Les mots pour le dire
Couvrez ce Premier ministre que je ne saurais voir : par de pareils objets les âmes sont blessées, à plus forte raison quand le sycophante en berne dénonce « une petite bande d'imbéciles » après les violences urbaines à Chanteloup-les-Vignes. Violences qualifiées d’inouïe quand la presse daigne en parler et relater l’écœurement qui gagne élus et électeurs du coin. Chantent loups ! Saurait-on mieux dire quand les sauvages s’en donnent à cœur joie. Et voilà que Bacchus sort de ses vignes pour donner un air un peu plus festif à la tragédie. Le coup de grâce, en quelque sorte. Aux Français déjà très habitués à la double peine, il est demandé beaucoup. De plus en plus même puisqu’il leur faut affronter de plus en plus de « bandes d'imbéciles », auxquelles ils ont de plus en plus de mal à s’habituer, à plus forte raison quand ils incarnent l’autorité républicaine, une autorité qui se résume de plus en plus à un simple pouvoir de nuisance - certes accompagné d’un accès garanti à toutes sortes de bons du Trésor et autres rentes fraternelles et égalitaires comme il se doit pour récompenser les serviteurs du bien commun - mais ce n’est pas l’affaire du premier venu qui doit financer la rente à vie du Tabarin républicain. Hé oui ! celui-ci fait profession de servir pour se servir, profession de soi en réalité tant il peut se servir parce qu’il a servi. Le fait est que pour ce qui est de servir, « une petite bande d'imbéciles », il fallait la trouver, celle-là : Marianne est servie !
En résumé, la police est bastonnée mais ce n’est rien : un tout petit frisson de sottise. Nous ne sommes pas très loin du délit de sans-gêne sexuel dont Jacques Faizant disait dans un de ses chers dessins qu’on finirait par appeler ainsi le viol à force de vouloir tout ensevelir sous le non-sens. Eh bien balançons notre porc devant pareille offense à la vérité et à l’esprit.
Notre génial Premier ministre est décidément le roi de la limitation de vitesse. Des hordes de sauvages mettent le pays à feu et à sang, tout ce que notre énarque trouve à dire, c’est... « une petite bande d'imbéciles ». Eh bien ! Du côté de l’ÉNA, est-on bien sûr de comprendre ce que l’on dit ? Peut-être comprend-on mieux ce que l’on fait, à l’ÉNA où l’on apprend à rester toujours, quoi qu’il arrive, debout, bien droit dans ses bottes. Comme « on » a bien fait de déménager l’école que le monde entier nous envie du côté de Strasbourg ! Au moins là-bas fait-on de meilleures saucisses qu’à la rue des Saints Pères, des fois que les énarques se prendraient pour des papes de la cuisine exotique.
Alors, « petite bande d'imbéciles » pour « petite bande d'imbéciles », nous savons maintenant à qui nous avons affaire, tant au gouvernement que sur les bancs LREM de l’Assemblée nationale. Inutile de s’épuiser en grossièretés pour qualifier toute cette caste de privilégiés hors sol.
Exquise « République » qui nous ramène si souvent à ses pères fondateurs comme à ses chers animateurs et notamment à l’illustre Camille Desmoulins, qui n’aimait rien autant que la douceur des maximes révolutionnaires de ses collègues Marat et Hébert, aimables poètes comme chacun sait, et qui prenaient le sang qu’ils appelaient à faire couler pour de simples larmes qu’ils versaient en pensant à toute la méchanceté des despotes et des aristocrates.
En résumé, quand on n’a ni le courage, ni l’intelligence d’appeler un chat un chat, peut-être vaut-il mieux fermer sa gueule. C’est franchement idiot de se dénoncer de la sorte : entre le crétin qui ne dit rien et le sage qui se tait, où est la différence ? Sans compter que le doute doit toujours profiter à l’accusé.
La conclusion qui s’impose chez l’énarque de service ne peut être que la suivante : on ne va pas poursuivre ni chercher à punir « une petite bande d'imbéciles », tout de même. Depuis quand poursuit-on les imbéciles ? Hééééé, attention, là ! Vous n’allez pas nous coller un procès de Nuremberg, là ! On n’est pas des salauds, nous, rien que des incapables. De pauvres incapables. Mais on a fait l’ÉNA. Vous savez là où on décerne le diplômes de DÉNI* : Docteur Émérite ès Nullité Incorrigible.
« Une petite bande d'imbéciles ! » il faudrait qu’ils nous la recopient, celle-là. Quand ont pense que le maître et l’âne ont eu des mots si martiaux pour dénoncer le dénommé Claude Sinké et derrière son acte isolé de malade toute une engeance honnie de gens qui font honte à la nationalité française qu’ils ont hérité de leurs parents, voire de plus lointains ancêtres, répugnante discrimination et comble de l’inégalité anti-citoyenne, cela va de soi.
