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Comment survivre dans un environnement hostile

Déni du réel et vérité cachée  -  par GillesBressiere

Déni du réel et vérité cachée

Qui sont les hauts fonctionnaires qui nous cachent la vérité ?

"(...) l'administration a mis un mouchoir sur cette absurdité comme sur tant d'autres."

(Image PDF pour smartphone : cliquer Ici)

Deeni_du_reeel.jpg

Qui sont les hauts fonctionnaires qui mentent effrontément pour satisfaire de sombres intérêts occultes? : Lire l'essai  "L'horreur judiciaire - Au nom du peuple français"

La version 39 est disponible en PDF (toujours gratuitement). L'ajout par rapport à la version 37 (une cinquantaine de pages) débute par un questionnaire qui sera adressé aux candidats à la présidence de la République (page 243).

L’affaire Denis Dejustys, qui a inspiré cet ouvrage, peut se résumer dans la lettre que le malheureux condamné a envoyé à un de ses fils :

« Mon cher [prénom du fils]

Tu m’as sollicité pour que je puisse t’aider à financer la rénovation de ta toiture comme j’ai déjà aidé ton frère [prénom du frère] à rénover sa maison et [prénoms de ses deux demi-frères] pour financer les travaux commandités par [prénom de feue la femme de Denis Dejustys]. Ton frère aîné me demande aussi de l’aider à payer des implants dentaires fort coûteux.

Malheureusement entre temps ma situation a bien changé depuis que j’ai été victime d’une condamnation à payer une astreinte de 18 300 euros par an (tous les ans depuis mars 2014) pour effectuer une peine inapplicable.

Je suis condamné à remettre en état les lieux : c’est à dire à démolir un agrandissement introuvable de 87,95 m² (qui n’a jamais eu d’existence) et  à remettre en état un bâtiment initial de 60,30 m² qui n’a jamais fait une telle surface ! (l’agrandissement réel est de 17 m² habitable : 2 pièces de 8,50 m²).

- Les hauts-fonctionnaires et les magistrats ne savent donc pas lire ou ne veulent pas lire les termes de la déclaration de travaux exempte de permis de construire de [prénom de sa femme] de mai 2007, et modifient sans vergogne la surface initiale du bâtiment et celle qui a été construite.

- Les hauts-fonctionnaires et les magistrats ne savent pas lire ou ne veulent pas lire la loi qui précise que sans refus, exprimé dans un délai légal d’un mois, par lettre recommandée avec AR, et ignorent que l’administration est censée avoir donné son accord tacite pour réaliser les travaux.

- Les hauts-fonctionnaires et les magistrats ne savent pas lire ou ne veulent pas lire le constat d’huissier effectué en octobre 2012 qui montre que la déclaration de travaux était bien complète avec un descriptif très détaillé qui tient sur six pages. Ce constat contredit clairement l’affirmation devant les juges de la DDE de Bastia qu’il y manquait le descriptif des travaux (des magistrats avisés y aurait vu une tentative d’escroquerie au jugement.)

- Les hauts-fonctionnaires et les magistrats ne savent pas lire ou ne veulent pas lire le POS en vigueur en juin 2007 concernant la zone UD (constructible) dans laquelle se situait le bungalow au début des travaux.

- Les hauts-fonctionnaires et les magistrats ne savent pas lire ou ne veulent pas lire l’extrait du cadastre de 2005 (tamponné par la DDE) ni le document de bornage d’août 2013, effectué par un géomètre-expert, qui montrent que d’importantes constructions nouvelles, illicites, ont été bâties dans la zone des 100 mètres, par des voisins promoteurs de villages de vacances (dont la « résidence les pieds dans l’eau » si bien nommée), après que le PLU du 3 septembre 2008 l’eût totalement interdit sans que la mairie ni la DDE y trouvent à redire. Evidente discrimination !

- Les hauts-fonctionnaires et les magistrats ne savent pas lire ou ne veulent pas lire la loi Littoral et ses possibilités d’extensions en zone UD.

