tenue :

« 5 000 entreprises sont concernées par le plan textile, 1 000 d'entre elles ont signé un contrat avec l'Etat et se sont engagées, en contrepartie de la diminution des charges, à prendre des mesures en faveur de la protection de l'emploi, de la création et de l'embauche pour les jeunes et de l'aménagement et la réduction du temps de travail.
 A ces entreprises qui ont respecté leurs engagements, l'Etat dit aujourd'hui qu'il ne tiendra pas les siens ! (Protestations sur les bancs du groupe socialiste.)
 Et pour que ces entreprises, en plus, remboursent la diminution des charges qu'il leur a été consenti (Protestations sur les bancs du groupe socialiste), il faudrait que l'Etat dénonce celles avec lesquelles il a signé un contrat ! Ainsi non seulement l'Etat ne respecterait pas sa signature, mais encore, il se ferait sycophante!» 

Cliquer Ici                                     Extrait de l'essai "Armen_Charpentier" (publié sur ce blog) Cliquer

Maxime Asseo (La Croix du 7 février 2022) : "Une étude de la Fédération des délégués départementaux de l'éducation nationale révèle que 44% des directeurs d'école primaire ont été victimes d'insultes au cours de l'année 2020-2021. Il en ressort aussi que 5% d'entre eux ont été frappés."

Nicolas Baverez (Le Point 2583 du 10 février 2022) : «(...) La réponse de l'État aux défaillances dénoncées chez Orpea est caractéristique de la faillite des politiques publiques, qui, à l'image de l'hôpital, conjuguent inefficacité et inhumanité: elle repose sur l'intensification des contrôles et la multiplication de normes quantitatives qui ignorent la qualité des services rendus et obligent à recruter des bureaucrates pour gérer la complexité administrative et non des soignants, au risque d'accélérer le phénomène de démission qui touche les personnels de la santé et des soins à la personne. Elle multiplie des mesures technocratiques ou des effets d'annonce qui ne s'inscrivent dans aucune stratégie cohérente. Avec pour illustration la création en juillet 2020 d'une 5e branche de la Sécurité sociale consacrée à la perte d'autonomie mais sans aucun financement - l'année même où le déficit du régime général et du fonds de solidarité vieillesse culmine à 39 milliards d'euros.(...)» Ensuite Le Point révèle le scandale des maternités :

Phalène de la Valette et Mathilde Cesbron : «(…) tout est parti des accords de périnatalité instaurés en 1998, toujours en vigueur et complètement dépassés. (…) la France comptait quelque 1 500 maternités. On en trouve aujourd’hui moins de 500, alors que nombre de naissances, lui, est resté stable.(…) »
Anna Roy sage-femme, à l’initiative de #JeSuisMaltraitante : « Seule sage-femme face à 25 mères, 25 bébés, 25 familles ! Impossible dans ces conditions, de ne pas devenir maltraitants, malgré soi. »
Le professeur Olivier Picone : « Il y a des situations où l’on est à la limite de la dangerosité, voire dans la dangerosité.»

Cliquer Ici

Publié le 20/01/2022 13:11  - aucun commentaire - aucun commentaire - Voir? Ajouter le vôtre ?   Haut
Trois réformes urgentes  -  par GillesBressiere

Trois réformes urgentes

  S’il est urgent d’alléger la pression administrative pour libérer la créativité et pour améliorer la productivité...

Franz-Olivier Giesbert (Le Point 2579 du 13 janvier 2022) : «La tiers-mondialisation de notre système hospitalier en dit long sur l'état de notre économie. Alors que nous sommes, avec l'Allemagne, le pays qui dépense le plus pour sa santé, nous manquons de tout, de personnel comme de lits de réanimation : tout l'argent déversé se perd dans les méandres d'une administration toute-puissante qui vit sous le régime de la société à responsabilité illimitée. Tels sont les effets de notre "communisme mou".»