Quant au silence de la presse devant cette macédoine de tartufferie à la saucisse de l’ÉNA, c’est comme si Goebbels ne s’était jamais suicidé - ce qu’il a fait quand il a compris que c’était fichu, sachant mieux que quiconque que personne ne pourrait jamais pardonner ses crimes contre l’esprit, et que son nom était tellement marqué d’infamie qu’il ne pouvait pas non plus infliger à ses enfants de lui survivre. Que tous les socialos - national-socialistes ou tout simplement crétinal-socialistes - exultent de joie : Goebbels est ressuscité, c’est la Pâques des socialos. « Une petite bande d'imbéciles » est à la fois leurs disciples et surtout leurs maîtres. Telle est la mystique du pouvoir royal, le roi est le premier serviteur du royaume. Eh bien au royaume des incapables, c’est pareil. Il faut dire que la monarchie procède d’un principe sacré.
Le problème, de notre brillantissime Premier ministre, c’est que malgré ses ruses à la noix de l’ÉNA, il n’arrivera jamais à faire prendre aux gens à peu près normaux des suppositoires pour des œufs d’esturgeon. Et l’on s’étonne qu’il y ait des gilets jaunes, mais les gilets jaunes sont à Edouard Philippe et à Macron ce que la Manufacture royale des Gobelins était à Colbert et à Louis XIV. À Manu et Phiphi la façon, aux Français la facture. Et à « une petite bande d'imbéciles » la permission de saigner la France ou d’y mettre le feu tandis qu’échouent à une autre « bande d'imbéciles » les bulletins de vote qui permettent à une autre « petite bande d'imbéciles » - encore - d’encourager toutes les « bandes d'imbéciles » à poursuivre leurs... imbécillités.
« Une petite bande d'imbéciles », sans blague ! Quand on réécrira l’histoire de France, espérons qu’il ne sera pas question de dire que la Princesse de Lamballe périt au cours d’une rave partie qui avait mal tourné, ni que le 14 juin 1940 une petite bande de touristes allemands a absolument tenu à faire les Champs-Élysées sans prendre la peine de s’arrêter dans une seule boutique (les rustres!). La prochaine fois, vous verrez : il ne sera même plus question de « petite bande d'imbéciles », mais d’une (toute) petite bande... d’incivils.
Comme dirait le sage Alphonse Karr : « Plus ça change, plus c’est la même chose. » Et Karr n’a même pas eu besoin d’ajouter : « vive le changement ! » tant il y a des choses que tout le monde est capable de comprendre à demi-mot.
Il y a, comme nous l’ont si bien rappelé Alphonse Karr ou Ferdinand Lop, des changements qui coulent de source, manière de dire qu’ils s’imposent C’est du reste à partir de considérations analogues que Procter & Gamble fit, sur l’avenir de sa marque Pampers, un pari qui s’avéra gagnant.
* Télécharger L'ENA l'école de l'ANE
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Editorial de Franz-Olivier Giesbert (Le Point du 7 novembre 2019) - Extrait :
Le spectacle insane donné par les banlieues contribue à hystériser une partie non négligeable des Français. Certes, c'est devenu une habitude: que voulez-vous, il faut bien que jeunesse passe et s'amuse. A intervalles réguliers, des émeutes de jeunes viennent donc ravager des quartiers de la périphérie. Pour un peu, on se croirait dans le Gotham de «Joker», film inspiré, superbe et prophétique où des insurgés portant des masques de clown cassent tout en rigolant. Vu d'en haut, à Paris, ce n'est rien de grave, une façon comme une autre de courir la prétentaine. Vu d'en bas, c'est différent.
«Quelle belle chose, la jeunesse! s'amusait le dramaturge George Bernard Shaw. Quel crime de la laisser gâcher par les jeunes!» Ce n'est pas un hasard si à Béziers, à Chanteloup-Ies-Vignes ou ailleurs, ce sont à des symboles de la République que les émeutiers se sont attaqués: la police, bien sûr, mais aussi les pompiers, l'éducation, la culture. Ici, c'est une école qui est incendiée. Là, un chapiteau où les élèves étaient initiés aux arts de la scène et du cirque. Dans le tout-Etat, la sidération a vite fait place à l'évitement. La France d'en haut n'écoute que son courage qui lui dit de toujours mettre un mouchoir sur les mauvaises nouvelles. Et ne parlons pas des profanations ou dégradations d'églises (877 l'an dernier), c'est péché.
Tels sont les effets du nihilisme et de l'épuisement des valeurs. Hormis Jean-Michel Blanquer et deux ou trois autres, personne, au sommet de l'Etat, n'a vraiment pris la mesure de ces tragédies locales à répétition qui vont encore creuser le fossé entre les «élites» et la France périphérique tout en poussant les feux, si j'ose dire, du Rassemblement national. Car ça roule pour lui. D'où le changement de pied d'Emmanuel Macron sur l'immigration, loin de ses positions passées, plus à l'écoute de l'opinion. Le lui reprocher est absurde, sinon criminel.
