L'inhumanité de l'État et de la techno-bureaucratie - par Voltaire-Francois
L'inhumanité de l'État et de la techno-bureaucratie.
Comment la machine nous dépossède.
Au journal télévisé du 9 juin 2022 sur l’A2, la rubrique « L’œil du 20 h » présente le cas d’un citadin qui a acquis en 2017 un terrain au bord de mer, constructible selon le cadastre, pour 100 000 € en 2017 à Audenge en Gironde pour y construire un pavillon. Mais sa demande de permis de construire a été refusée en 2022 au motif que son terrain n’était plus constructible, la mairie expliquant que cette décision a été prise par la préfecture et qu’elle concerne tout le bassin d’Arcachon. Cet acquéreur verse donc 700 € par mois pour payer un crédit pour un terrain ne valant plus que 5 000 €. Avec cette même décision préfectorale, un autre propriétaire de trois parcelles précédemment constructibles a perdu environ 750 000 € : insomnies, problèmes de santé pour cette décision administrative spoliatrice vécue évidemment comme une grave injustice.
Remède :
Quand l’administration décide de rendre inconstructibles des terrains précédemment constructibles, il suffirait qu’elle dédommage les propriétaires lésés.
L’injustice administrative perpétrée par des fonctionnaires non élus, peut rendre malade et même conduire ses victimes au suicide. Il faut absolument éviter cela.
Un litige avec l’administration devrait toujours avoir comme recours de pouvoir faire appel à une Commission Ethique Souveraine composée de jurés tirés au sort. Il faudrait que le gouvernement crée d’urgence ce nouvel auxiliaire de justice pour que la France, pays de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, devienne enfin une démocratie exemplaire.
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Pétition qui circule sur le Net ayant pour titre :
L'inhumanité de l'État et de la techno-bureaucratie.
Comment la machine nous dépossède.
« Noémie et Raphaël sont les jeunes parents d’une petite fille de 2 ans et ils viennent d’accueillir une deuxième enfant, née le 3 juin. La naissance s’est déroulée dans la quiétude de leur domicile, sans aucune assistance médicale.
Il ne s’agissait pas d’un “accident”, Noémie et Raphaël ont mûrement réfléchi leur projet d’ANA (accouchement non assisté). Ils se sont beaucoup documentés sur la physiologie de l’accouchement, ont échangé avec beaucoup de personnes ressources, ils étaient soutenus par leur entourage. La naissance s’est très bien passée, la maman et le bébé vont merveilleusement bien.
Mais le mardi suivant, quand Raphaël se rend à la mairie de Vitré (Ille-et-Vilaine), tout bascule. L’officier de l’état civil refuse d’enregistrer la déclaration de naissance du papa, au prétexte que le certificat médical attestant la naissance fait défaut et qu'une attestation sur l'honneur du père ne suffit pas.
Le lendemain, les deux parents et leurs deux enfants se présentent en mairie pour faire valoir leurs droits. La déclaration de naissance est enregistrée mais on informe les parents qu’ils ont été “signalés” à la PMI [Protection maternelle et infantile].
Un membre du personnel de la PMI contacte les parents par téléphone et les interroge. Rendez-vous est pris à la maternité pour pratiquer l’examen médical des 8 jours ; les parents s’y rendent confiants le vendredi 10 juin.
L’examen ne montre aucune pathologie. Pour le pédiatre, tout va bien. Toutefois, il informe Noémie et Raphaël qu’une personne de la PMI passera les voir dans l’après-midi, répondant à l’étonnement des parents quant à cette nouvelle initiative prise sans leur consentement par un laconique “C’est la loi.”
Mais cette personne de la PMI n’est pas venue seule cet après-midi là : à 18h30, ce sont trois véhicules de la gendarmerie qui se sont garés devant la maison de Noémie et Raphaël et qui sont entrés avec fracas dans leur domicile. La “sanction” pour avoir exercé leur droit et leur liberté de choisir le mode d’accouchement qui leur convenait : placement provisoire des deux enfants en pouponnière... sans droit de visite, d'après les propos que rapportent aujourd'hui les parents dans une vidéo dont le lien est mis en commentaire.
Le cas de Noémie et de Raphaël et de leurs enfants n’est malheureusement pas unique : depuis quelques années, les parents qui font des choix de mode d’accouchement hétérodoxes sont harcelés par les services sociaux, leurs bébés leur sont arrachés pour être placés provisoirement le temps de l’enquête, qui peut durer quelques jours ou plusieurs interminables semaines… Quelle que soit la durée, c’est un traumatisme pour la famille, une mutilation des liens.
Ces placements se font sans considération pour le lien d’attachement mère-enfant qui est dans sa phase cruciale et critique de mise en place, et donc en contradiction totale avec la volonté affichée par le gouvernement, à travers sa commission des mille jours, de favoriser ce lien.
Ils se font sans considération de l’intérêt supérieur de l’enfant qui est que la meilleure alimentation, à savoir le lait de sa mère, lui soit offerte puisque les mères sont empêchées d’allaiter par la séparation forcée.
Ces placements sont souvent assortis d’irrégularités juridiques graves : absence de notification des parents, non-recueil de leur consentement, refus de fournir des informations, diffamation, etc.
Ces placements ont lieu dans le contexte global d’une chasse aux sorcières menée contre les femmes qui adoptent des pratiques non conventionnelles : celles, sages-femmes, qui accompagnent les accouchements à domicile et qui sont harcelées par leur ordre ; celles qui choisissent l’ANA ou même l’AAD (accouchement à domicile accompagné par une sage-femme diplômée) et qui sont harcelées par les services sociaux, celles qui choisissent un mode de maternage et d’éducation respectueux des besoins et des rythmes biologiques de leur enfant et qui sont harcelées par les PMI, les insituteurices, les pédiatres…
Parmi les femmes, ce sont surtout celles qui sont en contexte de maternité qui sont violentées, dénigrées, “incompétentisées”, infantilisées, “délégitimées” en tant que mère ou parent par les institutions et le “pouvoir” médical. La violence obstétricale se diffuse en dehors des salles de naissance.
Dans le cas de Noémie et Raphaël, un autre élément vient sans doute s’ajouter au reste : ils sont jeunes et on les croit irresponsables et idiots, ce qui est une attitude typique d’une société adultiste et violente envers ses enfants.
Depuis plus d’un an, le collectif La révolte des mères s’est formé face au constat d’une augmentation des agressions des institutions envers les parents qui choisissent d’assumer pleinement la responsabilité des soins et de l’éducation de leurs enfants, et dénonce les abus, les violences, les injustices qui leur sont faites.
Rejoignez-nous, aidez-nous à faire en sorte que plus jamais de telles violences ne soient commises envers les enfants et leurs parents. »
Remède :
Quand l’administration veut commettre le crime de séparer à la naissance l’enfant de sa mère (qui l’allaite), un seul remède : faire appel à une Commission Ethique Souveraine composée de jurés tirés au sort. Ce nouvel auxiliaire de justice, à créer d’urgence par le gouvernement, pourrait alors statuer, avec bon sens et humanité, sur cette décision administrative ignoble et indigne d’une démocratie éclairée afin de l’annuler immédiatement.
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