  S’il faut aussi, rapidement, réformer l’institution judiciaire qui est à la ramasse avec ses délais bien trop longs et qui, bien trop souvent, débouchent sur des décisions idéologiques ubuesques qui favorisent l’explosion de la délinquance... (cf. ci-dessous 'Les Dalton se pavanent' l'éditorial de Franz-Olivier Giesbert - Le Point 2577 du 30 décembre 2021)

  Il est impératif de réformer l’Education Nationale avec une école publique où il soit possible de choisir entre deux formes d’enseignement : 

- Conserver des établissements publics utilisant le mode laxiste actuel avec peu ou pas de sanctions disciplinaires et restant inféodés aux contraintes des fondamentalistes religieux, des adeptes du «wokisme», de l’écriture inclusive, de l'idéologie transgenre, etc. (Il ne faut mécontenter personne).

Et tant pis pour le classement Pisa.

- Juxtaposer des établissements publics utilisant le fonctionnement éducatif qui a précédé la «révolution» de 1968.  Une éducation respectant une laïcité intransigeante et imperméable à la «cancel culture». Ce qui exige aussi de remettre au goût du jour cette ancienne forme de discipline scolaire qui privilégiait la concentration favorisant l’apprentissage : avec des classes studieuses, strictement respectueuses des enseignants (aucune insolence ou agression impunie) et attentives aux élèves (pas de harcèlement toléré). (Il suffit de convertir une partie du parc existant en établissements d'excellence).

L’inscription dans ces établissements d'excellence exigera un engagement par écrit par les élèves et leurs parents de se conformer aux règles inscrites dans une charte spécifique.

Sinon, si l’Education Nationale continue dans ses travers, sans offrir la possibilité de choisir un enseignement de qualité (cela tout en continuant de pouvoir permettre aux obscurantistes d’opter pour le laxisme actuel), les écoles privées continueront de foisonner (cf. la pétition ci-dessous).

Pétition qui circule sur le Net :

« Chère Madame, cher Monsieur,

Savez-vous qu’entre 800 000 et un million d’enfants sont harcelés ou cyber-harcelés chaque année ? Cela représente 6 à 10% des élèves ! Les effectifs des classes sont trop importants, il y a trop de chahut, l’autorité de l’enseignant n’est plus toujours respectée… 

Malgré la prise de conscience de l’ampleur du phénomène de harcèlement physique ou sur Internet, le système scolaire actuel peine à mettre en place des mesures efficaces pour l’endiguer. 

Pour les parents, le bilan est amer mais pas désespéré. Ce système scolaire défaillant n’est pas une fatalité. Il existe une solution alternative portée par des familles, des enseignants, des pédagogues, des personnes attachées au bien commun qui veulent donner à tous les enfants une éducation de qualité : l’école indépendante. 

Ces écoles alternatives privilégient un meilleur suivi des enfants, des classes plus petites, une plus grande proximité entre enseignant et élèves qui sont autant de moyens pour repérer et prévenir le harcèlement. 

Un seul objectif pour ces établissements : répondre aux besoins éducatifs de chaque enfant et l’accompagner dans son développement.

Ces écoles indépendantes font face à de nombreux défis d’ordre financier, administratif, juridique et ont besoin du soutien de tous pour exister. 

Je vous invite à lire et à signer notre manifeste pour le développement des écoles alternatives, une vraie solution contre le harcèlement et l’échec scolaire !

Je vous remercie de l’intérêt que vous portez à l’éducation de nos enfants. »

Hervé Rolland - Président de la Fondation pour l'école

Commentaire d'Aurélie (25 décembre 2021) : Tous les problèmes de l'école : des sujets historiques ou scientifiques devenus tabous, du chahut en classe, des agressions verbales et physiques, des élèves qui arrivent dans le secondaire sans savoir lire, etc. n'ont jamais pu être résolus par la bien-pensance idéologique (imposée par une minorité agissante), adepte du "surtout pas de vagues", "cachons ces dysfonctionnements que l'on ne saurait voir", "il ne faut pas stigmatiser", etc. Alors, instaurer deux sortes d'écoles publiques pour satisfaire tout le monde, pourquoi pas ? 