C'est pourtant ce que font tous «les idiots utiles» du RN, bien-pensants, islamo-gauchistes ou indigénistes, qui tentent depuis longtemps d'empêcher toute forme de débat sur l'immigration, dossier qui croule sous les tabous, les interdits, entretenant ainsi fantasmes et complotisme. Circulez, y a rien à voir, hurlent d'une même voix ces professionnels du terrorisme intellectuel (…) Cliquer ICI
Désintox... vraiment ?
Arte 28’ du 21 octobre 2019 et sa rubrique intitulée « Désintox » :
Eric Zemmour a été condamné par la justice pour ces propos : « Tous nos problèmes aggravés par l’immigration sont aggravé par l’islam (…) Les jeunes Français vont-ils accepter de vivre en minorité sur la terre de leurs ancêtres ? Si oui, ils méritent leur colonisation, sinon ils devront se battre pour leur libération. »
Nicolas Bay prend la défense du condamné en affirmant qu’il y a des départements où déjà les étrangers sont majoritaires.
Arte Désintox : « C’est faux ! Dans le département 93, où il y en a le plus, environ 9 % sont des étrangers et en France ils ne représentent que 2 % de la population totale du pays. »
Le problème c’est que Nicolas Bay a manifestement en tête les étrangers naturalisés Français ou ayant bénéficié du droit du sol ; alors que les journalistes de Arte ne prennent en compte que les étrangers stricto sensu.
Jérôme Fourquet, dans son dernier livre : « L’archipel français – Naissance d’une nation multiple et divisée» nous apporte un renseignement bien plus pertinent en comptant le nombre d’enfants déclarés portant un prénom représentatif de l’origine de leurs ancêtres. Lisez son ouvrage qui révèle que ce n’est évidemment pas que 2% des nouveaux-nés.
Cette manière biaisée de présenter les choses par la plupart des journalistes (9 sur 10 sont de gauche) sur laquelle s’appuient les politiciens (essentiellement de gauche ou qui veulent être réélus en s’appuyant un électorat communautaire) conduit au déni du réel.
Vouloir résoudre un problème en raisonnant juste avec des données fausses induira des résultats faux. Ne pas appréhender les réalités réelles ne permettra pas une intégration réussie.
Mais au contraire, comme l'exprimait Jean-Pierre Chevènement : c'est avec la déferlante de la connerie qu'on risque une guerre civile (qui commence toujours à bas bruit).
Quand une communauté manifeste ostensiblement une culture différente de celle du pays d’accueil, voire son hostilité vis à vis de ses us et coutumes, il ne faut pas s’étonner que même s’ils ont, en droit, la nationalité de cette nation, en fait ils sont perçus comme des étrangers par les gens de souche.
Certains commencent à le comprendre comme Alain Finkielkraut, l’académicien français, qui est en pointe dans la dénonciation des dangers d’une immigration de masse destructrice de nos valeurs.
(Selon l’éditorial de Maurice Szafran dans l’hebdomadaire « Challenges » du 10 octobre 2019)
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Commentaire de Lucas (24 octobre 2019) : Le voile salafiste, les bien pensants et Zemmour
Une véritable frénésie haineuse s’empare de toute une frange d’imprécateurs qui considèrent détenir la vérité et entendent l’imposer de force s’ils le peuvent, en utilisant des méthodes assez contestables, tel le chantage concernant Eric Zemmour pour tenter à tous prix de l’interdire d’antenne parce qu’il entend stigmatiser le salafisme, tendance radicale de l’Islam issue rappelons le de l’Arabie Saoudite, un de nos créanciers, ceci expliquant peut être une partie de cela.
Il serait donc interdit de s’étonner de voir proliférer le port du voile salafiste dans les jeunes générations, n’hésitant pas à le considérer comme de l’islamophobie.
Comble du ridicule outrancier, une violente charge anti-Zemmour est lancée de tous côtés, via un ancien directeur de l’EHESS, Gérard Noiriel, réputé moraliste de gauche, qui n’hésite pas à sortir un livre comparant Zemmour à Drumont.
Pour qui connaît l’histoire de l’antisémitisme en France, on ne peut que rigoler d’une telle comparaison.
Concernant le voile salafiste, laissons des musulmanes et des musulmans s’exprimer à ce sujet dans l'hebdomadaire 'Marianne' (publié le 22 octobre 2019), seront-ils taxés d’islamophobie par les descendants des porteurs de valise du FLN ?