- Les hauts-fonctionnaires et les magistrats ne savent pas lire ou ne veulent pas lire les procès verbaux qui expriment que j’ai déclaré avoir financé des travaux licites validés par la déclaration de [prénom de sa femme] et ne voient pas que c’est elle et [prénom de l’oncle de sa femme] qui sont les commanditaires des travaux (les juges parlent ‘de mes écritures’ alors qu’elles sont signées par [prénom et nom de sa femme] et non par moi). Je n’ai donc jamais reconnu avoir commis une infraction à l’urbanisme comme l’affirment les magistrats de la Cour d’appel de Bastia (cela pour dédouaner les erreurs de dates commises par l’administration !)

- Les hauts-fonctionnaires et les magistrats ne savent pas lire ou ne veulent pas lire le jugement du Tribunal Administratif de Bastia qui reconnaît que [prénom de sa femme] était bien bénéficiaire d’une autorisation tacite de travaux mais qui ajoute que je n’avais pas qualité à agir.

- Les hauts-fonctionnaires et les magistrats ne savent pas lire ou ne veulent pas lire l’acte de succession de [prénom de sa femme] qui montre que nous étions sous le régime de la séparation de bien et que ma femme pouvait donc faire les travaux qu’elle voulait sans que je sois concerné.

- Les hauts-fonctionnaires et les magistrats ne savent pas lire ou ne veulent pas lire l’acte de succession de [prénom de sa femme] où il apparaît que j’ai été privé du quart réservataire. Ils ignorent, de surcroît, que je n’ai l’usufruit que sur les propriétés qui y figurent nommément ; et pas du tout sur celles qui sont sur la succession, toujours en cours, de son grand-père en Corse.

- Les hauts-fonctionnaires et les magistrats ne savent pas lire ou ne veulent pas lire l’acte de succession de [prénom de sa femme] où n’apparaît évidemment aucune propriété en Corse (je ne possède absolument rien dans l’Ile de Beauté).

- Les hauts-fonctionnaires et les magistrats ne savent pas lire ou ne veulent pas lire les dernières volontés de [prénom de la femme de Denis Dejustys] qui confirment que la succession de son grand-père reste toujours en cours depuis 1986 parce qu’aucun des trois notaires sollicités ne veut entériner, par acte notarié, un partage dont les parts sont très inégales.

- Les hauts-fonctionnaires et les magistrats ne sauront pas lire ou ne voudront pas lire le contrat d’installation d’une antenne relais sur un terrain en bord de mer moyennant une redevance annuelle à partager entre les copropriétaires de l’indivision dont je ne fais évidemment pas partie (et donc pas concerné par cet argent) ; puisqu’ils ont décrété arbitrairement et contre toute réalité que c’est comme bénéficiaire que j’ai été condamné à effectuer, sous astreinte, des travaux (inapplicables) de remise en état des lieux, (infirmant de surcroît le jugement du Tribunal Administratif de Bastia qui ne me donne pas qualité à agir !) 

La plupart des insulaires n’ignorent rien de l’existence de ces pratiques qui bafouent les termes de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen :

« Art. 7. Nul homme ne peut être accusé, arrêté ni détenu que dans les cas déterminés par la Loi, et selon les formes qu'elle a prescrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires, doivent être punis ; (…) » mais l’Etat français ne sanctionne plus ses fonctionnaires indélicats depuis longtemps…

Au contraire : tous ces gens se distribuent la Légion d’Honneur pour se donner l’apparence de la respectabilité… Ton grand-père, que tu n’as pas connu, qui en était décoré, lui, pour des raisons vraiment valables, en aurait été fort déçu. 

Je vais essayer de t’aider quand même, dans la mesure de mes moyens actuels, qui sont malheureusement bien réduits par cette scandaleuse injustice. 