Pétition lancée sur le Net par Sophie Audugé déléguée générale de SOS Éducation (30 décembre 2021) :

Chère amie, Cher ami,

Les lobbies transactivistes ont infiltré l’École et menacent la santé physique et mentale des élèves.

Ils ont réussi le tour de force de faire publier par le ministre de l’Éducation nationale une circulaire qui prend fait et cause pour la théorie du genre ressenti.

Cette circulaire est une violation sans précédent du sanctuaire que devrait être l’École de la République, impénétrable aux idéologies, aux croyances, aux politiques.

Il est scandaleux que le ministre ouvre la porte de l’institution scolaire à l’idéologie d’un genre ressenti qui supplante le fait biologique du sexe naturel. Il soumet les jeunes générations aux influences des lobbies communautaires qui cherchent à les convertir.

Les victimes en seront évidemment nos enfants, sensibles aux arguments d’un « bonheur garanti », à un moment de leur vie où le bouleversement identitaire de la puberté remet en cause parfois durement l’image qu’ils ont d’eux-mêmes, et celle que leur renvoient les réseaux sociaux et plus largement la société.

Les systèmes d’influence auxquels sont soumis les jeunes aujourd'hui sont d’une puissance effarante, à tel point qu’il est de plus en plus difficile d’en appeler à la raison et aux faits scientifiques.

La situation du changement de genre chez les enfants est pourtant désormais connue :

Les pays qui ont pratiqué la transition de genre chez les enfants font machine arrière.
De nombreux jeunes sous influence qui ont transitionné sont des « regretteurs » dont la vie est brisée.
Les traitements pédiatriques de changement de sexe sont expérimentaux et n’ont pas été approuvés pour une utilisation sur les enfants.
Les données disponibles conduisent à une conclusion : LA PRUDENCE !!!

C’est pourquoi Jean-Michel Blanquer doit retirer sa circulaire immédiatement.

Ne laissons pas nos enfants être les cibles des mouvements idéologiques qui veulent imposer une vision transhumaniste de notre société.

Il faut à tout prix faire annuler cette circulaire et prendre en compte la souffrance véritable de ces enfants qui ont besoin d’une aide appropriée, mais pas nécessairement de changer de sexe !

Et surtout il est urgent de s’attaquer aux vrais problèmes : les désastres des réseaux sociaux et du cyberharcèlement sur la santé mentale de nos enfants.

C’est pourquoi SOS Éducation lance aujourd’hui une pétition contre cette circulaire

Soyons clairs, par des techniques semblables à celle des sectes, les transactivistes font croire aux enfants qu’ils peuvent changer de sexe d’un coup de baguette magique avec à la clé le bonheur garanti.

Mais la réalité du processus de la « transition de genre » est bien différente :

Corps mutilés...
Puberté interrompue...
Traitements dangereux...
Médicaments à vie...
Infertilité...
Développement altéré du cerveau...
Dépression...
Regrets...
... La liste est encore longue.

Allez-vous laisser cette idéologie s’installer dans l’École ?
Qui portera la responsabilité de la création de filles à barbe, mutilées ?
Signez la pétition et transférez cet email.

Priorité à l'Éducation !

Sophie Audugé,
Déléguée Générale de SOS Éducation

Les Dalton se pavanent

Quand on vous dit qu'il y a urgence à réformer une justice qui est à la ramasse avec ses trop nombreuses décisions ubuesques (prônant l'inversion des valeurs) qui font exploser la délinquance :

Dalton_30-12-21.jpg

Publié le 24/12/2021 15:20  - aucun commentaire - aucun commentaire - Voir? Ajouter le vôtre ?   Haut
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