"Le voile est sexiste et obscurantiste" : l'appel de 101 musulman(e)s de France
"Français de culture ou de confession musulmane, humanistes, progressistes et féministes", ils répondent ici à la tribune publiée dans le "Monde" et intitulée "Jusqu’où laisserons-nous passer la haine des musulmans ?", signée par 90 personnalités. Pour eux, le voile est loin d'être un pilier de l'islam.
"Notre pays se déchire depuis trente ans au sujet du port du voile de certaines Françaises de confession musulmane. Ces femmes sont de plus en plus nombreuses, tant l'influence des prédicateurs extrémistes est très forte. Le sujet est donc grave. Beaucoup de choses sont dites. Mais beaucoup de ces choses sont fausses.
Il nous est apparu urgent à nous autres, Français de culture ou de confession musulmane, humanistes, progressistes et féministes, de prendre la parole publiquement.
Le port du voile est le signe ostentatoire d'une compréhension rétrograde, obscurantiste et sexiste du Coran. Voiler les femmes, c'est stigmatiser leur présence dans l'espace public.
Il est grand temps que nos compatriotes sachent que le port du voile ne fait pas l'unanimité, chez "les" musulmans. Il ne relève pas du culte, contrairement au jeûne du Ramadan ou aux cinq prières quotidiennes. Il n'est pas un "signe religieux" puisque l'islam réprouve tout fétichisme matériel. L'islam se vit dans le cœur, pas sur la tête. D'ailleurs, "les" musulmans, cela n'existe pas. Il y a DES musulmans, DES pratiques, DES interprétations, et DES convictions. Ces clivages et oppositions existent depuis le VIIe siècle.
Nous, signataires de ce texte, affirmons haut et fort que le port du voile est le signe ostentatoire d'une compréhension rétrograde, obscurantiste et sexiste du Coran. Voiler les femmes, c'est stigmatiser leur présence dans l'espace public. Faire d'elles des citoyennes assignées à la scandaleuse identité de "subordonnées au désir supposé des hommes". Or, notre beau pays lutte pour aller vers toujours plus d'égalité entre les sexes. Le sexisme et la diabolisation du corps des femmes sont contraires à nos idéaux.
Les auteurs de "la tribune des 90" parue dans Le Monde, ont été mus par la volonté de combattre la stigmatisation et l'amalgame. Démarche qui part d'un bon sentiment. Cependant, nous affirmons ici que c'est bien le voile qui stigmatise les femmes.
Nous nous désolons de voir ces 90 Français faire l'amalgame entre "des" musulmans orthodoxes obsédés par le corps des femmes, et "les" musulmans tout court.
LES musulmanes ne portent pas le voile, sachez-le bien. Ce sont DES musulmanes qui le portent. DES musulmanes qui font une lecture patriarcale et faussement littéraliste du texte coranique. DES musulmanes et DES musulmans qui refusent l'intelligence de la foi, qui refusent d'allier la foi avec l'exercice de la Raison critique.
DES musulmans veulent figer l'islam dans le paradigme du VIIe siècle, celui du désert arabique, en y greffant le port d'un voile, par ailleurs inexistant dans le Coran. Ces musulmans donnent une telle importance à cet accessoire sexiste créé dans l'Antiquité, qu'ils en ont quasiment fait le 6ème pilier de l'islam.
Soutenez les Françaises et les Français de confession ou de culture musulmane qui se battent contre cette terrible vague néoconservatrice.
Ces musulmans ne sont pas, et ne seront jamais LES musulmans. Ils ne sont que DES musulmans qui, par leur affichage, sont plus visibles que les autres.
Nous avons décidé de faire entendre notre voix, car les événements nous obligent à prendre nos responsabilités. Nous ne pouvons plus rester spectateurs lointains et désabusés d'un débat qui a tant d'importance. Nous estimons qu'il est de notre devoir de faire savoir à tous nos compatriotes, que la question du voile est un sujet de discorde, à l'intérieur même des écoles juridiques sunnites officielles.
Alors de grâce, soutenez les Françaises et les Français de confession ou de culture musulmane qui se battent contre cette terrible vague néoconservatrice, venue des pays du Golfe arabo-persique, il y a 30 ans. Ne confondez plus CES musulmans orthodoxes, qui prônent le sexisme par le port du voile, réflexe bien plus identitaire que religieux, avec tous LES musulmans."
Conclusion de Gilles Bressière (25 octobre 2019) : Tous les Français musulmans ne sont évidemment pas des étrangers. Seuls ceux qui arborent l’étendard de l’obscurantisme, « qui refusent l'intelligence de la foi, qui refusent d'allier la foi avec l'exercice de la Raison critique. », qui rejettent les valeurs de la République, notamment l’égalité entre les hommes et les femmes, seront perçus comme des étrangers et risquent peut-être un jour d’être traités comme tels.