Je t’embrasse bien affectueusement.   Papa  

PS : je te joins la « lettre de cachet » qui a déclenché cette monstrueuse injustice, courrier qui n’a jamais été envoyé à l’intéressée (ce que l’administration a bien été forcée de reconnaître mais sans que les juges en tiennent compte), et en annexes ses conséquences judiciaires kafkaïennes : jugements fondés sur des mensonges, des  inexactitudes, des rétroactivités, de la non-application des lois et d’interprétations ubuesques. »

Pour lire les conséquences judiciaires jointes à la lettre de Denis Dejustys à son fils cliquer Ici

  Les futurs historiens auront à leur disposition tous les documents qui confirment  tous les termes de cette lettre en consultant le dossier de cette affaire aux archives du tribunal de Bastia. Ils pourront alors se faire une idée de notre République qui était tout sauf exemplaire.

  Rappelons qu’en Corse l’Etat, sous le gouvernement Jospin, en cohabitation avec le Président Jacques Chirac, a joué la pègre contre les indépendantistes… et ils ont eu la pègre et les indépendantistes comme l’avait prédit le maire de Bastia, Emile Zuccarelli. 

 Tout se passe comme si les directives données à l’époque restent encore appliquées. Car aujourd’hui, apparemment, cette politique stupide se perpétue avec une administration et une justice complices des exactions mafieuses. Spoliations et discriminations se font au profit de promoteurs plus ou moins inféodés à la mafia, avec l’aval de la préfecture. Mais dans l’affaire qui crucifie injustement Denis Dejustys, la condamnation (inapplicable) ne bénéficiera pas aux escrocs puisqu’il n’est ni propriétaire des lieux ni héritier d’une succession conflictuelle. Il ne peut donc pas céder un bien qui ne lui appartient pas… 

  Cette absence d’exemplarité de nombreux dirigeants et d’élus explique l’inflammabilité de nos concitoyens vis à vis des pouvoirs publics et des politiciens aux promesses non tenues. Une administration décrédibilisée et une justice désacralisée sont à mettre sur le compte de leurs nombreuses bavures rarement sanctionnées. L’absence de volonté politique à faire respecter la Déclaration des Droit de l’Homme et du Citoyen achève ce sinistre tableau...

Nicolas Baverez termine son article « La France schizophrène » (Le Point 2581 du 27 janvier 2022) par :
« (…) Le redressement de la France passe certes par la continuité des efforts engagés en faveur de la compétitivité des entreprises. Mais il ne peut réussir sans une modernisation radicale de l’État qui devrait être le cœur du débat présidentiel .» et Franz-Olivier Giesbert d’ajouter « (…) Dopés à la dépense publique, gavés de pensée magique économique dès les bancs des lycées, les Français ne sont pas prêts à entendre la vérité. Mais est-ce une raison pour ne pas la leur dire ? » 

La réforme de l’Administration et de l’Éducation Nationale devraient être au cœur du débat électoral…  

 Bernard Accoyer, ancien président de l’Assemblée nationale, dans son livre « Une affaire d’État » (Hugo Doc), dévoile les dessous ahurissants de cette patiente tentative de sabordage du parc nucléaire, cette filière d’excellence.
 Un article de l’hebdomadaire Le Point 2581
(du 27 janvier 2022) intitulé « Ce que nous coûtent les antinucléaires… » commence par : « Les prix de l'électricité flambent, mais 11 réacteurs nucléaires sont mis à l'arrêt pour maintenance, et le vent ne souffle pas, rendant les éoliennes inutiles. Pour éviter des black-out, la France est contrainte d'importer massivement de l'électricité et de booster ses centrales à charbon. Le gouvernement, au pied du mur, fait mine de découvrir un fiasco dont nos autorités ont pourtant écrit le scénario, du premier accord politique signé entre Lionel Jospin et les Verts en 1997 à la fermeture de la centrale de Fessenheim par Emmanuel Macron. » et cet article se termine par :  « La stratégie mise en œuvre est «habile»: des rapports biaisés donnent de fausses évaluations des coûts de développement des renouvelables, justifiant la mobilisation de sommes colossales. D'autres «sous-estiment les besoins futurs en électricité», imposant «la baisse du nucléaire dans le mix électrique ». « Depuis 20I2, la politique énergétique conduite par les gouvernements successifs relève du mensonge et de la manipulation», accuse Bernard Accoyer ».
   