Les technocrates ne savent pas gérer l’humain
Cinquante deux suicides de policiers depuis le début de l’année. Le suicide d’une directrice d’école qui croulait sous les tâches administratives en plus de ses lourdes responsabilités. Cliquer Pétition
Trop de contraintes, nées des élucubrations de technocrates désœuvrés en mal d’innovations pour justifier leur poste, pourrissent la vie des gens.
Au lieu d’apporter une aide aux policiers sur-sollicités on leur impose de faire leur métier dans des conditions souvent très difficiles agrémentées d’ordres inapplicables venus d’une hiérarchie déconnectée auxquels s’ajoute une paperasserie qu’il serait si facile de simplifier.
On a supprimé des policiers, on n’a pas voulu réformer la Justice et laissé des juges idéologues saboter leur travail (et les décourager).
Cet aveuglement perdure depuis que des énarques sont à la tête de l’Etat.
Une foultitude de services administratifs créant une multitudes d’imprimés redondants à renseigner. Ces mêmes informations qui doivent figurer sur des liasses disparates : c’est encore un des fruits de la technocratie.
Evidemment on a supprimé les postes de secrétariat plutôt que de supprimer ces services inutiles et dispendieux qui sont confiés à des technocrates tracassins (assassins).
A l’Education Nationale, par exemple, il serait si simple d’avoir un seul document complet à remplir par les parents d’élèves et complété par les professeurs, que nos puissants ordinateurs abreuvés d’intelligence artificielle fassent le tri, repèrent les anomalies à corriger et proposent des synthèses, en soulageant efficacement le personnel enseignant de tâches chronophages.
Il serait temps d’adapter l’administration aux vrais gens et qu’elle soit une aide plutôt qu’une gêne.
Commentaire d’Yvon (6 octobre 2019) : Expertise et discernement au sommet de l’Etat.
Un « parcours meurtrier » sans « le moindre signe d’alerte » pour Christophe Castaner et le Procureur de la République Rémy Heitz : cliquer Ici
« Cet homme âgé de 45 ans, adjoint administratif de catégorie C depuis 2003 à la préfecture de police s’est engagé dans un parcours meurtrier dont le Procureur de la République de Paris présentera les conséquences. Cet homme était connu dans le service informatique et travaillait avec ses collègues de travail, il n’a jamais présenté de difficultés comportementales... »
Pourtant on savait que cela faisait 18 mois que le meurtrier s’était converti au salafisme et que son comportement vis à vis des femmes était sans ambiguïté.
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Commentaire de Martine Meunier : cliquer pédagogie
Rappelez- vous :"Quand on ne peut pas et qu'on ne sait pas on fait de la pédagogie"
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Emmanuelle Amar (Arte 28' 9 octobre 2019) : cliquer "Un silence toxique"
Notre vœu : Le gouvernement a tiré au sort 150 participants pour rédiger un rapport sur les moyens à mettre en œuvre pour lutter contre le réchauffement climatique, propositions qui seront soumises aux parlementaires ou par référendum : bravo ! C'est une bonne initiative. A renouveler quand les autorités administratives mentent par omission ou bien falsifient les faits : tirer au sort des participants pour former une Commission Ethique. Le risque de passer devant une Commission Citoyenne, en cas de manquement, fera que l'impunité actuelle disparaîtra et que les fonctionnaires seront enfin responsabilisés.
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Jean-Pierre Chevènement, ancien ministre de l’Intérieur (Le Point du 10 octobre 2019) :
« Les guerres civiles commencent toujours à bas bruit ».
Il commentait l’attentat de la préfecture de police de Paris : Mickaël Harpon, l’assassin de ses quatre collègues, fréquentait la mosquée de la Fauconnière à Gonesse où prêchait Ahmed Hilali, salafiste, qui fait l’objet d’une obligation de quitter le territoire, jamais exécutée (étant père d’un enfant français).
« Sur la longue durée, on perçoit l’extrême faiblesse de plusieurs de nos institutions, y compris judiciaires. (…) Ce qui nous menace, et pas dans un horizon lointain, c’est la déferlante de la connerie. » conclut Jean-Pierre Chevènement.
Le Président Macron préconise que les citoyens soient vigilants vis à vis de l’islamisme.
Participation citoyenne ? Cela risque d’être la pétaudière avec des milliers de dénonciations calomnieuses qui vont engorger les services de police.
Nous attendons que ce soit en réalité l’administration qui soit enfin vigilante et qui fasse le ménage dans ses services : Police, Armée, Renseignements, Enseignement, Transports, Hôpitaux, etc. et que cette mesure soit surtout réalisée au sein de la Justice, cette administration (actuellement sans contrôle) qu’il faut améliorer par une participation citoyenne efficace, c’est à dire avec la présence en son sein de jurés populaires tirés au sort.
Le « mur des cons » est toujours debout
Y a des jours où l'on trouve du vrai dans cette boutade de Mark Twain: «Si l'on pouvait croiser l'homme et le chat, cela améliorerait l'homme, mais cela dégraderait le chat.» Application pratique avec la bouffonnerie olympique de cette décision du tribunal correctionnel de Lyon, qui a relaxé deux « décrocheurs» - le nom consacré pour ceux qui chapardent les portraits du président de la République dans les bâtiments publics.
La motivation du juge? «L'état de nécessité», parce que la France ne respecterait pas ses engagements sur le climat. Une imposture juridique, tant l'état de nécessité est, en droit, une notion aux antipodes de l'opinion politique personnelle. A ce compte, chacun serait fondé à s'en prendre à qui il voudrait en invoquant ses convictions. Jusqu'où ? On imagine l'exploitation que les extrémistes de tous bords pourraient faire de ce jugement...
Voici donc un magistrat, élevé au biberon de la République et de l'Etat de droit, qui justifie le vol de biens publics par un jugement de valeur politique. On imagine bien que cela peut faire envie à certains de s'offrir un quart d'heure warholien en prenant une décision tellement bête qu'elle lui vaudra un passage à la télévision. Mais voilà, un tribunal n'est pas « L'île de la tentation », et confondre la justice avec la télé-réalité est plutôt inquiétant pour qui est censé être au service de la loi.
Il n’y a pas que cela. La motivation de la décision témoigne d'une dérive zadiste chez certains magistrats. En l'espèce, le prétexte environnemental cache mal la logorrhée de cette gauche extrême reconvertie dans l'écologie par nécessité et qui poursuit toujours la même haine de la démocratie libérale. Quitte à desservir cette cause - majeure - qu'ils prétendent défendre. Alors que le mur de Berlin est tombé il y a trente ans, le « mur des cons », lui, tient toujours. En 2013, des images tournées en caméra cachée par un journaliste de France 3 dans les locaux du Syndicat de la magistrature (SM), ouvertement à gauche, montraient un panneau sur lequel figuraient, assorties de commentaires, des photos de politiques, magistrats ou journalistes, de droite ou présumés de droite, désignés ainsi comme cibles.
La présidente du SM d'alors, Françoise Martres, a été – partiellement condamnée. Mais cela ne signifie pas qu'ont disparu ces adeptes du détournement de fonctions publiques qui privatisent l'institution pour servir leurs obsessions. La «jointventure» établie par certains d'entre eux avec Mediapart, qui est devenu le journal officiel de cette mouvance en publiant opportunément les PV qu'il faut, le zèle parfois surprenant des procédures à l'encontre de Nicolas Sarkozy (mais aussi de Jean-Luc Mélenchon) contribuent à semer le doute sur cette profession, pour l'essentiel irréprochable, mais qui devrait l'être dans son entièreté.
La décision du tribunal de Lyon est une forfaiture, mais aussi un hommage à la désinformation. La France doit évidemment faire beaucoup plus sur le sujet du climat, mais on ne peut cacher qu'elle est l'un des pays industrialisés dont les émissions de CO2 sont les plus faibles par habitant, grâce à l'hydraulique et, surtout, au nucléaire. Mais chut, cela pourrait déplaire à nos magistrats guévaristes à paravent écolo...
Sans surprise, le micro-coup d'Etat de Lyon est reçu avec triomphalisme par les associations d'anticapitalistes en habit vert, par Cécile Duflot et quelques autres. Il est aussi décrit avec bienveillance, voire une certaine réjouissance, par Le Monde. L'Etat de droit est piétiné et il en est qui s'en félicitent. A croire que tout ce petit monde a envie de donner raison à Mark Twain.
Etienne Gernelle
19 septembre 2019 / Le Point 2455
Il faudra un jour faire le ménage
On ne peut plus laisser des magistrats se faire les complices des délinquants, par idéologie ou par intérêt occulte inavouable.
Un remède simple et peu onéreux : instaurer des Commissions Ethiques composées de jurés tirés au sort. Cette participation citoyenne dont se gargarisent les politiques sans jamais la mettre en œuvre. Il est urgent que le peuple français acquière enfin un vrai contrôle sur ses juges, pour moraliser et redonner du bon sens au système judiciaire. Qu’on puisse proscrire enfin toutes ces décisions de justices ineptes ou scandaleuses qui disqualifient les tribunaux dans leur fonctionnement actuel.
Les Commissions Ethiques devraient avoir le pouvoir de sanctionner les juges qui ne respectent plus l’Etat de Droit, ceux qui sont des complices évidents des délinquants, ceux qui falsifient les faits et ceux qui n’appliquent plus les lois de la République.
Le pouvoir sans contrôle peut rendre fou et c’est bien ce que l’on constate dans de nombreuses affaires conclues par des jugements stupéfiants. L’irresponsabilité des juges, exempts de tout contrôle, contribue à l’explosion constatée de la délinquance, au malheur de nombreuses victimes et à la crucifixion de tant d’innocents.