 Une amélioration est vraiment souhaitable des rapports entre les élus et le peuple, fondée sur le respect de la vérité et des réalités réelles, cela devrait conduire la France vers une société plus harmonieuse et plus riche.

Lucas (1er février 2022) : Nous avons perdu la moitié de la production française en 20 ans, passant de 22% à 11%, cause de nos malheurs actuels. Et quand on entend le Ministre de l’Industrie actuel se targuer de ré-industrialiser la France sans rien changer, on ne peut plus croire en de telles balivernes.
Rappel de cette promesse de l’État qui n’a pas été tenue :

« 5 000 entreprises sont concernées par le plan textile, 1 000 d'entre elles ont signé un contrat avec l'Etat et se sont engagées, en contrepartie de la diminution des charges, à prendre des mesures en faveur de la protection de l'emploi, de la création et de l'embauche pour les jeunes et de l'aménagement et la réduction du temps de travail.
 A ces entreprises qui ont respecté leurs engagements, l'Etat dit aujourd'hui qu'il ne tiendra pas les siens ! (Protestations sur les bancs du groupe socialiste.)
 Et pour que ces entreprises, en plus, remboursent la diminution des charges qu'il leur a été consenti (Protestations sur les bancs du groupe socialiste), il faudrait que l'Etat dénonce celles avec lesquelles il a signé un contrat ! Ainsi non seulement l'Etat ne respecterait pas sa signature, mais encore, il se ferait sycophante!» 

Cliquer Ici                                     Extrait de l'essai "Armen_Charpentier" (publié sur ce blog) Cliquer

Maxime Asseo (La Croix du 7 février 2022) : "Une étude de la Fédération des délégués départementaux de l'éducation nationale révèle que 44% des directeurs d'école primaire ont été victimes d'insultes au cours de l'année 2020-2021. Il en ressort aussi que 5% d'entre eux ont été frappés."

Nicolas Baverez (Le Point 2583 du 10 février 2022) : «(...) La réponse de l'État aux défaillances dénoncées chez Orpea est caractéristique de la faillite des politiques publiques, qui, à l'image de l'hôpital, conjuguent inefficacité et inhumanité: elle repose sur l'intensification des contrôles et la multiplication de normes quantitatives qui ignorent la qualité des services rendus et obligent à recruter des bureaucrates pour gérer la complexité administrative et non des soignants, au risque d'accélérer le phénomène de démission qui touche les personnels de la santé et des soins à la personne. Elle multiplie des mesures technocratiques ou des effets d'annonce qui ne s'inscrivent dans aucune stratégie cohérente. Avec pour illustration la création en juillet 2020 d'une 5e branche de la Sécurité sociale consacrée à la perte d'autonomie mais sans aucun financement - l'année même où le déficit du régime général et du fonds de solidarité vieillesse culmine à 39 milliards d'euros.(...)» Ensuite Le Point révèle le scandale des maternités :

Phalène de la Valette et Mathilde Cesbron : «(…) tout est parti des accords de périnatalité instaurés en 1998, toujours en vigueur et complètement dépassés. (…) la France comptait quelque 1 500 maternités. On en trouve aujourd’hui moins de 500, alors que nombre de naissances, lui, est resté stable.(…) »
Anna Roy sage-femme, à l’initiative de #JeSuisMaltraitante : « Seule sage-femme face à 25 mères, 25 bébés, 25 familles ! Impossible dans ces conditions, de ne pas devenir maltraitants, malgré soi. »
Le professeur Olivier Picone : « Il y a des situations où l’on est à la limite de la dangerosité, voire dans la dangerosité.»

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Publié le 20/01/2022 13:11   Tous les billets   Haut


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