Il faudra donc un jour faire le ménage.
Gilles Bressière (20 septembre 2019)
PEDAGOGIE et ECOLOGIE
ENSEIGNEMENT
Quand on peut et qu’on sait : on fait.
Quand on ne peut pas mais qu’on sait : on enseigne.
Quand on ne peut pas et qu’on ne sait pas : on fait de la pédagogie.
GOUVERNEMENT
Quand on peut réduire le coût de fonctionnement de l’Etat et qu’on sait le faire : on le fait.
Quand on peut supprimer les contraintes handicapantes et qu’on sait libérer l’emploi : on le fait.
Quand on peut réduire le Léviathan technocratique et qu’on sait administrer frugalement : on le fait.
Quand on peut optimiser l’administration et qu’on sait la rendre respectueuse des lois et des hommes : on le fait.
Quand on peut réformer la Justice et qu’on sait comment la rendre exemplaire avec une réelle éthique : on le fait.
Etc.
Quand on ne peut pas et qu’on ne sait pas : on fait de l’écologie.
Incapables ? : Cliquer Ici - Arte 28' (7 septembre 2019) avec Raphaëlle Bacqué : Cliquer ENA
ENA ? Une vidéo rappelant cette "lumineuse" idée produite par des cerveaux d'énarques : si on a moins de médecins on aura moins de malades... aujourd'hui on en voit le résultat : six mois de grève aux urgences...
Au nom de la technocratie française
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Corse Matin du 19 août 2019 : cliquer Ici
« D’anciens jurés racontent le "vertige" des procès d’assises, avant les grands débuts d’une nouvelle juridiction qui jugera des crimes sans jury populaire. A partir de septembre, les "cours criminelles", créées pour accélérer les procédures, examineront des crimes punis de 15 à 20 ans de réclusion, et seront expérimentées dans sept départements. »
Si le but ultime est d’accélérer les procédures, à quand une justice à la Robespierre ? Une justice qui a perdu la tête.
Déjà nous souhaitons qu’aucun juge ne vienne perturber les débats des jurés d’assises comme c’était le cas avant que cette présence soit imposée sous l’occupation allemande (1940-1945) par le gouvernement de Vichy et perpétuée.
Nous préconisons au contraire d’introduire des jurys populaires dans les cours correctionnelles car nous sommes très attachés aux acquis de la Révolution française.
Si ça continue dans cette voie, où le peuple sera de plus en plus représenté par des fonctionnaires non élus, alors la démocratie sera un jour totalement confisquée par une dictature technocratique. Il est à craindre que s’en suive une prolifération de lois restreignant le droit de penser différemment de la doxa bien-pensante. De nouvelles lois mémorielles, des lois contraignant à ne pas contredire la vérité officielle et même, on l’a vu récemment, une loi anti-blasphèmes *.
Vertige !…
Faudra-t-il émigrer aux Etats-Unis pour retrouver la liberté ?
* Malika Sorel (24 août 2019) : une bouffée d'oxygène dont devrait s'inspirer nos gouvernements (cliquer Ici et Là)
Encore une loi liberticide !
(Toute information critique se devra d'être censurée ! ) Cliquer Ici et Là
Franz-Olivier Giesbert révèle dans son éditorial intitulé « Médiapart, roi de la pantalonnade », ‘Le Point’ n°2447 du 25 juillet 2019 :
« France, prends garde à toi, tout fout le camp.
Ton esprit critique, ton bon sens aussi. Dans une proposition de loi contre la cyberhaine, la députée macroniste Laetitia Avia venait de glisser subrepticement l’interdiction du blasphème (à l’encontre de l’islam exclusivement), une revendication traditionnelle des Frères musulmans. »
Après les lois mémorielles, la loi sur les ‘fake news’, voici la loi antiblasphème.
Aux Etats Unis on a conservé la liberté d’avoir n’importe quelle opinion, de pouvoir l’exprimer oralement et même de l’écrire (sauf la diffamation évidemment).
Malheureusement ce n’est plus le cas en France car selon la bien-pensance on n’a plus le droit d’avoir ‘des idées à la con’ ni même de déconner.
Imaginez que, dans un futur plus ou moins proche, vous soyez poursuivi pour avoir exprimé bêtement une idée sotte sur une certaine religion ; dénoncé, puis jugé par un magistrat issu de l’islamisme radical (ça arrivera un jour)… Imaginez…
Commentaire de Bernard (31 07 2019) : cliquer Ici
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Pierre-Antoine Delhommais (Le Point n°2448 du 1er août 2019) :
« L’alibi de Macron
Pour le président, l’écologie est un moyen habile de détourner l’attention des Français de son incapacité à réduire la dépense publique.
(…son principal adversaire…) Le RN est beaucoup plus préoccupé par l’augmentation de la population musulmane que par la diminution de celle des abeilles. »
Appliquons la loi !
Il s'est déroulé ces dernière semaines le tournoi de football des nations africaines remporté par l'équipe algérienne, félicitations à elle. Mais en parallèle, nous avons assisté à des scènes d'une "rare" violence partout en France commises par les supporteurs de ce collectif.
Cet élan de patriotisme envers un pays étranger a tout de même coûté la vie à un jeune universitaire https://www.google.com/amp/s/amp.lepoint.fr/2325816
Ainsi que de nombreux dommages sur le mobilier urbain dont voici quelques exemples: https://france3-regions.francetvinfo.fr/normandie/eure/evreux/evreux-statue-du-general-gaulle-vandalisee-1702022.html https://mobile.francetvinfo.fr/sports/foot/can-2019-deux-magasins-pilles-sur-les-champs-elysees-lors-d-un-rassemblement-apres-la-qualification-de-l-equipe-de-foot-d-algerie_3532631.html#xtref=https://www.google.com/
Fort heureusement l'article 23-7 du code civil doit permettre que ce genre de manifestation ne se représente plus.Le voici: https://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070721&idArticle=LEGIARTI000006420004&dateTexte=&cat egorieLien=cid
Et nous comptons bien entendu sur nos chers magistrats pour l'appliquer à la lettre compte tenu de la gravité des faits, car sans cela ils pourront être considérés comme hors la loi, voir même pire, comme complices.
Nous adressons notre soutient à toutes les victimes des dommages collatéraux de cette CAN ainsi que nos plus sincères condoléances à la famille du jeune homme assassiné et espérons que justice soit enfin rendue.
Halte à la justice politique!
Franz-Olivier Giesbert dans 'Le Point' n°2443 du 27 juin 2019 : cliquer ICI
Voir ce qu'a écrit Gilles Bressière dans son essai "L'horreur judiciaire - Au nom du peuple français" au chapitre intitulé "Ne laissons pas un gouvernement des juges confisquer la République" page 107
Nicolas Bessone, ancien procureur de Bastia : « Jusqu’à présent , on ne voyait cela qu’en Corse ou en Sicile» (voir le billet 'Justice à vendre'). Un article édifiant du Journal 'Corse Matin' (18 juillet 2019) : Cliquer Ici
Commentaire d'Antoine (20 juillet 2019) : Si les faits de cet article (révélés par le Canard Enchaîné) sont avérés, serait-ce les prémisses d'un début de tentative d'assainissement par le Conseil Supérieur de la Magistrature ?
Lucas (20 juillet 2019) : Quand on commence à tirer un fil de la pelote... Cliquer Ici
CESSEZ D'EMMERDER LES FRANCAIS!
Assommer les Français de complications incessantes et d'inutiles tracasseries n'est pas le meilleur moyen de les réconcilier avec l'Etat. Celui-ci demeure à leurs yeux un ennemi qui leur cherche querelle, «par bêtise, méchanceté ou vocation». Cliquer ICI
Le comble c’est quand l’administration n’applique plus les lois en se vautrant dans l’arbitraire et même dans l’illégalité. Un exemple édifiant de cet assassinat de l’Etat de droit par des fonctionnaires se trouve résumé dans l’essai de Gilles Bressière "L'horreur judiciaire - Au nom du peuple Français" qui se termine par :
"En bref Denis Dejustys a été condamné à effectuer des travaux illicites sur une propriété située sur une zone devenue inconstructible (NM), qui ne lui appartient pas et dont il n’est pas héritier, cela pour avoir simplement financé des travaux licites, dans une zone qui était encore constructible (UD), sur la foi d’une déclaration de travaux valide (selon les textes de l’imprimé CERFA de cette déclaration déposée en mairie par une tierce personne)."
L'Etat, un ennemi qui leur cherche querelle par bêtise, méchanceté ou vocation ?
Toujours plus de contraintes, plus de tracasseries, c’est bien une des causes principales de l’exaspération des Français.
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Commentaire d’Aurélie (28 juin 2019) : A quand un Parti des Français Heureux (PFH) où notre idéal républicain « Liberté Egalité Fraternité » retrouverait du sens ?
Avec beaucoup moins de contraintes. Avec un choc de simplification (même Donald Trump l’a fait !). Avec une administration au service des citoyens (avec de nombreux cas où l’administration propose et où l’administré dispose). Quant à l’égalité et à la fraternité, de grâce, surtout ne pas prendre exemple sur les intégristes islamistes !
"Liberté Egalité Fraternité" c'est l'antithèse des technocrates et des sectaires.
Claire Pollin - SOS Education (27 juin 2019) "Canicule : notre Ecole marche sur la tête" : Cliquer Ici
Comment survivre dans un environnement hostile
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